covoiturage
Ex-Wayz Up, KLAXIT lève 3 millions € et noue des partenariats stratégiques. C’était au Business Club (podcast)
Dans le prochain Business Club de France :
Samedi 17/2/18 à 7h – Dimanche 18/2/18 à 15h
⇒ Uniquement sur BFM Business Radio
⇒ PREMIÈRE PARTIE
TALK 1: SHORT EDITION invente la littérature TTC: très très courte
TALK 2 : KLAXIT : le covoiturage pour grands groupes et collectivités
⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER
- Les premiers pas dans l’entrepreneuriat d’Alexandre Marionnet, de Cléopâtre
- Les conseils de l’expert de Vincent Ricordeau, cofondateur de KissKissBankBank
⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet
TALK 2: KLAXIT, avec Julien Honnart, président fondateur
(Ré)écoutez et téléchargez cette interview:
Anciennement Wayz UP, Klaxit est une plateforme de covoiturage spécialisée sur les trajets domicile-travail. Son positionnement est particulier: la startup noue des partenariats avec les grands groupes qui proposent ainsi ses services à leurs salariés.
LES CHIFFRES CLÉS DE KLAXIT
- Activité: solution de covoiturage domicile-travail via une application mobile.
- Date de création: 2014
- Siège social: Paris
- Effectif: 18 (Klaxit recrute +10 postes)
- En 2017, Klaxit passe de 30 à 100 entreprises clientes (cela représente plus de 700 sites partout en France)
- 10% de croissance / semaine depuis 6 mois
LE MODÈLE ÉCONOMIQUE
Le modèle économique de la startup comprend 2 axes :
1/ créer des partenariats avec des entreprises qui proposent la solution aux salariés
Le modèle économique de Klaxit consiste donc à passer par la voie B to B pour trouver des « covoitureurs », le fameux « B to B to C ». Ce modèle a un autre avantage, il doit permettre à Klaxit d’accélérer à l’international puisque les entreprises clientes sont souvent des multinationales, tout comme ses nouveaux actionnaires comme Sodexo qui réalise plus de 85% de son chiffre d’affaire en-dehors de la France.
2/ créer des partenariats avec des collectivités locales (c’est le cas avec Ile-de-France et la Métropole d’Orléans).
LES ACTUALITÉS DE KLAXIT
– janvier 2018 : changement de nom, la startup créée il y a 5 ans sous le nom de WayzUp devient Klaxit en référence au Klaxon qui était finalement le point de départ de cette aventure.
– février 2018 : annonce d’une levée de fonds de 3M (valorisation nettement supérieure de par le poids et l’engagement des investisseurs) avec Sodexo, Via ID, MAIF, INCO pour créer une alliance inédite dans le secteur de la mobilité.
Cette union permettra à Klaxit de :
- continuer d’étendre massivement son réseau dans toute la France et les zones frontalières
- amorcer le marché européen de covoiturage courte distance dans un futur proche et en devenir leader (Klaxit est déjà leader sur le marché français courte-distance).
7 février 2018 – Covoiturage : Klaxit (ex-WayzUp) lève 3 millions d’euros
La start-up parisienne spécialisée dans les trajets domicile-travail multiplie les partenariats stratégiques pour accélérer dans un environnement concurrentiel très fort.
Du nouveau pour WayzUp en ce début d’année. La jeune pousse spécialisée dans le covoiturage travail-domicile a changé son nom en Klaxit ( « pour simplifier ») et annoncé une levée de fonds de 3 millions d’euros auprès de Sodexo, RATP, l’accélérateur Via ID, MAIF et du fonds INCO. Leurs investissements, qui vont permettre à la start-up de passer de 18 à 28 salariés, s’accompagnent surtout de partenariats stratégiques.
La jeune pousse créée en 2014 pourra par exemple déployer son offre de covoiturage sur les sites clients de Sodexo en France. Le groupe RATP, qui transporte quotidiennement 12 millions de voyageurs en Île-de-France, va, lui, proposer une offre intégrant covoiturage et transport en commun avec Klaxit. Les investisseurs se disent convaincus par le modèle économique.
Un modèle BtoB
Face à iDVROOM, Citygoo , Karos , Blablacar ou Less , la particularité de Klaxit est de travailler en direct avec les entreprises. Elle propose aux employeurs de mettre à disposition de leurs collaborateurs une plate-forme pour partager leurs trajets autour des sites de la société. « On s’est dit qu’il fallait passer par les entreprises pour atteindre une masse critique », dit Julien Honnart, fondateur de la start-up.
Klaxit compte 100 entreprises partenaires, dont un quart des firmes du CAC 40. Le taux d’adhésion par les salariés est de 35 %. Et 100.000 trajets sont désormais proposés chaque jour.
« L’objectif dans 2 ans est d’être présent dans les 50 plus grandes agglomérations françaises avant de s’implanter dans les pays frontaliers », indique le patron de Klaxit, qui avait levé 1,4 million d’euros à l’été 2017 auprès de la RATP et Via ID.
En France, le covoiturage devrait décoller dans les années à venir, grâce à la future loi sur les mobilités notamment. La région Île-de-France a par ailleurs annoncé en septembre une série de mesures pour encourager cette pratique . Elle subventionne ainsi 17 entreprises, dont Klaxit, à hauteur de 50.000 euros, pour qu’elles lancent des offres promotionnelles, comme le versement de 2 euros par conducteur ou passager. Klaxit a aussi signé un partenariat avec Orléans Métropole. La start-up a vocation à développer les cofinancements de ce type, qui réduisent le prix du covoiturage pour le passager tout en maintenant le gain du conducteur, et qui permettent aussi à Klaxit de se rémunérer. (Les Echos)
Novembre 2017 – Acquisition d’Opencar
La start-up WayzUp, qui développe un service de covoiturage destiné aux trajets domicile-travail, vient d’annoncer le rachat d’OpenCar, l’un de ses concurrents dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.
En s’offrant OpenCar, WayzUp ajoute une dizaine de nouvelles entreprises dans son portefeuille de clients, ce qui lui permet de passer la barre des 100 entreprises clientes et d’étendre son réseau sur l’ensemble de l’Hexagone.
Heetch a redémarré! C’était au Business Club (podcast)
Dans le prochain Business Club de France :
Samedi 11/11/17 à 7h – Dimanche 12/11/17 à 15h
⇒Uniquement sur BFM Business Radio
⇒ PREMIÈRE PARTIE
TALK 1: HEETCH, l’appli de transport, renaît de ses cendres avec une nouvelle offre
TALK 2 : MAPPY : bientôt de nouvelles fonctionnalités de paiement et de personnalisation du service
⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER
Les premiers dans l’entrepreneuriat de Clément Le Bras, cofondateur de Lilo
⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet
TALK 1: HEETCH, Avec Teddy Pellerin, cofondateur
(Ré)écouter et télécharger cette interview:
Six mois après sa condamnation par le tribunal correctionnel de Paris pour exercice illégal d’activité de taxi, Heetch s’est relancé, avec deux offres différentes de celles proposées à l’origine :
- « La Base »: une offre de covoiturage courte distance entre particuliers, maintenant limitée à un trajet fixé à l’avance – Trajet minimum à 6€
- « Le Pro » : une offre professionnelle de VTC (avec commission de 15% une des plus basses du marché)
Aujourd’hui, Heetch revendique 70.000 trajets par semaine
L’appli est présente en Suède, en Italie et en Belgique, bientôt à Londres
A L’ORIGINE, HEETCH C’ÉTAIT:
Des chauffeurs amateurs qui «partageaient leurs frais» avec des utilisateurs, souvent jeunes, ravis de se faire ramener la nuit à moindre coût. L’idée était de s’adresser aux jeunes qui sortent de soirée.
- 500 000 utilisateurs
- 30 000 drivers occasionnels
- Fonctionnement uniquement de 20 heures à 6 heures du matin.
- Ce sont les chauffeurs particuliers qui fixaient leur prix, avec une limite de 6000€/ an maximum, le tarif moyen étant de 10€.
27 septembre 2017 – Heetch se relance avec une levée de fonds de 10 millions d’euros (Les Echos)
L’application de transports spécialisée dans les trajets la nuit et le weekend revient avec une offre de VTC et un service de co-voiturage nocturne.
Six mois après sa condamnation par le tribunal correctionnel de Paris pour exercice illégal d’activité de taxi, Heetch se relance. L’application de transports, principalement utilisée en région parisienne, a annoncé ce mercredi avoir levé 10 millions d’euros, tout en affirmant « respecter la décision de justice ».
Cette levée de fonds, réalisée auprès des fonds Félix Capital, Alven et Via HD, doit permettre « un retour gagnant alors que Heetch a été contraint de se conformer à la décision de justice et de repartir de zéro », promet le groupe français dans un communiqué.
Une « violente condamnation »
Cas emblématique de la rivalité entre taxis et VTC, Heetch et ses fondateurs avaient été condamnés (plus de 1 500 chauffeurs de taxi s’étaient constitués parties civiles) en mars à verser plus d’un demi-million d’euros au total pour plusieurs chefs : complicité d’exercice illégal de la profession de taxi, pratique commerciale trompeuse et, enfin, organisation illégale d’un système de mise en relation de clients avec des chauffeurs non professionnels.
Explication: transporter un particulier par un autre particulier en échange d’argent est illégal. Le covoiturage (partage de frais de carburant et entretien de la voiture) est autorisé car les utilisateurs partagent les frais. Heetch n’a pas été considéré comme du covoiturage. Comme UberPop, interdit.
Développement international
Privée de son service phare de transport entre particuliers, la startup s’est réinventée autour de deux services : “La Base“, solution de covoiturage nocturne courte distance destinée aux jeunes – qui limite les trajets à un aller-retour par conducteur chaque soir, sur un itinéraire défini à l’avance – et “Le Pro”, une offre VTC avec l’une des commissions les plus basses du marché (15%) (assurée par des chauffeurs indépendants qui travaillent aussi pour les autres plateformes)
Heetch dit désormais assurer quelque 70.000 trajets par semaine et veut maintenant faire monter ce chiffre à 300.000 d’ici la fin 2019, dont la moitié à l’international.
Le groupe, déjà présent en Suède, en Italie et en Belgique, veut en effet employer une partie de ses nouveaux fonds « au développement international avec l’objectif d’ouvrir rapidement de nouvelles villes, dont Londres ».
LE POSITIONNEMENT DE HEETCH
Heetch s’est toujours positionnée comme une offre complémentaire pour absorber les pics de demande, du week-end et de la nuit, qui ne peuvent être absorbés par les offres traditionnelles ou publiques.
L’idée = devenir le Lyft européen (Lyft est le concurrent américain de Uber).
Les particularités du service Heetch
« Notre ADN est très différent des services existants. Là où les plateformes de VTC classiques proposent une expérience uniforme, nous souhaitons au contraire proposer une expérience unique à chaque trajet. Nous souhaitons rendre la nuit et la mobilité plus humaine, conviviale, accessible. C’est pourquoi nous continuons d’appliquer les recettes qui ont fait notre succès : sur Heetch, on monte à l’avant, tout le monde se tutoie, etc. Une expérience qui correspond aux attentes des passagers et qui fait que nos passagers et conducteurs se souviennent de chacun de leurs différents trajets.» déclare Teddy Pellerin, co-fondateur de Heetch.
Les fondateurs d’Heetch continuent à militer pour un changement de réglementation du secteur. Selon eux; les solutions traditionnelles de mobilité ne permettent pas actuellement de répondre à un certain nombre de situations non conventionnelles, comme la mobilité nocturne, de banlieue à banlieue ou en zone rurale.
Lundi bonheur, 3 avril !
En ces temps mitigés, les fils d’actu semblent égrener des nouvelles si moroses qu’elles en éclipsent presque les bonnes! Pourtant, la France ne manque ni de dynamisme, ni de créativité, ni de joie de vivre. Parce que c’est en voyant le verre à moitié plein qu’on trouve souvent l’énergie du changement, nous avons décidé de vous offrir, chaque lundi sur ce blog, la newsletter des bonnes nouvelles! A partager sans modération!
LES STARTUPS ONT LEVÉ 245 MILLIONS € CE MOIS-CI et 94 millions du 27 au 31 mars
Maddyness annonce ce matin que : « la plus importante levée du mois mais aussi de la semaine est celle d’Oodrive, l’éditeur cloud français qui lève 65 millions d’euros pour asseoir sa position en France et en Europe. Globalement, en mars, c’est le secteur de la santé qui s’illustre particulièrement avec 10 levées, (Cardiawave, Hemarina, Imalink medical, BioenTech, Peptimimesis, KapCode, Vect-Horus, Advicenne, Nosopharm, Hellocare), dont 3 cette semaines, pour un montant total de 39 millions d’euros ».
VOUS CONNAISSEZ LILO? LE GOOGLE SOLIDAIRE FRANÇAIS, DÉPASSE LE 1/2 MILLIARD DE RECHERCHES !
Crée en 2015, LILO est le seul moteur de recherche solidaire qui finance des projets sociaux et environnementaux, et compense l’émission de carbone en allant au-delà de la neutralité carbone correspondant à son activité. Cette alternative réunit 700 000 utilisateurs par mois et comptabilise plus de 30 millions de recherches par mois. En reversant 50 % de ses revenus à des structures de l’économie sociale et solidaire, Lilo a déjà reversé plus de 220 000€ à 50 projets sociaux et environnementaux!
RSE: LA FRANCE, BONNE ÉLÈVE
La deuxième édition du baromètre EcoVadis-Médiateur des entreprises comparant la performance RSE des entreprises françaises avec celles des pays de l’OCDE et des BRICS est plutôt favorable aux sociétés hexagonales. Les PME et ETI notamment s’en sortent bien par rapport à leurs homologues des autres pays.
50% DES FRANÇAIS CONCERNÉS PAR LA RECONVERSION PROFESSIONNELLE – étude OpinionWay pour A little Market
« J’ai envie de changer de vie », “si je pouvais, je changerai de métier”, « J’approche de la quarantaine, c’est maintenant ou jamais ». Qui n’a jamais entendu ces phrases ?
Si aujourd’hui 47% des Français sont convaincus qu’ils passent à côté de leurs vies, ils sont 50% à s’être déjà reconvertis, à y songer ou à y avoir pensé selon un sondage OpinionWay pour le site A little Market paru ce matin.
POUR TOUT COMPRENDRE SUR L’ÉCONOMIE COLLABORATIVE – Covoiturage, vente d’objets d’occasion: rien à déclarer!
[CLIN D’OEIL] – DE L’IMPORTANCE DE LA FLUIDITÉ DU PARCOURS CLIENT EN LIGNE – Une vidéo amusante, qui reste d’actualité!
Coovia ouvre son capital au Groupe Actia
Le Groupe international ACTIA basé à Toulouse, vient d’entrer au capital de la startup Coovia, la plateforme de covoiturage pour les trajets du quotidien créée fin 2012 par David Larcher.
Eco-mobilité et mobilité urbaine, deux axes forts du partenariat
L’application Coovia, qui permet aux usagers de partager leurs trajets ordinaires de façon souple et réactive, adresse une réponse concrète aux problèmes d’embouteillages qui congestionnent les grandes métropoles au quotidien. En effet, grâce aux trois concepts phares qui caractérisent le service – Optimisation, Mutualisation des trajets et Association à l’offre de transports en commun – il devient possible de réduire fortement le nombre de véhicules sur la route… tout en améliorant l’offre de transport disponible.
« Près de 5 millions de sièges vides circulent quotidiennement dans la grande agglomération toulousaine, alors que beaucoup de gens travaillent au même endroit et s’y rendent aux mêmes heures. Coovia va permettre à toutes ces personnes de se mettre en contact et de partager leur trajet de façon simple et intuitive », explique David Larcher, Directeur général de Coovia.
Une levée de fonds qui porte d’ores et déjà ses fruits
Concrètement, l’entrée d’ACTIA au capital de Coovia a permis à la startup de passer à la vitesse supérieure. Aujourd’hui, Coovia c’est :
- une équipe de 9 personnes à temps complet
- une nouvelle application, disponible sur coovia.fr, sur Google Play et Apple Store
- un positionnement qui se traduit par une nouvelle identité graphique et la baseline Transportons-nous
- une campagne d’affichage, radio et presse de grande échelle sur Toulouse et agglomération
- une offre B2B proposant une solution technique et un accompagnement sur mesure, testée au sein de plusieurs organisations toulousaines.
Coovia prévoit d’ores et déjà de déployer son service de covoiturage local dans d’autres grandes villes françaises dans les mois qui viennent. A moyen terme, le savoir-faire d’ACTIA en télématique et dans le domaine du véhicule connecté permettra de nouveaux développements pour une intégration encore plus poussée du covoiturage aux pratiques de conduite.
⇒ David Larcher, directeur général de Coovia, était notre invité il y a quelques mois. Ecoutez, réécoutez, ou téléchargez le podcast:
KAROS automatise votre covoiturage quotidien. C’était au Business Club (podcast)
INÉDIT EN ÉTÉ
Dans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio
→ Diffusion : samedi 20/08/2016 à 7h et 20h (nouvel horaire grille d’été) | dimanche 21/08/2016 à 15h
TALK 1 : Après la carte de visite et le jean connecté, BUZCARD connecte la carte Vitale!
TALK 2 : AVENUE NAUTIQUE et SPORTS AVENTURE : le mariage de deux pépites bordelaises
TALK 3 : Avec son algorithme, KAROS anticipe vos besoins en covoiturage
TALK 4 : CAPTAIN CONTRAT a levé 1 M€ pour s’étendre en Europe
TALK 3: KAROS, avec Olivier Binet, président
Ecouter, réécouter et télécharger l’interview:
Créée en 2014 par Olivier Binet, spécialiste du financement et du développement d’entreprises de croissance, et Tristan Croiset, expert Big Data et Machine Learning.
Après 2 années de développement et fort d’une équipe de 13 experts en data science, big data, développement mobile, marketing digital, design et psycho-ergonomie, Karos a inventé le court-voiturage et lancé son application mobile en 2015. En quelques mois, l’application a convaincu plus de 20 000 utilisateurs qui proposent 250 000 km à parcourir chaque jour. La société commercialise son offre auprès de grand comptes. 12 d’entre eux l’ont déjà adoptée, améliorant ainsi le quotidien de leurs salariés, tout en augmentant l’accessibilité de leurs sites et réduisant leur empreinte carbone.
Soutenue par le Ministère de la Recherche et BPI France, ambassadrice de la French Tech à la COP 21 et membre de la plateforme Ville-durable de Paris&Co, Karos a été primée à 8 reprises pour son innovation de rupture.
>> POURQUOI KAROS ?
CONSTAT
15 millions de trajets sont effectués chaque jour, 40 millions de sièges sont libres, et il n’existe aucune solution de covoiturage adaptée aux trajets du quotidien
> S’il fonctionne pour les vacances (Blablacar), le covoiturage est impossible à gérer pour le quotidien ! Fixer deux fois par jour (A/R) un lieu de rendez-vous pour covoiturer, c’est trop chronophage et pas assez rentable.
SOLUTION
Une application, automatisée et simplissime, capable de prédire et proposer en temps réel les trajets aux conducteurs et passagers
> Une fois l’application installée, Karos apprend automatiquement les besoins des conducteurs et passagers, anticipe les trajets et propose en temps réel des covoitureurs grâce à des algorithmes de prédiction des trajets
AMBITION
Faire de l’automobile un véritable transport en commun du quotidien
> Réduire les émissions de CO2
> Réduire les coûts liés à la congestion automobile.
> Diviser par 2 le prix d’un trajet domicile/travail
QUELQUES FAITS
· 12.000 utilisateurs proposent 230 000 km à parcourir chaque jour
· Karos a levé 1,2 M€ l’an dernier et s’apprête à lancer une nouvelle levée de fonds
· Karos est soutenue par des entrepreneurs reconnus : Franck Le Ouay (co-fondateur de Criteo), Charles Egly (co-fondateur de Prêt d’Union) et Florian Douetteau (co-fondateur de Dataiku).
· Karos a été primée à 8 reprises pour son innovation de rupture au service du développement durable et était ambassadrice de la French Tech à la COP 21.
POINTS FORTS
- Karos se démarque des autres applis du même type grâce à l’intelligence artificielle, avec son algorithme de prédiction des trajets
ACTUALITÉ
JUIN 2016 – Total Réunion et Karos développent le covoiturage domicile-travail à La Réunion
Total Réunion et Karos, application mobile intelligente de covoiturage domicile-travail, s’associent pour développer le covoiturage courte-distance à La Réunion. L’objectif de ce partenariat : faire adopter cette pratique écoresponsable aux réunionnais pour en finir avec le stress et la pollution engendrés par l’engorgement des réseaux routiers.
Alors que 40% des salariés travaillent en dehors de leur commune de résidence et que 70% des trajets domicile-travail convergent vers les 4 principaux bassins d’emplois de l’Ile, La Réunion est un territoire particulièrement propice au lancement d’un service de covoiturage domicile-travail.
7 JUIN 2016 – L’application mobile Karos intègre désormais FastMatch® et PredictWay® 2.0, deux modules très innovants qui font passer le covoiturage du quotidien dans l’ère du court-voiturage.
L’application mobile Karos est un véritable concentré d’innovation et, avec FastMatch® et PredictWay® 2.0, la dernière mise à jour, va continuer de bouleverser les habitudes de transport de ses utilisateurs.
FastMatch® multiplie par 5 la réactivité de l’application : le meilleur trajet en temps réel
FastMatch® combine algorithmes et heuristiques pour trouver en un temps record les meilleures solutions clés en main de covoiturage. Aucune perte de temps pour l’utilisateur : l’application trouve des covoitureurs instantanément, tout en garantissant un haut niveau de fiabilité puisque dans 80% des cas, le trajet anticipé par l’application a vraiment lieu.
PredictWay® 2.0 invente le réseau de transport prédictif
PredictWay® 2.0 apprend en continu les habitudes de mobilité de l’utilisateur jusqu’à anticiper chacun de ses prochains trajets à J+2 ! Les algorithmes prédictifs du module s’appuient sur les capteurs du Smartphone de l’utilisateur… mais pas seulement et c’est la nouveauté majeure de cette version. PredictWay® 2.0 corrige les erreurs constatées sur les capteurs, tout en limitant la consommation de batterie à 5% pour une utilisation hebdomadaire normale, afin de préserver l’autonomie du smartphone. Cette nouvelle brique technologique rend donc l’application Karos toujours plus simple, toujours plus fiable, capable de répondre aux besoins de ses utilisateurs mais aussi de les anticiper pour un usage automatisé et extrêmement facile du covoiturage.
DANS LA PRESSE
Karos : du covoiturage intelligent pour économiser sur ses trajets domicile-travail
Karos (prononcé carrosse) n’est pas une application de covoiturage comme les autres. Elle se distingue à plus d’un titre.
Pour commencer, contrairement aux plateformes de covoiturage conventionnelles telles que BlaBlaCar qu’on utilise essentiellement le week-end pour des trajets de 300 km en moyenne, Karos est un service spécialisé dans les courtes distances au quotidien. Elle vise à transformer la voiture individuelle en réseau de transport en commun, complémentaire des réseaux publics de bus, métro, etc.
Karos part du constat que la voiture est pour la plupart des conducteurs un mal nécessaire. Deux tiers des travailleurs franciliens par exemple vivent et/ou travaillent à plus de 10 min à pied d’une station du réseau Stif. En raison de zones mal desservies par les transports publics à cause d’une densité de population trop faible, rien qu’en Île-de-France, les travailleurs effectuent chaque jour 15 millions de trajets en voiture, soit environ 40 millions de sièges inoccupés.
Big data et intelligence artificielle pour automatiser le covoiturage
(…) Pour ce faire, l’application mobile apprend des habitudes de chacun de ses membres : elle identifie leurs destinations, leurs horaires variables en fonction des jours de la semaine, et prédit avec 90 % de réussite leurs trajets quotidiens. Sur le plan financier, conformément à la législation, le conducteur est défrayé, sur la base d’un coût de 0,20 euro par kilomètre. Le service coûte donc 0,10 euro/km à un passager. Dans l’ensemble, le service serait selon Karos trois à cinq fois moins cher que le bus. Une calculette est d’ailleurs disponible sur le site internet du service.
DANS ENVIRONNEMENT MAGAZINE – MARS 2016
Big data : Karos lève des fonds pour s’imposer dans le covoiturage sur courte distance
(…) La start-up recherche un million d’euros d’ici à l’automne 2016 pour continuer à se développer. (…)
L’application est gratuitement téléchargeable. La start-up se rémunère pour l’instant auprès des entreprises et collectivités locales qui adoptent sa solution pour faciliter les trajets de leurs collaborateurs ou administrés. En 6 mois, la solution a été déployée dans 12 entreprises. Elle compte signer cette année un premier accord avec une collectivité. Karos revendique 12000 inscrits, dont 1500 utilisateurs actifs par semaine. « Pour atteindre la rentabilité, il nous faut travailler avec des entreprises ou collectivités couvrant un peu plus de 200000 personnes, dont 30000 à 40000 covoitureurs réguliés », évalue Olivier Binet.
Principal frein à son développement : changer les habitudes. Pour y parvenir, Karos mise sur la simplicité de son application, sur le bouche-à-oreille et sur cette levée de fonds en 2016. La start-up a été fondée au début 2014 et a déjà collecté 1,2 million d’euros. Elle compte atteindre la rentabilité d’ici à 2018.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.