critizr
Critizr, l’appli des clients mécontents. C’était au Business Club! (podcast)
Dans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio
→ Diffusion : samedi 13/02/2016 à 7h | dimanche 14/02/2016 à 15h
Talk 1 : CRITIZR: une levée de fonds pour s’internationaliser
Talk 2 : BBCHOO, un tout nouveau site pour aller encore plus loin dans l’offre puériculture
Talk 3 : Taillardat, rachetée par un « petit LVMH », se développe à l’international
Talk 4: Le rendez-vous du médiateur des entreprises, avec Pierre Pelouzet
Talk 1 : CRITIZR, avec Nicolas Hammer, président cofondateur
Ecouter, réécouter et télécharger cette interview:
Avec Critizr, c’est une nouvelle façon de dire « Appelez-moi le directeur! ». Sur la plateforme Web et mobile, les internautes déposent leurs avis et échangent avec les responsables d’un magasin, d’un restaurant ou encore d’un bar.
Créée en 2012, la startup est basée à Lille (Euratechnologies) et emploie aujourd’hui 20 personnes.
Depuis 18 mois, l’entreprise connaît une forte croissance avec : un volume croissant de feedbacks (+15% chaque mois), la signature de 9 enseignes, dont Carrefour et Total, représentant plus de 7 500 points de vente.
Aujourd’hui, plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr, véritable vitrine de l’entreprise.
ACTUALITÉ
12 décembre 2015 – Levée de fonds de 2,5 millions € auprès de Point Nine capital (allemand) et Runa Capital (russe). (la 1ère avait eu lieu en mai 2013: 400 000€)
L’arrivée de ces deux sociétés de capital-risque va permettre au lillois Critizr de bâtir un plan de recrutement de nouveaux collaborateurs pour renforcer les équipes support, marketing, R&D et ventes. Mais « l’enjeu est maintenant l’international, pour notamment accompagner certains de nos grands clients comme Carrefour ou Leroy Merlin. Ainsi nous ciblons l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, puis la Grande Bretagne« , explique Nicolas Hammer, co-fondateur de Critizr.
La société lilloise, basée à Euratechnologies, annonce avoir, pour 2015, multiplié par dix son chiffre d’affaires de 2014 qui était « très supérieur à 100 000 euros ». Elle a notamment engrangé la signature de 9 enseignes, dont celles de Carrefour et Total. Au total, elle compte 16 enseignes soit 7500 points de vente.
Plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr. Fondée en 2012 à Lille par Nicolas Hammer et Thibaut Carlier, Critizr vise les 35 salariés à la fin de l’année prochaine. La start-up propose une plateforme multicanale de relation client. Ce dernier, via une application gratuite, peut transmettre ses remarques, notes et critiques sur les enseignes référencées. Lesdites enseignes peuvent de leurs côtés lancer des demandes d’évaluations et naturellement y répondre. (article complet sur L’Usine Digitale)
COMMENT ÇA MARCHE?
Une question sur un produit, un problème lors d’un achat? Plus besoin de faire la queue en magasin ou de remplir des formulaires sur Internet. Il suffit d’écrire un message et Critizr se charge du reste. «Par exemple, un client qui ressort mécontent parce qu’il a reçu un burger froid d’un fast food, peut déposer un “problème”. De notre côté, on contacte le commerçant pour qu’il réponde au message», détaille Nicolas Hammer, le président de la start-up.
Les consommateurs peuvent aussi déposer des compliments et des suggestions pour aiguiller les autres dans leurs choix. L’ensemble des messages s’affichent au fur et à mesure sur un fil d’actualité, comme sur Twitter. À mi-chemin entre l’économie collaborative et le traditionnel SAV, le concept semble trouver son public.
Via l’application, les clients sont mis en relation avec un employé du point de vente précis auquel ils font référence. «On cherche en priorité à ce que se soit le directeur du point de vente en question qui réponde au message de l’utilisateur, car c’est le plus à même d’effectuer une modification», indique Nicolas Hammer. «Parfois, ce sera le manager du rayon concerné, notamment pour les grandes enseignes».
L’objectif de l’application est d’optimiser la relation client via un système de notation. «Les notes attribuées aux enseignes ne concernent pas la qualité du produit, mais bien la relation client», souligne le président Critizr. Plus une enseigne prendra la peine de répondre rapidement et avec précision aux messages des clients, meilleure sera sa note.
Enfin, l’application va même jusqu’à rémunérer certains de ses contributeurs (35 centimes le message). «Il s’agit d’un groupe de 5000 utilisateurs les plus actifs qui font des publications plus détaillées, plus fréquentes et prennent des photos. Ainsi, les gérants obtiennent davantage d’informations pour améliorer leur point de vente», conclut Nicolas Hammer. (article complet dans Le Figaro)
EuraTechnologies, la machine à emplois! C’était au Business Club (podcast)
Dans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio
→ Diffusion : samedi 9/01/2016 à 7h | dimanche 10/01/2016 à 15h
Talk 1 & 2 : EURATECHNOLOGIES, 3ème accélérateur en Europe, 1er en France!
Talk 3 : MILIBOO, marque de meubles sur Internet, est entrée en bourse
Talk 4: Le rendez-vous du médiateur des entreprises, avec Pierre Pelouzet
Talk 1 & 2 : EURATECHNOLOGIES, avec Raouti Chehih, directeur – Richard Ollier, président de GIROPTIC et Thibault Carlier, cofondateur de CRITIZR
Ecouter, réécouter et télécharger cette interview:
Créé en 2009, EuraTechnologies vient d’être classé 3e accélérateur le plus important en Europe, et le 1er en France ! En cinq années d’existence, EuraTechnologies a en effet réussi à s’imposer comme le fer de lance de l’économie numérique française avec la création de 3 500 emplois et la mise en place d’un réseau dense à l’échelle internationale (bureaux et partenaires à San Francisco, Dubaï, Shanghai, New-York, Belo Horizonte), dans une région touchée par deux crises industrielles majeures (industrie minière puis textile).
Toute une filière se structure durablement avec la création d’emplois pérennes (environ 300/an) au sein d’EuraTechnologies.
En parallèle, EuraTechnologies a permis à des entreprises comme GIROPTIC, CRITIZR, XBRAIN SOFT, ADICTIZ, LECOMPARATEURASSURANCE.COM, FITIZZY, STEREOGRAPH, VISIOTALENT, VEKIA… de voir le jour mais surtout de prendre leur envol en France et à l’international.
Chiffres clés
• Plus de 100 millions d’euros levés depuis 2009 par les start-ups
• 250 projets accompagnés
• 145 sociétés hébergées
• 3 500 salariés
• plus de 500 événements en 2015
2 PÉPITES D’EURATECHNOLOGIES
GIROPTIC
Créée en 2008, la startup lilloise Giroptic a développé la première caméra au monde qui prend des photos et vidéos en haute définition, à 360°. En temps réel, les images et vidéos peuvent être uploadées sur Youtube, ou vues en live, sans aucune action de la part de l’utilisateur. Avec l’objectif initial de fournir des solutions de prises de vues panoramiques pour les agents immobiliers, Giroptic a évolué pour finalement offrir tout son savoir-faire technologique au grand public et permettre aux utilisateurs de créer de véritables scènes immersives que l’on peut regarder sous n’importe quel angle et avec n’importe quel focus.
Une technologie disruptive qui séduit puisque la jeune pousse annonce une levée de fonds de 4,5 millions de dollars (décembre 2015) auprès des fonds d’investissement Partech Ventures, 360 Capital Partners, SOSV et Finorpa ainsi que de business angels comme Pascal Cagni (fondateur et CEO de C4 Ventures), Oleg Tscheltzoff (fondateur de Fotolia) ou encore l’artiste Aloe Blacc. Mais la startup a également mené une campagne de crowdfunding sur Kickstarter en 2014, qui lui a permis de lever un peu moins d’1,5 million de dollars. Au final, Giroptic a donc levé 6 millions de dollars.
CRITIZR
Critizr est une plate-forme spécialisée dans la relation clients : les consommateurs peuvent en effet, via une application mobile ou par l’intermédiaire de sites web, faire part de leur avis directement au directeur du magasin. Créée en 2012, l’entreprise vient de lever 2,5 millions d’euros (décembre 2015) auprès de deux fonds d’investissement spécialisés dans les nouvelles technologies, l’allemand Point Nine capital et le russe Runa capital.
LES OBJECTIFS
2016 verra le démarrage des travaux sur le bâtiment Place pour 3 000 m2 (Inria Tech et CITC) et l’accueil du CEA. Le chantier de Lomme3 pour 5 000 m2 sera lancé vers le milieu d’année ». Fin 2017, de 35 000 à 45 000 m2 supplémentaires (contre 55 000 m2 aujourd’hui) feront leur apparition. L’idée est de faire de 2016 une année « de levier » qui propulsera le site vers son rythme de croisière avec 500 entreprises et plus de 6 000 salariés.
500 événements par an, 94 000 visiteurs en quatre ans, 25 délégations issues de 45 pays qui analysent ce qui se fait à Lille…
Euratechnologies est bien plus qu’un parc numérique, certainement pas un hôtel d’entreprises, un lieu qui vit par lui-même. « C’est un tout », glisse Pierre de Saintignon qui y perçoit, jetant un regard sur le 5e étage, un potentiel fabuleux… culturel ou ludique. « Nous prévoyons d’y construire un bar à jazz, avec ascenseur en verre, qui accueillera les plus grands groupes et qui sera ouvert 24h/24 ». Ce club complétera une offre qui se résume, pour le moment, à six restaurants ou services de restauration sur place. Un chapiteau « pouvant abriter jusqu’à 10 000 personnes » est à l’étude. Et de rêver : « Un jour, la convention mondiale d’IBM se passera ici ». La création d’une salle de sport et d’un parking silo étant évoquées dans les deux ans. (article complet dans La voix du Nord)
ACTUALITÉ
>> Décembre 2015: Leroy Merlin ouvre le plus grand atelier collaboratif d’Europe à EuraTechnologies
Une pièce métallique à prototyper, une maquette à réaliser, ou tout simplement un vélo à réparer… Le concept TechShop, né aux États-Unis dans la Silicon Valley en 2006, et importé par Leroy Merlin, c’est un atelier collaboratif où l’on peut louer, le temps d’une journée, d’une semaine ou d’un mois des machines semi-industrielles, pour réaliser ses rêves.
« Nous allons créer le plus grand maker space (espace de fabrication) d’Europe, explique Pascal Malfoy, directeur général délégué de Leroy Merlin. On y trouvera un parc de 150 machines, allant de la découpe laser à l’imprimante 3D, mais aussi des ateliers bois, textile, métal, des suites logicielles de conception et de design, des espaces de co-working. »
« Cela va compléter l’offre de l’écosystème innovant d’EuraTechnologies, en donnant à tout un chacun, start-up, entreprises, étudiants, habitants, l’occasion de donner forme à tous ses projets », s’enthousiasme Pierre de Saintignon, président d’EuraTechnologies. (article complet dans La voix du Nord)
>> Avril 2016: L’Inria de Lille installe des troupes dans Euratechnologies pour apprendre à entreprendre
Le centre de recherche Inria expérimente à Lille sa nouvelle plate-forme dédiée aux transferts de ses technologies vers les entreprises. Baptisée InriaTech, celle-ci est intégrée dans les locaux du pôle Euratechnologies et permettra à Inria Lille de stimuler ses activités de R&D et de création de start-up.
Pour réaliser un contrat de R&D avec une entreprise, le centre Inria Lille a la plupart du temps besoin de recruter un ingénieur. Ce qui allonge de manière significative la concrétisation de celui-ci : 2 mois de négociation avec la société, 3 mois de recrutement de l’ingénieur et 2 mois pour sa formation aux technologies de Inria Lille. C’est sur ces deux derniers points que InriaTech va jouer son rôle « d’accélérateur », le temps de négociation avec l’entreprise ne pouvant être réduit. Au lieu de recruter selon les besoins, l’idée est de disposer d’ingénieurs formés qui pourront être rapidement placés sur des contrats avec les entreprises de la région.
A terme, Inria Lille espère accueillir 20 à 30 personnes sur sa plateforme. « Nous avons un besoin énorme d’ingénieurs spécialisés en Big Data car la demande est forte », commente le directeur Inria Lille. Cette demande l’est également en Cloud Computing, en Internet des objets et en robotique. « On dit toujours que le coeur d’activité du Nord-Pas-de-Calais est le ferroviaire. Mais ce secteur comprend 17 000 emplois alors que le numérique 30 000 ! L’objectif de la French Tech est de passer à 60000 emplois dans le numérique en 5 ans. »
Les membres de InriaTech participeront aux différents événements organisés par le pôle d’activités, recevront des formations à l’entreprenariat et seront au contact d’entrepreneurs qui ont déjà développé leur start-up. Toutes les conditions seront réunies pour que ces ingénieurs soient amenés à concevoir et développer – en parallèle de leur première mission – leur propre projet de création de start-up.
French Tech : le pôle EuraTechnologies a fait ses preuves
(…) « Les projets sont incubés durant dix-huit mois avec obligation de se requalifier tous les trois mois pour pouvoir rester », explique Raouti Chehih, directeur d’EuraTechnologies. Quant à l’accélérateur, qui vise des entreprises ayant moins de 5 ans, il en a déjà hébergé soixante depuis cinq ans.
Ont ainsi émergé, de l’un et/ou de l’autre, des pépites telles que Stereograph (solutions 3D pour l’architecture, 23 salariés), Giroptic (caméra vidéo 360 degrés, 24 salariés, 1,4 million d’euros levés sur Kickstarter au printemps), Adictiz (Paf le Chien, 20 salariés) ou encore Vekia (logiciels de gestion prévisionnelle, 38 salariés, qui vient de lever 2,4 millions d’euros).
Ces success-stories devenues références sont un facteur d’attractivité pour EuraTechnologies, qui a su créer son propre écosystème. Ce pôle d’excellence choisit ainsi soigneusement les entreprises hébergées, veillant à ce qu’elles soient en synergie entre elles et qu’il n’y ait pas de doublon. On y compte aujourd’hui plus de 140 entreprises pour 3.500 emplois, avec des locomotives aussi prestigieuses que Cisco, IBM, Capgemini, Microsoft ou Tata, qui donnent de leur temps aux jeunes pousses, ainsi que d’autres grandes entreprises présentes en région, comme OVH.
Sur un an, « une vingtaine de millions d’euros ont été levés »
L’incubateur apporte par ailleurs toute une palette de services d’accompagnement, mobilisant tous les acteurs et proposant des ressources extérieures : juridique, RH, développement commercial, aide technologique, soutiens financiers (« business angels » ou fonds régionaux) — car l’incubateur n’entre jamais au capital. « Sur les douze derniers mois, une vingtaine de millions d’euros ont ainsi été levés par des entreprises d’EuraTechnologies », se félicite Raouti Chehih.
C’est d’ailleurs l’écosystème créé par EuraTechnologies et cette capacité à se fédérer autour d’un totem qui a servi de modèle au label French Tech. « Nous étions en fait à un stade de maturité suffisamment avancé, mais ce label a permis d’aller au-delà, en fédérant tous les territoires de notre région – avec Valenciennes (et ses Rives créatives de l’Escaut), Lens (le pôle numérique culturel autour du Louvre Lens), Calais (l’accélérateur numérique Tektos), Roubaix-Tourcoing (La Plaine Images et, bientôt, Blanchemaille) –, ce qui va nous faire entrer dans le réseau national et nous situer au niveau mondial », ajoute-t-il. (article complet sur Les Echos)
Blanchemaille : EuraTechnologies ouvre une déclinaison e-commerce à Roubaix
Les pouvoirs publics ont inauguré le futur coeur de Blanchemaille, antenne d’EuraTechnologies qui fédérera bientôt tout un écosystème autour de 50 start-up e-commerce.
Ce 25 novembre était inauguré à Roubaix le lieu totem de Blanchemaille, déclinaison e-commerce du plus gros incubateur de France, le Lillois Euratechnologies. Installé dans d’anciens locaux de La Redoute, qui possède toujours le bâtiment, Blanchemaille accueillera sur 2 000 mètres carrés un incubateur, un accélérateur et un hôtel d’entreprises.
Adoptant le même modèle qu’EuraTechnologies, il comptera également pour partenaires des écoles, des laboratoires, des investisseurs et des entreprises. Outre La Redoute, Showroomprivé, OVH, Cylande et Altima sont déjà annoncés.
« L’e-commerce est un vrai enjeu pour le territoire, souligne Raouti Chehih, directeur général d’Euratechnologies. De notre côté, nous souhaitons nous diversifier sur plusieurs verticales dans la région. Et ce projet est la suite de logique de nos activités dans l’e-commerce. Mais Blanchemaille va aussi permettre à ce territoire de ne pas perdre son avantage historique sur l’e-commerce. Jusqu’ici, entre Euratechnologies et La Plaine Images, il restait quelque chose à faire sur ce secteur. D’où l’idée d’un lieu d’accompagnement des initiatives et des créations d’entreprises d’e-commerce dans la région. »
« Nous allons suivre le même schéma qu’à Lille, explique Raouti Chehih. Nous allons d’abord accueillir 50 entreprises, mais d’autres pourront s’implanter tout autour. Nous organiserons aussi une vingtaine d’événements par an, pour diffuser le savoir-faire et les réussites en matière d’e-commerce. Et nous chercherons l’équilibre financier en développant et en commercialisant des services d’accompagnement, pour à terme ne plus dépendre de financements publics. Quand nous aurons réussi cela, nous pourrons nous étendre tout autour de Blanchemaille, il y a de la place. »
Les premiers occupants prendront possession des lieux fin janvier 2016. Euratechnologies rentre actuellement en phase de sélection des start-up et s’apprête à lancer son appel à candidatures. Une première jeune pousse a déjà été sélectionnée : Izyloc, site de petites annonces de logement étudiant. (article complet sur Le Journal du Net)
Critizr annonce une levée de fonds de 2,5 millions €
CRITIZR, startup d’Euratechnologies (Lille), que nous suivons depuis ses débuts en 2012, vient de réaliser la 2ème levée de fonds de son histoire. Un montant de 2,5 millions d’euros, opération réalisée auprès de Point Nine Capital et Runa Capital.
Critizr propose une plateforme destinée à faciliter l’expression des clients en points de vente. En 18 mois, l’entreprise connaît une forte croissance avec : un volume croissant de feedbacks (+15% chaque mois), la signature de 9 enseignes, dont Carrefour et Total, représentant plus de 5 000 points de vente. Aujourd’hui, plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr, véritable vitrine de l’entreprise.
En mai 2013, l’entreprise avait déjà levé 400 00€. La nouvelle levée de fonds a pour objectif de répondre à une demande croissante de grands noms de la distribution : repositionner le client au cœur de leurs préoccupations. La participation de Point Nine Capital et Runa Capital se traduit par un projet de recrutement de nouveaux talents pour renforcer les équipes Support, Marketing, Ventes, R&D.
Critizr lève 400 000 euros ! Flash
Selon le JDN, Le Groupe IRD, OTC Asset Management et plusieurs business angels apportent à la start-up de Nicolas Hammer et de Thibaut Carlier de quoi agrandir leurs équipes et d’élargir leur communauté.
Critizr vient de réaliser une augmentation de capital de 400 000 euros, soit le double de ce que la société ciblait, pour assurer le développement de sa solution mobile qui souhaite révolutionner la relation client en points de vente.
Revendiquant bientôt 100 000 utilisateurs de son application, Critizr propose une solution qui permet de dématérialiser les plaintes des consommateurs en point de vente : les utilisateurs peuvent s’adresser directement au management d’une enseigne en envoyant leurs remarques sur l’application.
La start-up est déjà référencée par 10 000 points de vente et a notamment séduit des grands groupes comme Auchan, Carrefour et Mc Donald’s….
Nicolas Hammer revient sur cette actualité :
Nous avions reçu Nicolas Hammer dans le Business Club de France, Nicolas Hammer. Retrouver l’émission ici
Le communiqué de presse de cette opération (pdf) : CP-Levée-Critizr-21Mai-2013
Article complet du JDN ici
Critizr : à découvrir dans le Business Club (part 2)Podcast
C’était dans le Business Club de France :
- Sixième Son : créateur notamment du « jingle » de la SNCF. Mais comment sont créés ses petites musiques ? Avec Michaël Boumendil
- Critizr : la nouvelle application qui vous permet de critiquer en bien ou en mal tous les lieux publics que vous fréquentez. Avec Nicolas Hammer
- Fysiki : Il est temps de se remettre au sport ! Une nouvelle solution pour faire du sport devant votre écran d’ordinateur avec un programme personnalisé. Avec Julien Lavault.
- Lulu Frenchie : Il a osé mettre de la pub sur les verres de lunette de soleil. C’est un succès énorme pour ce jeune entrepreneur : Paul Morlet
→Emission diffusée sur BFM Business Radio :
Jeudi 18 avril à 21h, Samedi 20 avril à 7h et dimanche 21 avril à 15h
Ecouter, réécouter ou télécharger l’émission :
[audio http://podcast.bfmbusiness.com/channel151/20130422_club_1.mp3]2e partie : Critizr avec Nicolas Hammer
→CRITIZR, l’application qui permet de critiquer, complimenter et commenter les lieux publics que vous fréquentez.
Critizr : faites enfin entendre votre voix ! C’était dans le Business Club
C’était dans Le Business Club de France. Diffusé sam 15/12 à 7h et dim 16/12 à 15h sur BFM Business Radio.
Au sommaire :
- Lansay : Fabricant et distributeur de jouets en France. Comment s’annonce Noël 2012 ?
- Critizr : une application pour faire entendre sa voix, faire connaitre son avis…
- I-Dispo : Offrez-vous une assistante virtuelle intelligente
- Groupe Armor : un « business responsable » exemplaire
Écouter ou réécouter l’émission :
[audio http://podcast.bfmbusiness.com/channel151/20121217_club_1.mp3]→CRITIZR, l’application qui permet de critiquer, complimenter et commenter les lieux publics que vous fréquentez. Avec Nicolas Hammer co-fondateur.
Fondée par deux jeunes entrepreneurs (Nicolas Hammer et Thibaut Carlier) Critizr a pour vocation de permettre aux consommateurs d’envoyer, via son application gratuite pour smartphone, une remarque sous forme de message court (problème, question, suggestion ou compliment) directement aux gérants ou aux responsables de n’importe quel type de lieu (grandes surfaces, magasins, restaurants, bars, cinéma, zoo, musées, gares, etc.). L’idée est de remplacer les boîtes à idées obsolètes et autres moyens de réclamation sans réponse.
Précisions dans ce sujet de Frenchweb :
Se plaindre en 300 caractères
Lansay – Critizr – I-Dispo – Armor dans Business Club sur BFM (radio) ce dim à 15h
Dans le prochain Business Club de France. Diffusion sam 15/12 à 7h et dim 16/12 à 15h sur BFM Business Radio.
Au sommaire : Lansay – Critizr – IDispo – Groupe Armor
→LANSAY, Fabricant et distributeur de jouets en France. Avec Stéphane Azoulai, DG de Lansay
En 1972, lors de sa création, l’entreprise Lansay lançait le premier mange-disque en France ! C’est ce qui a fait la renommée de l’entreprise. Elle était donc au départ positionnée plutôt sur l’électronique et l’audio. Puis elle a innové une nouvelle fois en 1987 en lançant la 1ère poupée avec puce électronique (poupée qui parle !). Aujourd’hui Lansay distribue toujours des produits très innovants et a élargi son catalogue en distribuant des produits dérivés d’émissions TV comme « Qui veut gagner des millions ? », « Koh Lanta », « Questions pour un champion », « Toy Story »…
Serein pour ce Noel 2012 ?
L’incertitude est de savoir quand les consommateurs iront acheter leurs cadeaux : les ventes se font chaque année plus tardives. Si cette tendance se confirme, elle fera le jeu des commerçants en ligne, Amazon en tête, et, au vu des baisses des engagements pris par la distribution physique, les ruptures se multiplieront en magasins, en particulier dans les hypers.
Que représente la période de Noel dans votre chiffre d’affaires ?
Environ 70% de notre CA est réalisé en ce moment.
Le jouet star ?
Le « spa » pour petites filles. Appareil de massage de pieds grâce à de petites billes remplies d’eau…Conçu par l’américain Maya Group, il a fait un carton outre-Atlantique où 400.000 spas ont été vendus l’an passé.
> Lansay a été créé 1972 par vos parents (Elie Azoulai et son épouse) Leur deux fils ont depuis rejoint la société : Serge (DG) en 1982, et Stéphane en 1991.
- Lieu : Argenteuil
- CA : 45 millions € prévisionnel 2012 – en hausse de 15%
- Effectif : une trentaine
- Plus de 60 millions de jouets vendus depuis la création
→CRITIZR, l’application qui permet de critiquer, complimenter et commenter les lieux publics que vous fréquentez. Avec Nicolas Hammer co-fondateur.
Fondée par deux jeunes entrepreneurs (Nicolas Hammer et Thibaut Carlier) Critizr a pour vocation de permettre aux consommateurs d’envoyer, via son application gratuite pour smartphone, une remarque sous forme de message court (problème, question, suggestion ou compliment) directement aux gérants ou aux responsables de n’importe quel type de lieu (grandes surfaces, magasins, restaurants, bars, cinéma, zoo, musées, gares, etc.). L’idée est de remplacer les boîtes à idées obsolètes et autres moyens de réclamation sans réponse.
Mais ces gérants répondent-ils réellement aux consommateurs mécontents ?
70% des entreprises présentes sur Critizr répondent aux remarques dans la demi-heure qui suit celles-ci«
Exemple :
- L’appli est gratuite :
- Elle a été déjà été téléchargée 50 000 fois
- Près de 100 000 utilisateurs prévus début 2013
- Critizr contient près de 800 000 références en France
→I-DISPO. Avec SARA, première assistante virtuelle, personnelle et intelligente : tout est possible ! Avec Laurent Lecoeur co-fondateur
« D’ici six à huit ans, tout le monde aura son assistant intelligent personnel dans la poche. Ce sera devenu complètement has been de passer du temps sur les moteurs de recherche pour comparer des prix de billets d’avion ou trouver de l’électroménager pas cher. Il vous suffira de demander à votre assistant virtuel qui vous donnera directement la réponse » dit Ismaël Nzouetom, cofondateur.
Laurent Lecoeur, notre invité. Qui est SARA ?
Sara peut contacter votre médecin pour vous, prendre rendez-vous, appeler votre banque, organiser vos vacances, trier vos dépenses personnelles
« A la différence des autres assistants vocaux intégrés aux téléphones, qui sont davantage des raccourcis vocaux des fonctions du téléphone ou des moteurs de recherche, Sara fait des tâches réelles ». Sara peut donc traiter une demande du type « Bonjour Sara, prière de prendre rendez-vous avec ma banque pour la semaine prochaine, quelque soit le jour, à partir de 14h ».
Mais encore : Demandez-lui la quantité de protéines que contient une pomme, la hauteur de la Tour Eiffel, le dernier cours euro/dollar, le temps qu’il fera à Barcelone le week-end suivant, ou encore de vous résoudre une équation mathématique, elle vous répondra de façon quasi instantanée. Sara est en effet connectée aux plus importantes bases de connaissances d’Internet et est capable de vous fournir des informations sûres dans plus de 100 domaines variés tels que la culture générale, la finance, la santé, les nouvelles technologies, le shopping, la télévision…
Le teaser de I-Dispo. Regardez
→GROUPE ARMOR. Avec Hubert de Boisredon, Président.
Activité : leader mondial de la technologie de transfert thermique (pour les codes barres entre autres – sa technologie est la plus utilisée dans le monde pour le marquage des codes à barres, logos, dates de péremption ou autres numéros de lot sur des étiquettes ou des emballages souples) et N°1 de la production de cartouches jet d’encre en Europe.
- Lieu : Nantes
- Date de création : 1922 (90 ans cette année)
- CA 2011 : 164,1 millions d’euros
- CAI 2011 : 116,6 millions d’euros
- En 3 ans, son CA a progressé de 34,4 % et son CA export de 42,8 %
- Variation du CAI 2011/2010 : + 19,62 %
- Part de l’international dans le CA : 71 % notamment aux Etats-Unis et dans les pays émergents (Brésil, Singapour, Chine).
- Effectif : environ 600 en France – 1900 dans le monde
Hubert de Boisredon prend la tête du groupe Armor en 2004. La multinationale, créée en 1922 à Nantes, d’où elle a longtemps « inondé » la France et le monde de papier carbone, puis de cartouches pour machines à écrire, puis de rouleau papier pour fax s’engage une dynamique « durable », avec comme principaux objectifs le bien-être des employés et le respect de l’environnement.
Investissements importants et stratégie ambitieuse mis en route dès 2008 comme le démontrent ce reportage de Nantes 7 de 2008
Depuis, les cartouches laser Armor sont, après utilisation, récupérées et recyclées à 95% par l’entreprise (d’où une économie pour Armor: les cartouches recyclées sont réutilisées trois ou quatre fois, avec un prix de commercialisation de 30 à 40% moins élevé que celui d’une cartouche neuve), et les rubans de transfert thermique servant à la confection des codes-barres sont produits sans solvants chimiques.
Une politique qui séduit les clients : en 2011, Armor a vu son chiffre d’affaires croître de 15% à 200 millions d’euros contre 140 en 2004.
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