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Mardi bonheur ! 18 avril :)

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Un petit récap des bonnes nouvelles de la semaine passée! 

ACTILITY, FUTURE LICORNE FRANÇAISE?
AAEAAQAAAAAAAAyVAAAAJDRmZjJjYzg4LWQzODYtNGU2ZS04OWY5LTQ0MWYxMmFiOWZhNgActility accélère son développement dans les solutions Internet des Objets avec une levée de fonds de 75 millions de dollars
La croissance de la société est centrée sur des solutions d’internet industriel à destination de secteurs clés tels que la logistique, le bâtiment connecté ou l’énergie. Creadev, Bosch et Inmarsat ont rejoint les investisseurs historiques d’Actility, tels que idinvest, Bpifrance, Ginko Ventures, KPN, Orange Digital Ventures, Swisscom et Foxconn. De nouveaux investisseurs stratégiques s’ajouteront à cette levée de fonds sursouscrite ce mois-ci. La levée a été réalisée sans l’intervention de banques.

LE FMI PLUS OPTIMISTE SUR LA CROISSANCE MONDIALE EN 2017
croissance_trt_5L’économie mondiale se porte un peu mieux. , le Fonds monétaire international (FMI) a légèrement revu à la hausse ses prévisions de croissance. Il prévoit une progression de 3,5% pour 2017 alors qu’il tablait sur 3,4% en janvier et octobre derniers.

LA POSTE RACHÈTE L’AGENCE DIGITALE AMETIX

CP-DOCAPOST-Ametix.pngAmetix compte 250 salariés dont un pool d’experts aux profils pointus et aux compétences variées – expertises en data, en webmarketing, en infrastructure, savoir-faire dans les frameworks de développement en vogues – qu’elle dépêche pour des missions ponctuelles. « Nous avons monté en parallèle une activité de conseil pour accompagner nos clients dans l’organisation RH et le recrutement 2.0 », complète Vincent Klingbeil, cofondateur d’Ametix.

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VENTE PRIVÉE RACHÈTE LE PETIT BALLON 

Le Petit Ballon, l’acteur disruptif du vin en ligne annonce une prise de participation majoritaire de vente-privee. Un rapprochement qui va positionner à terme Le Petit Ballon comme un des leader de la vente de vin sur internet… Voici le tout nouveau site dédié:

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ENTOMO FARM VEUT CRÉER LA PLUS GRANDE USINE D’ÉLEVAGE D’INSECTES DE FRANCE

AAEAAQAAAAAAAAaIAAAAJGYwODQ0OTdiLWI4NmQtNDcxZC1iOTRiLTk5Y2Y2YTMxNTkyZALa société girondine Entomo Farm, dédiée à la production de farines d’insectes, vient de lancer une campagne de crowdfunding sur la plateforme Sowefund. La société, qui prend possession à la fin du mois de son usine de Libourne, a complètement revu sa stratégie après la décision européenne qui s’appliquera en juillet et autorise l’usage des protéines d’insectes dans l’alimentation des poissons d’élevage.

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Les Big Boss ont emmené l’e-commerce au sommet ! C’était dans le Business Club (podcast)

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BFM-BU-RADIODans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio (podcast)

Diffusion exceptionnelle Vendredi 25 décembre 2015 à 17h mais aussi, samedi 26/12/2015 à 7h | dimanche 27/12/2015 à 15h

EMISSION SPÉCIALE « LES BIG BOSS FONT DU SKI »
C’était du 11 au 13 décembre, aux Arcs 1800

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NOS INVITÉS

  • Hervé Bloch, président fondateur des Big Boss
  • Olivier Mathiot, PDG de Price Minister 
  • Patrice Noirot Nerin, Directeur Marketing marché Particulier Engie, membre du jury 
  • Vincent Klingbeil, DG d’AMETIX
  • Stéphane Rouquette, DG d’AZOYA

Pour écouter, réécouter ou télécharger (clic droit) l’émission : 


 

RETOUR EN IMAGES SUR L’ÉDITION 2015 des BIG BOSS FONT DU SKI

CHIFFRES 2015

  • 300 acteurs de l’e-commerce (dont 180 décideurs du e-commerce)
  • 1.800 rencontres affinitaires qualifiées entre e-marchands et prestataires du e-commerce
  • Les e-commerçants présents pèsent 19 milliards d’euros de chiffre d’affaires cumulé (dont 4 pour le seul portail Voyage-SNCF.com), soit +13% par rapport à l’édition précédente. Ce qui représente près d’un tiers du commerce électronique en France.
  • Les quatre premières éditions ont permis la signature de 22 millions d’euros de contrats entre dirigeants de portails et prestataires.

LE PRINCIPE

« Il y a plusieurs conditions pour participer. La première : être très sélectif. Le big boss doit être directeur ou responsable d’un service e-commerce, déclare Hervé Bloch, organisateur des BigBoss events. La deuxième : il faut réaliser un minimum de 10 millions d’euros de chiffre d’affaires online, soit c’est un pure player et donc son CA global, soit c’est un acteur multicanal qui a franchi cette somme. »

« Après deux années de succès, il nous faut maintenir le niveau, avec une destination et des animations de qualité, mais aussi en démultipliant les possibilités de rencontres entre e-marchands et prestataires au fil des éditions. Pour cela, nous veillons à toujours respecter le ratio gagnant 60% de big boss 40% de prestataires, et avons sur cette édition à venir un taux de renouvellement des participants de plus de 50% », explique Hervé Bloch, fondateur des BigBoss.

NOUVEAUTÉS 2015

[Des] temps forts « loisirs » voient le jour en cette fin d’année : Après le BigBoss Band, groupe de musique formé par les big boss musiciens, le BigBoss Comedy Club, troupe éphémère constituée également de big boss, se produira pour la première fois. A noter également l’enregistrement de l’hymne BigBoss courant novembre… Autant d’initiatives qui ont vocation à animer et souder la communauté, la « BigBoss Family ». Crée à la fin 2013, l’événement « Les BigBoss font du ski », avait rassemblé l’année dernière les plus gros e-commerçants français, soit17 milliards de chiffre d’affaires e-commerce cumulé! (source: LSA Conso)

L’HYMNE OFFICIEL DES BIG BOSS!

>> OLIVIER MATHIOT, PDG de PRICE MINISTER

priceministerPRICE MINISTER est le 8ème site de e-commerce le plus visité en France en 2014, avec 7 789 000 visiteurs uniques par mois (Fevad). Quelques chiffres:

  • Un chiffre d’affaires de 39,9 millions d’euros
  • 250 salariés
  • plus de 20 millions de membres inscrits
  • près de 200 millions de produits
  • près de 2 millions de visites par jour

Olivier Mathiot est président de France Digitaleassociation française d’intérêt général qui réunit les entrepreneurs et investisseurs du numérique (capitaux-risqueurs et angles investors) pour promouvoir l’économie numérique auprès des pouvoirs publics. France Digitale a été créée le 2 juillet 2012 par 33 entrepreneurs et investisseurs du numérique. Elle est considérée comme l’organisation professionnelle la plus représentative du secteur.

« On a créé France Digitale sur le constat suivant : le numérique en France mérite une place plus importante. Les entrepreneurs du numérique et leurs investisseurs, souvent des fonds de capital risque, étaient mal représentés. Or, nombreuses sont les professions en France à être représentées par des instances. Cette catégorie, le numérique, pourtant en forte croissance, était souvent mal écoutée et comprise. C’est au moment du fameux mouvement des pigeons que nous avons vu la nécessité de s’inscrire dans l’agenda politique, et de passer un certain nombre de messages, de façon à populariser cette économie des startups.

La Silicon Valley, Israël, la Scandinavie aussi sont des exemples. On a beaucoup d’entrepreneurs en France. Mais ils sont méconnus. Et leur succès, souvent, n’est pas à la hauteur de ce qu’on pourrait espérer, étant donné la taille de la France. Si on regardait à l’aune du PIB, nous devrions avoir plus de champions mondiaux que le Danemark. Ce qui n’est pas le cas ». (Lire l’article intégral sur Atelier.net)

« Nous lançons la bataille électorale. Il faut un Grenelle du numérique comme il y a eu un Grenelle de l’environnement. Il faut accélérer la mutation. Nous travaillons déjà avec Bercy, Matignon et l’Elysée. Nous avons constitué un groupe de travail avec la mission French Tech. Des hommes et des femmes politiques de droite et de gauche sont invités. Nous pensons que le gouvernement va dans le bon sens mais qu’il peut et qu’il lui faut aller beaucoup plus vite ». (Viuz.com)

DANS LA REVUE DU DIGITAL (extraits) – PRICE MINISTER ACCÉLÈRE SUR MOBILE

Le site entend développer encore l’usage du mobile en proposant des réductions de prix spécifiques à ce média et des points de fidélisation. C’est ce qu’a présenté Odile Szabo, directrice marketing de PriceMinister le lundi 6 octobre, lors du Hub Forum. “Notre croissance est tirée par le mobile et plus par le desktop,” résume Odile Szabo. “Afin de promouvoir notre appli mobile et inciter à l’utiliser, nous offrons des points de fidélisation, si vous vous inscrivez en ce moment, vous avez 5% de réduction en permanence si vous achetez par l’application mobile,” annonce-t-elle.

PriceMinister propose à la fois un site mobile et une App. “Le site mobile est un site de consultation,” expose la directrice marketing. “Le site mobile a énormément de visites, mais avec des taux de conversion beaucoup plus faibles. C’est une situation générale chez les e-commerçants avec lesquels je discute,” pointe-t-elle. 25% des achats qui commencent sur le site mobile  se terminent sur le desktop.

Quant à l’appli mobile c’est un outil de fidélisation extrêmement fort. L’achat et la vente sont désormais regroupés au sein d’une même application. “Quand nos utilisateurs installent notre appli et font un premier achat, notre valeur client augmente de 40% à la suite de ce premier achat. C’est donc un outil de fidélisation extrêmement fort. Cela dope aussi de plus de 32% notre taux de repeat,” affirme-t-elle.

Il y a encore une marge de progression importante pour PriceMinister en France, puisqu’au Japon, où se trouve la maison mère de PriceMinister, 50% du revenu d’affaires provient du mobile, déclare Odile Szabo.

>> PATRICE NOIROT-NÉRIN, Directeur Marketing marché Particulier de ENGIE

ENGIE, anciennement GDF Suez, est le troisième plus grand groupe mondial dans le secteur de l’énergie (hors pétrole) en 2015 et emploie 140 000 personnes.

SUR WIDOOBIZZ – Digital : GDF Suez, une « entreprise hyper innovante » dans le domaine digital

Aujourd’hui, le digital sert d’alternative à beaucoup de choses et de services. En effet, Patrice Noirot-Nérin nous confie que lorsque leurs clients n’arrivent pas à joindre le service client par téléphone, ils n’hésitent plus aujourd’hui à poster directement un message sur Twitter. « C’est une véritable tendance de fond ». Certains ont peut-être du mal à l’imaginer, mais l’entreprise GDF Suez est devenue hyper innovante au niveau digital. À l’avenir, Patrice Noirot-Nérin voit la relation online avec GDF Suez se traduire au travers des objets connectés tels que le « smart ». En effet, il aura beaucoup d’influence et changera complètement l’énergie puisque l’on « peut suivre sa consommation, la modérer pour consommer mieux et moins cher ». Pour GDF Suez, « c’est un challenge formidable ».

>> AMETIX, avec Vincent Klingbeil, Directeur Général

Le trophée BigBoss Idol avait été remporté deux éditions de suite par la société Amétix qui ne manque jamais d’originalité dans ses pitchs vidéos. « Cette année, on ne souhaite plus gagner » a déclaré avec fair play Stéphane Boukris, directeur associé d’Amétix.

L’ACTIVITÉ

CA: 9 millions en 2014, 12 millions en 2015

Effectif: 120

Date de création: 2011

120 consultants spécialisés dans les métiers web techniques ou marketing

C’est à la fois un cabinet de recrutement (chasseurs de tête) et une société de services (qui propose donc ses propres experts aux clients). Pour trouver les talents: Ametix est très présents sur les réseaux sociaux, ils repèrent les talents, et organisent le concours du meilleur développeur de France chaque année. Tous les mois Ametix fait le buzz: collaboration avec un média ou avec l’école 42 par exemple, le clip avec Doc Gynéco.

SUR DIGITAL BUSINESS – Lancé il y a quatre ans, Ametix est spécialisé dans l’accompagnement RH des entreprises pour  la construction d’équipes web technique et marketing. Depuis son lancement, la société revendique 100% de croissance chaque année. Le groupe compte aujourd’hui 120 personnes sur deux axes : une société de services avec une centaine de consultants et un cabinet de recrutement qui chasse en permanence les talents du web sur les profils les plus recherchés.

Ces créateurs sont partis du constat que les jobboards ne sont plus suffisants aujourd’hui pour repérer et surtout attirer les talents dans les secteurs les plus en pénurie (développeurs, spécialistes DMP, RTB…). Ametix développe donc tous les leviers possibles de recherche, notamment via les réseaux sociaux, appuyé par une véritable stratégie de buzz permanent. De l’effet d’annonce de l’embauche de tous les diplômés de l’Ecole 42 à un clip de rap dans lequel Doc Gynéco reçoit un CDI, Ametix occupe en permanence le terrain médiatique sans oublier de tout mettre en place pour être le premier chasseur de tête à entrer en contact chaque matin avec les nouveaux talents sur le marché. Pour ce faire, la société compile des dizaines de solutions technologiques.

La « digital company » organise également le concours Meilleur Dev de France qui prépare sa 4ème édition pour 2016 avec 1000 développeurs réunis pour un hackathon géant, comme chaque année, à l’Ecole 42. L’occasion pour la plateforme Ametix de faire encore parler d’elle dans les médias et de répérer des consultants potentiels ou profils à débaucher.

>> AZOYA, avec Stéphane Rouquette, Directeur Général

Créé en 2013, basée en Chine à Shenzhen

Effectif: 170 en Chine

Azoya est un fournisseur de solutions de cross border à destination des e-marchands. L’entreprise a vocation à les accompagner dans le déploiement de leur activité e-commerce en Chine, un marché au potentiel colossal. Depuis le développement de la plateforme jusqu’au SAV, Azoya s’occupe de tout à la place du e-commerçant.

Déployer une activité e-commerce en Chine facilement, et de manière sécurisée, telle est en somme la promesse d’Azoya, entreprise créée en 2013 et présente en France depuis 2014. La société a été co-fondée par Stéphane Rouquette, et ce dernier a de quoi convaincre : « Pourquoi un e-marchand ou un retailer viserait le marché espagnol par exemple, quand il peut adresser ses produits à la Chine, où il existe un potentiel de 300 millions de clients dont le salaire moyen équivaut à celui des Français. Mais pour de nombreux distributeurs, en ligne ou hors ligne, la Chine fait peur ». C’est notamment pour répondre à la crainte de certains marchands qu’Azoya a été créée. Mais aussi en réponse à une demande croissante des consommateurs chinois en produits occidentaux. Une tendance qui remonte en réalité à 2008. La crise du lait frappe alors de plein fouet la Chine, et les consommateurs chinois se tournent massivement vers l’extérieur pour se procurer du lait de qualité. « Tout s’est accéléré en 2012, mais les sites n’étaient pas optimisés pour la Chine, les moyens n’étaient pas adaptés et la logistique n’était pas en place », explique Stéphane Rouquette.

Depuis le développement du site jusqu’au SAV

Azoya intègre toutes les solutions permettant de répondre à ces problématiques. Depuis le développement du site pour le compte du client, en passant par le paiement, la logistique, le management des réseaux sociaux, et même le SAV, l’entreprise disposant par ailleurs d’une équipe de 170 personnes en Chine. Car selon Stéphane Rouquette c’est la condition sine qua none pour la réussite d’une stratégie de déploiement en Chine : « il n’est pas possible d’investir le marché chinois sans avoir d’équipes présentes en Chine ». Un avantage, d’autant qu’au préalable de toute stratégie d’investissement du marché chinois, Azoya estime le potentiel commercial des produits de l’entreprise via ses équipes chinoises, chargées en effet d’analyser le catalogue de produits du marchand.

Du conseil en stratégie commerciale

Basée à Shenzhen, dans la province du Guangdong, Azoya apporte aussi aux marchands une expertise quant à la stratégie commerciale à adopter pour développer l’activité et les revenus du site. « Nous identifions quels produits se vendent le mieux sur la plateforme, et décidons en collaboration avec le marchand de les mettre davantage en avant ». De son côté, l’e-acheteur règle avec la devise nationale, le Renminbi (RMB), et Azoya se charge de reverser à l’entreprise la somme une fois convertie en euro, et supporte le coût du change. Son modèle économique est simple, et repose sur une commission variable, au cas par cas, mais se situe globalement autour de 20% sur le montant des ventes. Pour l’heure, Azoya possède un portefeuille composé de 30 clients dans le monde entier depuis l’Allemagne, en passant par l’Australie, jusque la France. (source: LSA Conso)