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[ENTREPRENDRE] – Les 1ers pas de CMARUE / Les conseils de Marc Ménasé : comment séduire un investisseur. C’était au Business Club (podcast)
Dans le prochain Business Club de France :
Samedi 9/12/17 à 7h – Dimanche 10/12/17 à 15h
⇒ Uniquement sur BFM Business Radio
⇒ PREMIÈRE PARTIE
TALK 1: Olivier Baussan, serial entrepreneur, booste la Provence
LE FOCUS DE LA SEMAINE : Réseautage, investissement: la finale du Startup Contest à Bobino le 11 décembre
TALK 2 : LUCIBEL rapatrie ses productions en France
⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER
- Les premiers pas dans l’entrepreneuriat de Nadia Tiourtite de CMARUE
- Les conseils de l’expert : Comment séduire un investisseur? Avec Marc Ménasé, fondateur de Menlook, investisseur
⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet
LES PREMIERS PAS DE Nadia Tiourtite, de CMARUE
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Diplômée de droit public, Nadia Tiourtite possède une longue expérience professionnelle dans le consulting pour des groupes de médias. Parallèlement, elle est intervenue comme chroniqueuse dans plusieurs émissions télévisées (Paris Première, Canal+, France 3). En mars 2011, elle rejoint l’agence de communication We Are Social en tant que Directrice conseil senior. En octobre 2013, Nadia Tiourtite est promue Directrice de la stratégie du groupe.
Aujourd’hui, elle lance sa startup CMARUE, plateforme sur laquelle les citadins peuvent choisir les commerces qui vont s’installer dans leur quartier.
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ENTREPRENDRE: Les conseils de Marc Ménasé, investisseur
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Vous avez besoin de fonds? Quels sont les meilleurs moyens pour séduire les investisseurs? Marc Ménasé donne les conseils suivants:
« Une levée de fonds c’est comme un mariage: il faut se rencontrer, se plaire, se séduire. La présentation de l’activité de l’entreprise est bien sûr très importante, mais il ne faut pas se focaliser excessivement sur ce point. Ce qui intéresse avant tout les investisseurs c’est la personnalité du porteur de projet, sa façon de s’exprimer, de raconter son parcours, de croire à son entreprise ».
D’où l’importance de savoir parler de soi, être concis, aller droit au but, s’exprimer clairement et avec conviction!
CMARUE : faites venir dans votre quartier les commerçants dont vous rêvez. C’était au Business Club (podcast)
Dans le prochain Business Club de France :
Samedi 2/12/17 à 7h – Dimanche 3/12/17 à 15h
⇒ Uniquement sur BFM Business Radio
⇒ PREMIÈRE PARTIE
TALK 1: DÉINOVE: des bactéries rares pourraient donner naissance à de nouveaux antibiotiques
LE FOCUS DE LA SEMAINE : Le « droit à l’erreur », avec Me Jérôme Turot, avocat spécialisé en contentieux fiscal
TALK 2 : CMARUE : un premier test dans le 19ème arrondissement
⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER
- Les premiers dans l’entrepreneuriat d’Olivier Baussan, serial entrepreneur, fondateur de l’Occitane, Oliviers & Co
- Les conseils de l’expert sur les étapes de la création d’entreprise, avec Marc Ménasé, fondateur de Menlook, investisseur
⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet
TALK 2: CMARUE, avec Nadia Tiourtite, fondatrice
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Lorsqu’on passe devant une boutique désaffectée, on se surprend souvent à imaginer (et à souhaiter) quel commerçant s’y installera bientôt. CMARUE est parti de ce constat pour créer une plateforme qui agrège les souhaits des habitants d’un quartier, pour faire venir les commerçants dont ils ont besoin.
Comment? Sur cette plateforme, ouverte pour l’instant aux habitants du 19ème arrondissement de Paris, mais bientôt à plusieurs autres quartiers et d’autres villes.
Un bon moyen aussi pour les futurs commerçants de sonder leur marché.
Une problématique d’actualité puisque le Sénat vient d’annoncer sa volonté de ressusciter les centres-villes et les centres-bourgs
Magasins qui ferment, communes qui se dépeuplent et s’appauvrissent, équipements et services du quotidien qui disparaissent… En quelques années, le déclin de nos centres-villes s’est propagé à grande vitesse. Dans tous les territoires, on ne compte plus les cas de communes frappées par la fragilisation des centres.
Le Sénat, représentant des territoires, a décidé de se saisir du sujet. Depuis le mois de juin, la délégation aux collectivités territoriales et la délégation aux entreprises rencontrent et écoutent les acteurs concernés. Le constat est unanime : la France voit nombre de ses centres-villes et centres-bourgs se vider et mourir lentement.
Alors que le Gouvernement vient d’annoncer un plan en 2018 pour les seules « villes moyennes », le Sénat veut peser dans le débat et faire des propositions fortes pour réanimer les centres-villes en n’oubliant aucun territoire.
Optant pour une démarche originale et collective, un groupe de travail transpartisan vient d’être créé, réunissant 18 sénateurs émanant des 2 délégations et des 6 commissions permanentes concernées. Il commence ses travaux aujourd’hui en auditionnant les acteurs du commerce de détail. Toutes les parties concernées seront invitées dans les prochaines semaines à donner leur avis et à faire des propositions : élus locaux, enseignes de centres-villes, promoteurs de centres commerciaux, financeurs, grandes surfaces et grande distribution, acteurs du e‑commerce, etc.
Les sénateurs souhaitent également relayer le vécu et l’avis des acteurs du terrain en lançant sur internet une grande consultation nationale des élus locaux.
Pour Martial Bourquin (Doubs, SOCR), co-rapporteur du groupe de travail, « On ne peut se résoudre au fatalisme ; le déclin des centres-villes n’est pas inexorable ». Pour Rémy Pointereau (Cher, LR), co-rapporteur du groupe de travail, « Tout est sur la table, y compris l’élaboration d’un véritable plan national de revitalisation, un moratoire sur les implantations de grandes surfaces, la simplification des règles d’urbanisme, ou encore la refonte de la fiscalité applicable aux différents types de commerces ».
Le groupe de travail s’est donné pour objectif de présenter avant l’été 2018 des propositions concrètes de revitalisation des centres-villes et centres-bourgs.
3 octobre 2017- Avec Cmarue, faites venir le commerçant dont vous avez besoin dans votre quartier (Le Figaro)
Alors que la désaffection du commerce de centre-ville s’accélère en France, la Ville de Paris teste dans le 19e arrondissement une solution qui permet aux habitants de choisir les commerçants qu’ils souhaiteraient voir s’installer dans les boutiques vacantes près de chez eux.
Les appels au secours des fédérations de commerçants de centre-ville et autres associations d’élus locaux s’enchaînent depuis plusieurs mois. Alors que la dévitalisation commerciale des centres-villes s’aggrave, notamment dans de nombreuses communes de moins de 100.000 habitants, la Ville de Paris, à travers sa société d’économie mixte chargée de l’attractivité commerciale, la Semaest, expérimente «Cmarue», un dispositif collaboratif qui permet aux habitants de choisir les commerçants qu’ils souhaiteraient voir s’installer dans les boutiques vides de leur quartier.
Lancé officiellement le 25 septembre dernier, en partenariat avec la start-up tout juste créée Cmarue, ce test est prévu pour durer deux mois, à destination des commerçants et habitants du 19e arrondissement de la capitale. Un quartier qui pâtit en effet de l’un des plus forts taux de vacance commerciale de Paris, selon le dernier recencement de l’ Atelier parisien d’urbanisme (Apur). «Des commerces vacants en bas de chez soi, on en croise tous. Et la question vient aussitôt: “Tiens qu’est-ce qu’il va y avoir là? Quel commerce va l’occuper?”», explique Nadia Tiourtite, fondatrice de Cmarue, dans un communiqué. «Avec Cmarue, il est possible de se mobiliser en amont, pour un projet et non contre une installation, en exprimant collectivement les besoins du quartier»
Concrètement, les résidents et personnes qui travaillent dans le quartier peuvent se rendre sur l’application dédiée Cmarue, qui les géolocalise et leur indique les commerces vacants situés aux alentours. Boulangerie, primeur, coiffeur, opticien… Ils peuvent sélectionner un local et définir le type de commerce qu’ils veulent y voir s’installer. Ce besoin est partagé aux utilisateurs de l’appli. Les trois besoins les plus exprimés pour un local sont adressés au bailleur en guise de «mandat généré par les habitants» pour trouver le commerçant souhaité et lui louer la boutique concernée. «Il ne s’agit pas d’une obligation ou d’une contrainte pour le propriétaire des locaux, mais plutôt d’une indication pour l’aider dans la commercialisation de ses locaux», précise-t-on à la Semaest.
«Grande cause nationale 2018»
Cette appli peut aussi être utilisée par des commerçants indépendants ayant des projets d’installation. «Certains porteurs de projets hésitent à s’implanter dans un quartier, par exemple parce qu’ils pensent qu’il n’est pas assez passant, et la solution Cmarue leur permet de sonder directement la demande des habitants du quartier et de les conforter dans leur projet», met en avant la Semaest. À ce jour, trois commerçants ont soumis leur projet au vote sur l’appli. Concernant l’avenir de l’outil collaboratif, la Semaest explique que «s’il fonctionne bien, ce dispositif pourrait être élargi à d’autres quartiers parisiens et pérennisé dans le temps».
Cmarue est l’un des nombreux projets mis en place dans le cadre du programme CoSto (Connected Stores) lancé il y a deux ans à Paris. Il s’agit d’un programme d’accompagnement des commerçants parisiens à l’utilisation du numérique, qui s’appuie sur un volet formation et sur un volet plus concret d’expérimentations de solutions, par exemple en matière de livraisons ou de click and collect. Aujourd’hui, le réseau CoSto compte plus de 1000 commerçants.
Paris n’est pas la seule ville à s’inquiéter pour ses commerces de proximité. Début septembre, l’association Centre-Ville en Mouvement, qui rassemble des centaines d’élus, ont demandé au président de la République que les centres-villes devenus des «mouroirs» soient reconnus «Grande cause nationale 2018». Le taux de boutiques vides a bondi dans les villes de taille moyenne en 15 ans. Il est supérieur à 10 % dans 89 municipalités. Parmi les plus touchées figurent Béziers, Châtellerault, Forbach et Annonay, avec plus de 20 % des magasins fermés.
SEMAEST
La SEMAEST, société d’économie mixte de la Ville de Paris, est spécialisée dans l’animation économique des quartiers. Elle conduit depuis 30 ans des projets d’aménagement, de rénovation et de développement économique, au service de la vitalité urbaine.
Dammann Frères, la plus ancienne maison de thé en France. C’était au Business Club (podcast)
Au Business Club de France
Uniquement sur BFM Radio
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→ Diffusion : samedi 20/5/2017 à 7h | dimanche 21/5/2017 à 14h
TALK 1: WOOLLIP : plus de 20 000 coussins vendus en 1 an!
TALK 2: ARGOLIGHT envoie son logiciel pour téléscopes dans l’espace
TALK 3 : La MAISON DAMMANN multiplie les boutiques et exporte son thé… en Chine!
TALK 4: Le rendez-vous du Médiateur des Entreprises, avec Pierre Pelouzet
TALK 3: DAMMANN FRÈRES, avec Flora Jumeau-Lafond, directrice générale
(Ré)écouter et télécharger cette interview:
L’histoire de Dammann débuterait en 1692, dans la France de Louis XIV. Il est en effet alors fait mention dans les archives royales de l’octroi « du privilège de vendre, de faire vendre, et débiter seul, à l’exclusion de tous les autres, tous les cafés […], le thé, les sorbets et les chocolats… » à Maistre François Damame, Bourgeois de Paris. Dans la réalité, ce sieur Damame – dont le patronyme n’a pas de lien avec le nom de Dammann – ne semble pas apparenté avec la famille Dammann, qui développera divers commerces au xixe siècle, les dirigeants de l’entreprise actuelle recherchant toutefois des possibles liens familiaux dans les archives royales.
En 1825 est fondé en Inde le comptoir d’importation de thé Derode et Dammann et 1925 voit la création de la société de négoce Dammann par Robert et Pierre Dammann. En 1926, un comptoir de thés est ouvert à New York. Quelques années plus tard, en 1932, la société devient le fournisseur officiel de thé sur les paquebots de la compagnie générale Transatlantique, la « french line ».
En 1954, Jean Jumeau-Lafond prend la direction de la société à la suite de Robert Dammann qui l’initie au métier d’expert. Ce spécialiste internationalement reconnu est à l’origine de l’invention du premier thé aromatisé moderne : le « Goût Russe Douchka ». En effet, sa première épouse, d’origine russe, mélangeait habituellement son thé brûlant avec un peu de jus d’oranges pressées.
La société développe et enrichit son catalogue de thés aromatisés les années suivantes et investit également dans le domaine technique en créant le sachet cristal (le sachet est tissé de fils de nylon et non en mousseline afin de préserver toute la saveur du thé, tout en étant d’un aspect plus noble). À partir de la fin des années 1970, Jacques et Didier Jumeau-Lafond prennent successivement la tête de la société à la suite de leur père.
Longtemps connue des seuls spécialistes et confinée à la distribution auprès des détaillants et des grands noms de l’épicerie de luxe en France, tels que Fauchon et Hédiard, la société a lancé depuis 2005 sa propre gamme de thés de prestige et se lance dans l’exportation de ses produits.
En 2007, Dammann frères devient une filiale du le groupe italien Illy.
LES CHIFFRES CLÉS DE DAMMANN
- Activité: Plus ancienne maison de thé en France, créateur des thés parfumés
- Date de création: 1692
- Siège social et usine: Dreux
- CA: 32 millions € de CA dont 70% réalisés en France et 30% à l’international
- Effectif: 190
- Présent dans 66 pays
- 400 variétés de thés – Best-seller: le Earl Grey
- 3000 recettes créées depuis 1950
- Chaque année, Dammann Frères crée un dizaine de thés parfumés (la collection comprend 200 mélanges parfumés aujourd’hui).
- 1000 tonnes de thé vendues par an
- 120 millions de sachets de thé vendus par an
LE SAVIEZ-VOUS? Dammann est l’inventeur du premier thé aromatisé, un des fleurons de la maison: le thé Goût russe Douchka : inventé par le grand-père de Flora Jumeau-Lafon pour sa femme russe, qui ajoutait une rondelle d’orange à son thé.
—> Dans la seule pièce chauffée de l’appartement, la chambre des enfants, il mit à sécher des couches de thé Earl Grey entre des feuilles de buvard d’écolier imbibées d’huile essentielle d’orange collectée à Grasse. Quelques semaines plus tard, le Goût russe Douchka était né. Ce faisant, Jean-Jumeau-Lafond avait créé un style et initié la tradition des thés parfumés à la française.
L’ACTUALITÉ DE DAMMANN
- Ouverture de 3 nouvelles boutiques à Paris et en franchise à Toulouse, Lyon, Aix en Provence, Bruxelles
- Développement aux Etats-Unis et Chine (des Français vont vendre du thé aux Chinois – marché local pas très bon car les thés haut de gamme sont exportés dans les pays occidentaux + ils n’ont pas le savoir-faire de l’aromatisation)
- 2 millions investis dans l’outil de production, les boutiques (l’année dernière 2 millions investis aussi)
- Ventes sur Internet progresse de 30 à 40% chaque année (= 1 million de CA soit 3% du CA total)
LES OBJECTIFS
- 50 millions d’euros de CA d’ici 2020 grâce à un outil de production unique
- Multiplier les ouvertures des points de vente en 3 ans
- Développer l’outil de production de Dreux pour augmenter le chiffre d’affaires.
Chaque année, l’entreprise investit plusieurs millions d’euros dans cet outil de production.
- Passer le CA à l’international à 50% au lieu de 30% aujourd’hui
LE MARCHÉ DU THÉ EN FRANCE
- Le thé est la boisson la plus bue dans le monde, après l’eau.
- 6 Français sur 10 en consomment
- Nouvelles marques, nouveaux produits, nouveaux concepts, le thé est chaud bouillant ! Fini l’image vieillissante d’une boisson pour vieille dame anglaise. Le thé innove, se réinvente, attire de nouveaux acteurs et des consommateurs plus jeunes et plus urbains. Les chiffres en témoignent, puisque le segment est en croissance de 2,7%, à 251,2 millions d’euros, en cumul annuel au 29 novembre 2015, selon Iri, alors que les infusions grimpent de 2,8%, à 147,7 M €.
- La France est à la trentième place mondiale avec une consommation de 230 g de thé par habitant et par an.
- Le plus haut niveau de consommation est observé au Royaume-Uni avec 2,3 kg par habitant et par an. (source: http://www.boisson-sans-alcool.com)
- Le thé est tendance en région parisienne : il y est 2 fois plus consommé que dans le reste de la France.
Lundi Bonheur – 10 avril :)
SAVE A TROUVÉ UN REPRENEUR!
Après huit mois de redressement judiciaire, la startup de réparation de smartphones Save a trouvé un repreneur pour continuer l’aventure. Il s’agit de Remade Group, leader dans le marché des smartphones reconditionnés.
LUCIBEL MET SUR LE MARCHÉ LE PREMIER LUMINAIRE LIFI
L’entreprise normande vient de lancer une augmentation de capital de 4,4 millions d’euros pour accélérer ses investissements. Elle veut en effet garder son avance technologique dans la maîtrise de l’internet via la lumière, qui lui permet d’être la première à commercialiser un luminaire Lifi.
CANIBAL RECYCLE LES GOBELETS EN PROTHÈSES !
« Cela fait des années que nous travaillons à la création d’une filière de recyclage à partir des déchets que nous collectons via notre borne interactive dans les entreprises, universités, gares, festivals, … La conception de Caniplac était un premier pas dans cette dynamique. Avec la possibilité de réutiliser les gobelets plastiques dans l’impression 3D, nous élargissons encore le champ des possibles ! La création d’une prothèse de main 3D permet de démontrer l’utilité sociale d’un geste très simple. Prochaine étape : l’industrialisation de nos impressions 3D ! » – Benoît Paget, fondateur de Canibal
UN RECORD EN E-SANTÉ: les startups ont levé 2,5 milliards $ au 1er trimestre
Les start-up spécialisées dans la e-santé ont levé 2,5 milliards de dollars au premier trimestre, en hausse de 25% comparé à la même période en 2016, selon une étude réalisée par StartUp Health. Au total, ce sont 124 opérations qui ont été recensées sur les trois premiers mois de l’année, le niveau le plus faible depuis 2011. Concrètement, cela signifie que les entreprises de la e-santé sont moins nombreuses à avoir levé des fonds, mais qu’elles ont chacune levé plus d’argent.
FINI LES SURCOÛTS À L’ÉTRANGER (EUROPE) POUR LES SMS ET CONNEXIONS INTERNET!
À compter du 15 juin, les Européens n’auront plus à supporter les frais d’itinérance téléphonique qu’ils devaient payer jusqu’à présent en cas d’appels, d’envois de SMS ou de connexions à internet depuis l’étranger.
LDLC.com GAGNE DU TERRAIN EN FRANCE
Le spécialiste de l’informatique et du high-tech annonce l’ouverture de 2 nouvelles boutiques. Situés à Levallois-Perret (92) et Thionville (57), les magasins ouvriront leurs portes les vendredis 21 et 28 avril 2017. Avec désormais 24 boutiques physiques, l’enseigne poursuit son plan de développement visant à atteindre 100 points de ventes d’ici à 2021.
HEUREUX AU TRAVAIL? Pour près de la moitié des Français, c’est la passion, la liberté et l’autonomie qui priment! Et pour vous?
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