drone
Newsletter du bonheur: le retour!
Après une absence de quelques semaines pour cause de planning ultra chargé, notre florilège de bonnes nouvelles revient en force! Don’t worry, be happy!
L’agrobolution arrive dans nos campagnes !
A l’approche du Salon de la Robotique agricole (29 & 30/11 à Toulouse), on apprend que le secteur devrait être le 2ème marché de la robotique de services en 2025. Tracteurs sans conducteurs, drones de suivi des productions, traite automatisée: les robots révolutionne l’agriculture. De quoi réduire la pénibilité d’un métier exigeant.
Le rêve: un client qui paie en 3 jours !
De quoi faire rougir les mauvais payeurs, trop nombreux en France. Ideal Meetings & Events est champion du règlement de factures : cette marketplace dédiée à l’événement d’entreprise (50 millions d’euros de volume d’affaires en 2016) s’est engagée à payer ses fournisseurs en 3 jours.
Réécoutez notre émission spéciale Prix des délais de paiement (22&23/11):
Bergamotte ouvre son popup store de Noël
La jeune startup, qui redonne envie de commander des fleurs en ligne, ouvre une boutique éphémère au 83 rue de Turenne le 1er décembre. Au menu: éditions limitées de Noël et nouvelle collection à découvrir.
Louez un sapin de Noël décoré pour 2€
Le magasin de dépôt location E-loue Express lance la location de sapin de noël décoré pour 2€ la journée, 10 euros la semaine ou 35 euros le mois.
Il s’agit d’un sapin artificiel de taille 1m50 environ. Il est loué décoré.
Le client peut récupérer le sapin au magasin ou se faire livrer partout en France. La réservation se fait en ligne.
Réécoutez notre interview d’Alexandre Woog, fondateur d’E-loue (25/10):
SHIPPEO lève 10 M€
Le marché du transport routier de marchandises est estimé à plus de 300 milliards d’euros en Europe. Shippeo est une plateforme web de suivi en temps-réel qui assure le suivi de plus de 40 000 livraisons par mois à travers l’Europe pour des clients tels que Leroy Merlin, Saint-Gobain ou Faurecia. Shippeo vise aujourd’hui l’international, avec une 1ère implantation en Allemagne début 2018.
Le chiffre d’affaires de l’e-commerce en France croît de 16% au 3e trimestre
Au troisième trimestre, les ventes sur internet ont accéléré leur croissance par rapport à la première moitié de l’année. Le chiffre d’affaires des sites e-commerce progresse de 16,2% sur un an. Cette belle performance portée par l’embellie de la consommation des ménages s’explique aussi en partie par la date tardive des soldes d’été qui a reporté une partie du chiffre d’affaires sur juillet. Plus d’infos
Heureux au travail
La Fabrique Spinoza publie le Kit des passeurs du bonheur au travail. 16 fiches pour arrêter de parler, et agir enfin! On y trouve les fondamentaux théoriques du bonheur au travail, des bonnes pratiques.
Téléchargez le guide: Kit-Passeurs-du-Bonheur-au-Travail-Novembre-2017
Dis-moi qui tu es, je te dirai où tu pars en vacances!
Bientôt les vacances ! Si vous êtes architecte ou designer, vous en serez probablement à votre 4 ou 5 ème voyage dans l’année. C’est ce que montre l’infographie de Booking.com. On y apprend aussi que 69% des professionnels prolongent leur voyages d’affaires en vacances de loisirs. Ils ont raison, levons le pied!
SPEED BURGER accélère sur le digital. C’était au Business Club (podcast)
Au Business Club de France –
Uniquement sur BFM Radio!
→ Diffusion : samedi 30 septembre 2017 à 7h et dimanche 1er octobre à 15h
TALK 1: Le retour en France du fondateur d’I FEEL GOODS, plateforme de cadeaux virtuels
FOCUS DE LA SEMAINE: Les entreprises se délocalisent en région: +3400 en 2016!
TALK 2: SPEED BURGER : Bientôt des burgers livrés par drone
TALK 3 : [NOUVELLES CHRONIQUES] – LES PREMIERS PAS DE… // ENTREPRENDRE: JE ME LANCE, avec Dominique Restino
TALK 4: LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR des ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet
TALK 2: SPEED BURGER, avec Bruno Bourrigault, président fondateur
(Ré)écouter et télécharger cette interview:
Speed Burger : une belle année 2016, et de solides ambitions pour 2017
Spécialiste de la livraison de burgers, l’enseigne angevine poursuit sa croissance en France, et mise sur le digital pour poursuivre son développement.
Bilan positif en 2016 pour Speed Burger, avec un chiffre d’affaires à plus de à périmètre constant. Avec un réseau de 50 points de vente en France dont 5 en propre, le spécialiste du burger livré est leader sur son marché. Avec 4 à 5 ouvertures prévues à court terme, l’enseigne débute bien l’année et entend affiner son réseau par le recrutement de nouveaux franchisés dans les villes de plus de 50 000 habitants dotées d’une population jeune. Objectif : 80 points de vente en France dans les 5 ans.
Pour accompagner son expansion, la société entend moderniser et optimiser son modèle. Le début 2017 a été ainsi marqué par l’acquisition d’un nouveau siège social pour l’enseigne, situé à Beaucouzé (49). Un espace de 540m² de bureaux doté notamment d’un laboratoire dédié à l’élaboration des prochains burgers de la carte, construite toujours toujours sur des menus plafonnés à 12,30€, livraison comprise. Equipée à l’identique des magasins du réseau, cette cuisine centralisée a également pour vocation d’accueillir régulièrement les industriels, les franchisés et les professionnels des entreprises alentours afin de tester les nouveaux produits et recettes et de valider les lancements des prochains burgers.
LE DIGITAL
Un nouveau socle opérationnel pour l’enseigne, dont la poursuite du développement passe aussi par le digital. Avec plus de 700 000 commandes en ligne en 2016, le chiffre d’affaires réalisé par Speed Burger via le web a déjà augmenté de 10% l’année passée, la plateforme e-commerce et l’application mobile du spécialiste du burger générant plus de 50% des commandes. L’enseigne ambitionne d’atteindre les 80% d’ici fin 2018 et de multiplier par 2 son taux de conversion. Pour y arriver, Speed Burger entend miser sur l’évolution de son site internet, entièrement marchand, et sur un parcours digital optimisé facilitant le paiement en ligne et un programme fidélité enrichi. Un gros chantier qui devrait être achevé pour la fin de l’année. (Neorestauration.com)
LES CHIFFRES CLÉS DE SPEED BURGER
- Activité: restauration rapide (burgers et sandwiches) – leader de la livraison burgers
- Date de création: 1995
- Siège social: Beaucouzé, près Angers
- CA: 26 millions d’euros en croissance de 1%
Créé en 1995, Speed Burger est considéré comme le créateur du métier de « livraison de burger à domicile ». Le réseau, qui compte une cinquantaine de restaurants en France (dont 5 en propre), évolue sur un marché doublement porteur, celui du burger, un produit en pleine expansion depuis plusieurs années et celui de la livraison à domicile.
LES CHIFFRES DE LA CONSOMMATION DE BURGERS EN FRANCE
Aujourd’hui, il représente 35 % des ventes au comptoir. Il y a dix ans, on vendait 1 burger pour 7 sandwiches. En 2016, c’est 1 burger pour 2 sandwiches. Il y a quatre ingrédients magiques pour les Français : le pain, la viande, le fromage et les frites. C’est le concurrent le plus sérieux du jambon-beurre. En fait, les Français ne sont pas de grands aventuriers en matière de restauration rapide mais ils sont très ouverts sur les pains. Si vous leur proposez deux tranches de pain avec quelque chose au milieu, c’est le carton ! (Bernard Boutboul, directeur du cabinet de conseil en restauration Gira) (Le Parisien)
Prix moyen d’un burger en France: 11,58€
SPEED BURGER A TESTÉ LA LIVRAISON PAR DRONE!
La chaîne de restauration rapide a testé à Nice la livraison de trois menus largués en parachute.
Livrer des hamburgers par drone. Julien Fleutiaux, gérant d’un point de vente Speed Burger à Nice, a tenté l’expérience le 26 avril dernier. Avec le concours de la société nicoise de logistique Sycta, il a fait planer trois menus (burgers, frites et boissons) pour un pique-nique au château de Nice. Après avoir obtenu toutes les autorisations nécessaires, la commande a même survolé la Promenade des Anglais.
«L’objectif était de montrer que livrer des burgers par drone est techniquement possible, raconte l’entrepreneur de 27 ans, féru d’aviation légère. C’est réussi». Pour l’occasion, les burgers ont été chargés depuis l’entrepôt de Sycta, qui a fourni le drone. Ils ont parcouru 20 kilomètres en une quinzaine de minutes, pour finalement arriver au-dessus du château de Nice, où les attendaient trois jeunes prêts à les avaler.
Rapide et écologique
Pour des questions de sécurité, la commande a été lâchée en parachute. Les burgers, conservés dans un carton sécurisé -comme à scooter-, étaient encore chauds à l’arrivée. «Le projet a coûté environ 4000 euros (location du drone, tournage….), confie Julien Fleutiaux. Mais à terme, on peut penser que livrer par drone coûtera moins cher qu’en scooter, en étant plus rapide et écologique».
Pour lui, pas de doute: «À l’avenir, la livraison de repas à domicile se fera par drone. Si ce n’est pas trois ans, c’est au plus tard dans dix ans.» Cette technologie permettrait aussi de développer les livraisons à des zones plus reculées. Comme par exemple l’arrière-pays niçois, qui n’est pas desservi en scooter. (Le Figaro)
Le drone, c’est l’avenir », s’enthousiasme Bruno Bourrigault. Notamment parce qu’il génère des économies conséquentes. « Actuellement le coût de livraison représente 25% de la note payée par le client« , précise le fondateur de Speed Burger.
Les livraisons sont en majorité faites par scooter. En plus du salaire du conducteur, des charges, de l’essence il faut tenir compte de l’entretien des deux-roues, mis à rude épreuve. Quinze des cinquante points de vente répartis dans toute la France ont aussi adopté les vélos électriques.
« La livraison par drone ne conviendra pas aux centre-villes. En revanche, nous avons beaucoup de clients dans les zones industrielles, et le drone est parfaitement adapté pour cela », détaille Bruno Bourrigault. En plus d’être écologique, ce livreur volant ignore les embouteillages et les sens interdits.
On espère être au point dans un ou deux ans« , conclut Bruno Bourrigault. Le fondateur de l’enseigne compte bien sur cette innovation pour développer la visibilité de sa marque.(BFM Business)
COMMUNIQUÉ DE SOUTIEN AUX LIVREURS INDÉPENDANTS
Livreurs dans la restauration :
Bruno Bourrigault dénonce un système à deux vitesses
Remarques de Bruno Bourrigault, président et fondateur de Speed Burger
Aujourd’hui, la grogne est forte de la part des livreurs indépendants dans le secteur de la restauration et nous affirmons notre solidarité face à leurs conditions de travail et à la précarité de leur situation.
En préambule, il est nécessaire de comprendre que si nous faisions appel aux plateformes de livraison, nous sortirions tout simplement du cadre de la légalité car, par exemple, nous n’avons pas le droit de payer les livreurs à la course.
De plus, ces pratiques, contre lesquelles je m’indigne depuis le commencement, vont à l’inverse de la convention collective qui concerne notre secteur. Certaines enseignes que nous côtoyons régulièrement au SNARR (Syndicat National de l’Alimentation et de la Restauration Rapide) s’élèvent lors des rassemblements contre ce fonctionnement alors qu’elles font appel, en parallèle, à ces plateformes.
Je dénonce donc un double discours, un système à deux vitesses ainsi qu’une concurrence déloyale, mêlée à une véritable incohérence sur l’organisation de notre marché.
De notre côté, nous demandons à nos franchisés de ne pas faire appel aux services des livreurs indépendants : une préconisation parfaitement respectée actuellement.
Nous croyons également à notre statut de créateur d’emplois, de tremplin pour de nombreux jeunes qui veulent évoluer dans le secteur de la restauration. Preuve en est, le réseau Speed Burger compte aujourd’hui plus de 1000 salariés au sein du réseau.
CHRONOLOGIE
1995 : Création du concept Speed Burger. Ouverture du 1er magasin à Angers
2004 : Ouverture du 1er magasin franchisé au Mans
2005 : Ouverture du 10ème magasin à Dijon
2006 : Lancement du site marchand de commande en ligne http://www.speed-burger.com
2008 : Ouverture du 20ème magasin à Cholet / Organisation de la 1ère convention nationale
2010 : Ouverture du 30ème magasin à Quimper
2012 : Ouverture du 40ème magasin à Brest
2015 : La marque Speed Burger fête ses 20 ans / Ouverture du 50ème magasin à Reims
2016 : Speed Burger instaure la livraison de ses produits par vélo électrique
2017: test de la livraison par drone
LA VISION DE L’ENTREPRENEURIAT de BRUNO BOURRIGAULT
Après plusieurs expériences en tant que salarié dans le domaine de la restauration, Bruno Bourrigault, fondateur de Speed Burger, décide de se lancer dans l’entreprenariat et de reprendre une première affaire : une sandwicherie à Angers en 1988. Il élabore alors totalement un nouveau concept et crée le « Bress’ Burger », premier point de vente de burgers et sandwichs à emporter à Angers, les prémices de Speed Burger dont il est le cofondateur.
« Mon cas est un peu à part car j’ai été repreneur de ma première entreprise pour un franc symbolique. Cette expérience m’a vraiment donné le goût de créer, notamment à plus grande échelle comme j’ai pu le faire avec Speed Burger.
Mais, je trouve qu’il est plus difficile d’être chef d’entreprise à l’heure actuelle qu’il y a 30 ans… il s’agit avant tout d’être totalement impliqué et préparé pour réussir et de savoir aussi prendre du recul » explique Bruno Bourrigault.
Lever la tête du guidon, garder la tête hors de l’eau, autant d’expressions qui semblent désuètes mais qui prennent tout leur sens lorsque l’on évoque la situation d’un chef d’entreprise. Le bilan du premier exercice fait régulièrement office de point de passage obligatoire. Mais pourquoi attendre une année entière pour se jauger ? Des reportings trimestriels sont, par exemple, une solution intermédiaire idéale pour jalonner les premiers mois d’activité. Un patron se doit d’avoir régulièrement une vision globale de la situation.
S’INVESTIR A 100% EST PRIMORDIAL
« Lorsque on se lance dans l’entreprenariat, la première année est très intense. En effet, une présence accrue est essentielle pour le bon démarrage de son entreprise, la formation et l’accompagnement des équipiers fait office de socle pour optimiser ses chances de réussite » développe Julien Senegas, animateur réseau chez Speed Burger.
La stabilité vient généralement au cap de la troisième année d’activité. Bien géré, le concept Speed Burger permet d’atteindre un équilibre financier dès la première année.
DEVENIR PATRON DANS UNE ENTREPRISE QUE L’ON CONNAIT DÈJÀ : UN ACCÉLERATEUR DE RÉUSSITE
Connaitre les rouages d’une entreprise avant de se lancer est un avantage incontestable. Le modèle de la franchise incarne parfaitement cette opportunité en donnant la possibilité aux salariés de créer leur propre unité après s’être imprégné d’un concept pendant un ou deux ans. Cela permet, en outre, d’apprécier les bons et les mauvais côtés des différents rôles : employé, manager ou patron. Une immersion de longue durée. Pour se lancer en franchise, le candidat doit prévoir un investissement de 200 000 euros, hors local. Il faut disposer au minimum de 70.000 € de fonds propres pour ouvrir un Speed Burger. « Pour moi, un bon patron c’est un dirigeant honnête et loyal. Il ne doit jamais oublier d’où il vient » conclut Bruno Bourrigault.
Lundi Bonheur, 12 juin :D
Quelques rayons de soleil en plus seront les bienvenus aujourd’hui,
en voici un petit paquet:
VIDEDRESSING, PÉPITE DE LA FRENCH TECH, LÈVE 5,4 MILLIONS €
Videdressing annonce une nouvelle levée de fonds d’un montant de 5,4 millions d’euros, auprès de ses actionnaires DN Capital, Piton Capital, Earlybird et Generis Capital. Marketplace française spécialisée dans le luxe et la mode d’occasion, Videdressing offre un catalogue de 900 000 articles à des prix allant jusqu’à -80% du prix boutique. La plateforme créée en 2009 par Meryl Job compte aujourd’hui plus d’1 million d’utilisateurs.
PRÈS DE LA MOITIÉ DES FRANÇAIS VEULENT DEVENIR ENTREPRENEUR
Selon le baromètre BNP Paribas et OpinionWay publié le 8 juin,
Près d’un Français sur deux (45%) envisage de créer son activité.
Pour plus d’un tiers des Français (35%), le facteur déclencheur reste l’idée innovante, à part égale (34%) avec le coup de pouce pour financer le lancement de sa nouvelle activité.
60% des Français considèrent qu’il est plus facile d’entreprendre aujourd’hui qu’auparavant, lorsqu’on est jeune.
Pour les Français, les qualités essentielles pour réussir sa création d’entreprise sont : la confiance en soi (28%), la rigueur (27%), le sens de l’organisation (27%) et la créativité (25%).
CLUSTREE LÈVE 7 MILLIONS €
Clustree, la plateforme de recommandations RH pour la gestion des carrières et le recrutement, annonce la réalisation d’une levée de fonds de 7M€ auprès de Creandum. Idinvest Partners et Alven Capital, investisseur historique. Clustree est une plateforme de recommandations RH qui utilise l’intelligence artificielle pour rendre les données RH internes et externes aveugles aux stéréotypes et aux biais humains. En 2016, Clustree a connu 230% de croissance de revenus, 100% de rétention client, et a été nommé Cool Vendor par Gartner.
SPEED BURGER LIVRE EN DRONE
Des burgers qui tombent du ciel, vous en rêviez ? Speed Burger l’a fait ! Julien Fleutiaux, gérant du magasin Speed Burger de Nice a organisé une livraison de burger… en drone ! Le 26 avril dernier, avec toutes les autorisations nécessaires, le drone a survolé la ville sur une distance de 20 kilomètres à vol d’oiseau. Passant notamment au-dessus de la Promenade des Anglais, il a rejoint le Château de Nice où un groupe de gourmands attendait leur commande. Née à Angers, Speed Burger – 50 magasins en France – 26.19 M€ HT de CA en 2016.
LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE DU PORTUGAL: UNE OPPORTUNITÉ A SAISIR
Carlos Vinhas Pereira, Président de la Chambre Commerce et d’Industrie Franco-Portugaise estime que « Le climat économique au Portugal est au plus haut depuis 2007. La confiance est de retour. Au-delà des seniors, les français sont de plus en en plus nombreux à entreprendre là-bas principalement dans le secteur touristique, immobilier et le service à la personne. Le pays a mis en place un dispositif unique en Europe (« Une entreprise dans l’heure ») permettant de créer son entreprise dans l’heure avec des conditions de création d’entreprise assouplies en limitant le nombre d’actes administratifs et réduire les coûts de démarrage »
ABEO ÉQUIPERA EN 2018 LES JEUX DU COMMONWEALTH
Pour la troisième fois consécutive, ABEO, fabricant et distributeur d’équipements sportifs et de loisirs, annonce un accord conclu avec le Comité d’Organisation des Jeux du Commonwealth portant sur la totalité des installations des épreuves de gymnastique.. Au 31 mars 2017, le Groupe affiche un chiffre d’affaires de 167 M€, dont 70% sont réalisés hors de France, et compte près de 1 200 collaborateurs.
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LA FRANCHE, CHAMPIONNE DU MONDE DES MAILLOTS DE BAIN!
Le chiffre d’Affaires du secteur est de 558,3 millions d’€ en 2016. Pour les Françaises, la coupe et le look du maillot de bain passent avant le prix et la matière de la pièce. Elles déclarent que le bien aller du maillot de bain est très important. Elles accordent énormément d’importance au confort, important pour 96% d’entre elles.
Les pépites françaises de l’aéronautique: les simulateurs d’Aviasim, les drones de Donecle et l’hélicoptère électrique de Volta. C’était au Business Club (podcast)
Au Business Club de France
Uniquement sur BFM Radio!
→ Diffusion : samedi 7/1/17 à 7h | dimanche 8/1/17 à 16h
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Chers lecteurs et auditeurs du Business Club de France, permettez-moi tout d’abord de vous souhaitez une excellente année 2017, en espérant que vous ne l’ayez pas commencée comme moi, par une extinction complète de la voix. Et une émission de radio sans voix est un véritable exploit que je n’ai malheureusement pas pu relever. D’où ces quelques rediffusions. Le talk avec le médiateur des entreprises est inédit. À très vite pour de nouvelles aventures !
Michel PICOT
REDIFFUSION : TALK 1 & 2: DOSSIER AÉRONAUTIQUE: les simulateurs d’AVIASIM s’envolent à l’international / DONECLE crée le premier drone de maintenance des avions / VOLTA: son hélico électrique vole 30 mn!
REDIFFUSION : TALK 3: Avolta Partners publie le premier guide de valorisation des startups
INEDIT : TALK 4: Le rendez-vous du Médiateur des Entreprises, avec Pierre Pelouzet
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TALK 1: DOSSIER AÉRONAUTIQUE, avec Thomas Gasser, président d’AVIASIM , Josselin Bequet, CFO de DONECLE, Philippe Antoine, dirigeant de VOLTA
Ecouter, réécouter et télécharger cette interview:
AVIASIM
Déjà présente dans 13 villes, AviaSim, n’en a pas fini de s’envoler puisqu’elle poursuit le développement, en franchise, de son concept de loisir nouvelle génération dans de nouvelles villes françaises et à l’international. Après Genève, AviaSim cible la Belgique, l’Italie, l’Espagne et l’Allemagne (des négociations sont en cours en Chine aussi, d’après ce que m’a dit Thomas Gasser).
Aux commandes d’une flotte de 25 simulateurs, l’entreprise navigue sous ciel ensoleillé riche de 11 000 vols réalisés et 16 000 packs de navigation vendus depuis sa création auprès du grand public, des entreprises et des professionnels. Une dynamique commerciale qui a permis à l’entreprise de dégager en 2015 un chiffre d’affaires de 1,5 millions d’euros avec une projection fin 2016 à 2 millions d’euros.
CHIFFRES CLÉS AVIASIM
- Activité: simulateur de vol sur Airbus A 320, Boeing 737 et avion de chasse F16 Fighting Falcon
- Date de création: 2012
- Lieu: siège social Lyon
- CA: 1,5 million € – prévisionnel 2016: 2 millions
« Les professionnels ont mis un peu de temps à ne pas nous considérer comme un manège », s’amuse Thomas Gasser.
ACTUALITÉ
- 12ème et 13ème ouvertures pour les centres de simulation de vol AviaSim, lancés par Thomas Gasser il y a moins de 4 ans. C’est à Paris et à Orly que l’enseigne choisit d’implanter ses 2 nouveaux centres complétant ainsi avec succès son maillage français.
- Lancement du simulateur d’hélicoptère en septembre 2016
Une nouvelle expérience de vol unique en France proposée par AviaSim. Après avoir lancé le premier simulateur de vol Airbus et les premiers simulateurs d’avions de chasse pour le grand public, AviaSim met désormais en service une toute nouvelle expérience aux commandes d’un simulateur de vol d’hélicoptère Bell 206.
Cet hélicoptère est très utilisé outre atlantique notamment par les forces de police. Sur ce simulateur de vol, réplique fidèle du cockpit du Bell 206, vous pourrez voler entre les buildings d’une ville choisie parmi une liste d’agglomérations reproduites fidèlement à la réalité, faire des missions de dépose à ski aux sommets des montagnes enneigées ou de lutte anti incendies. Accompagné par votre instructeur, pilote professionnel, vous pourrez également vous exercer aux décollages et atterrissages sur piste ou sur les toits des bâtiments pour rajouter un challenge au challenge.
Cette expérience de vol unique en France est désormais à la portée de tous dans notre centre AviaSim Lyon situé à Villeurbanne (Rhône). A partir de 12 ans, vous pourrez prendre les commandes de cette réplique fidèle du Bell 206.
PRIX
- 99€ pour 1h d’expérience
- 349€ stage anti stress (1 Français sur 2 a peur en avion)
- Avion de chasse: 59€ pour 30 mn
“L’idée de départ était de pouvoir offrir à tous l’opportunité de vivre la vie d’un pilote de ligne durant quelques instants dans un environnement hyper réaliste et intelligent. Le simulateur d’Airbus A320 est la voie idéale pour immerger les pilotes d’un jour dans ce rêve d’Icare” , explique Thomas Gasser. Aux commandes du mythique avion de ligne, les pilotes en herbe peuvent choisir de voyager entre les 24000 aéroports qui existent dans le monde. Les plus adroits pourront même changer la météo ou déclencher des pannes pour corser l’exercice ! Comme l’explique Thomas Gasser, l’univers du loisir impose d’innover constamment pour être en mesure d’offrir de nouvelles expériences toujours plus divertissantes.
Les séances sont encadrées par des pilotes professionnels qui prennent leur rôle d’instructeur très à cœur. Pédagogiques avant tous, ils s’adaptent au niveau de chacun afin de rendre l’expérience accessible aux passionnés comme aux débutants curieux de découvrir l’univers aéronautique. Pour tous ces jeunes loups sortant de formation (écoles privées ou ENAC) c’est un bon moyen de susciter des vocations tout en vivant leur passion.
“Une partie de nos clients sont de jeunes enfants ou adolescents qui se rêve en futur pilote de ligne. C’est souvent un moyen pour les parents de les motiver en leur faisant toucher du doigt leur rêve aux commandes d’un Airbus A320”, poursuit Thomas Gasser. Bien qu’AviaSim ait pris son envol à toute vitesse, Thomas Gasser a fait en sorte de ne pas se brûler les ailes. il faut dire qu’au départ, lancer ce genre de business était un pari. D’ailleurs, personne n’imaginait que le marché serait aussi réceptif. Comme le confie le fondateur d’AviaSim, faire en sorte de rentabiliser un site unique était imaginable, mais pas lancer un réseau sur toute la France. Il faut dire que l’acquisition de simulateurs de vol est un investissement dissuasif : “C’est un élément vital et un budget très conséquent. Il faut s’entourer à la fois de financier qui croient au projet et de personnes ayant une réelle compétence technique pour maitriser et maintenir l’outil dans des conditions optimales d’utilisation”. Aujourd’hui, tous les compteurs sont au vert. Une levée de fonds semple même pointer le bout de son nez pour 2016 (question posée à T. Gasser par mail)
DONECLE
Donecle, la vérification d’avion plus vite que l’éclair
La startup toulousaine révolutionne l’inspection des avions grâce à ses drones, en repérant des impacts de foudre sur la carlingue en moins d’une demi-heure, contre huit heures auparavant. « C’est révolutionnaire pour les compagnies aériennes. »
Après le pitch de Matthieu Claybrough, le cofondateur et directeur technique de Donecle, lors de la finale du Prix La Tribune Jeune Entrepreneur, un membre du jury ne cachait pas sa stupéfaction. Mais si le jeune entrepreneur de 26 ans était resté dans la salle, il n’aurait pas été surpris. Car partout où elle passe, la startup Donecle (prononcez « donéclé », à la toulousaine) suscite toujours la même réaction, à savoir un mélange d’étonnement et d’admiration devant un service profondément disrupteur, assurément promis à un bel avenir.
Fondée en septembre dernier dans la capitale française de l’aéronautique, Toulouse, Donecle s’appuie sur une technologie brevetée, sans équivalent dans le monde. La startup commercialise auprès des compagnies aériennes un kit de trois drones 100 % autonomes, dotés de caméras intelligentes et capables de repérer en seulement trente minutes les impacts de foudre sur la carlingue d’un avion. Le tout sous la supervision d’un seul employé.
Pour prendre la mesure de cette innovation, il faut savoir qu’une telle inspection monopolise aujourd’hui environ 15 personnes, pendant huit heures. Et que « chaque heure d’immobilisation au sol d’un appareil coûte environ 10 .000 dollars à une compagnie aérienne », précise Matthieu Claybrough.
Si on ajoute que chacun des 27 .000 avions de ligne en circulation dans le monde est foudroyé en moyenne au moins une fois par an et que l’inspection est obligatoire après chaque foudroiement, on comprend vite que la startup dispose d’une technologie très attractive pour les compagnies aériennes. L’économie de temps lors de l’inspection permet à la compagnie de gagner l’équivalent de deux vols aller-retour Paris-Toulouse. Pour contourner l’interdiction du survol des drones dans les aéroports, les appareils de Donecle fonctionnent dans un hangar fermé et s’orientent sans signal GPS, uniquement grâce à l’intelligence des caméras.
Si ses futurs clients sont, par essence, internationaux, Donecle est le pur produit de l’excellence toulousaine dans l’aéronautique. Deux de ses cofondateurs, Matthieu Claybrough, 27 ans, et Alban Deruaz-Pepin, 24 ans, sont diplômés de la prestigieuse école d’ingénieurs Supaero. Le premier a brièvement travaillé à Thales, tandis que le deuxième est passé chez son concurrent Airbus, tout comme Yann Bruner, 42 ans, ancien ingénieur en maintenance pour le géant toulousain. Enfin, le quatrième larron, Josselin Bequet, 25 ans, est un ami d’enfance de Matthieu Claybrough. Cet ancien consultant auprès d’un fonds d’investissement londonien s’occupe de l’aspect économique et commercial de l’entreprise.Après seulement huit mois d’existence, Donecle doit désormais percer et conquérir ce marché qui lui tend les bras. Les inspections post-impact de foudre représentent 15 % du marché mondial de la maintenance des avions, soit 9,65 milliards de dollars sur 65 milliards. Depuis quelques mois, la startup multiplie les présentations devant les compagnies aériennes. (article intégral dans La Tribune)
CHIFFRES CLÉS DE DONECLE
- Activité: drones d’inspection des avions
- Date de création: septembre 2015
- Lieu:Toulouse
- CA: prévisionnel 1 millon € en 2017
- ACTU: Levée de fonds d’1 million € le 11 octobre auprès de Delta Drone
AQUINEA VOLTA
Le premier hélicoptère électrique conventionnel (deux rotors) au monde, a été créé dans l’arrière-boutique d’une entreprise spécialisée dans… le chauffage des piscines !
«Nous avons créé Aquinea, qui est une vraie société, pour financer notre travail. Tous les bénéfices sont reversés au projet Volta», confie Philippe Antoine, ingénieur dans une grande entreprise aéronautique toulousaine et gérant d’Aquinea, à Pompertuzat, dans le Lauragais. Le premier Volta remonte en fait à l’année 2000. À l’époque, il s’appelait Microcopter et volait avec un moteur traditionnel. «La structure de Volta est celle de Microcopter, confie Philippe Antoine. Mais à partir de 2009, on a commencé à parler de l’électrique dans l’automobile. Des batteries plus légères, plus puissantes sont arrivées sur le marché.» Et Volta a pris son envol dans l’esprit de l’ingénieur et de ses associés.
Mais comment de grands groupes ne se sont-ils pas emparés du projet ? «Airbus a concentré ses recherches sur l’avion, avec E-Fan (traversée de la Manche à l’été 2015). Côté hélicoptère, ils sont davantage sur les gros appareils, plus lourds et donc impossibles à faire voler à l’électrique». Un avion besoin de peu de puissance, car il s’appuie sur l’air. Mais un hélicoptère, pour se maintenir, doit mobiliser une puissance importante. «Seuls deux modèles d’hélicoptère électriques dans le monde ont déjà volé : à Aix-en-Provence, et en Allemagne. Mais ils n’ont tenu que deux minutes en vol stationnaire. Nous, nous pouvons tenir 30 minutes, à une vitesse de croisière de 70 km/h», assure Philippe Antoine. (article intégral sur La Dépêche)
PREMIER VOL le 21 OCTOBRE 2016
Toulouse : le 1er hélicoptère 100% électrique a séduit Ségolène Royal
C’est à Paris, devant la ministre de l’Environnement et de l’Énergie, que le premier hélicoptère conventionnel 100 % électrique a effectué un vol de démonstration. Et il est Toulousain. Sur l’héliport mythique de Paris-Issy-les-Moulineaux, mercredi dernier, « Volta » s’est élevé quelques minutes à 1,50 m du sol. La ministre Ségolène Royal a expliqué vouloir encourager « ces sauts technologiques », estimant que Volta était le « type de projet » qu’elle souhaitait soutenir, en raison notamment de sa « dimension éducative extrêmement forte ». « Nous sommes extrêmement fiers de cette présentation, en présence de Madame la ministre, du directeur de la Direction générale de l’aviation civile, et du directeur de l’Enac », a réagi pour La Dépêche du Midi le concepteur de Volta, Philippe Antoine. Chaque vol permet en moyenne, d’éviter l’émission de 13 kg de CO2 et 24 g d’oxyde d’azote. Avec une durée de vie de 350 heures, la batterie de Volta, d’un poids de 150 kg, permet d’économiser jusqu’à 17 000 litres de carburant, ce qui représente 11 tonnes de CO2 et 22 kg d’oxyde d’azote, selon ses concepteurs. (articlé intégral sur La Dépêche)
Dans son état actuel, Volta n’est pas commercialisable. Il nous sert à prouver qu’on peut voler pendant 10 à 20 minutes et que l’hélicoptère électrique est une réalité. Nous n’avons pas d’ambition commerciale, nous voulons être précurseur », explique Philippe Antoine, concepteur de ce micro hélicoptère monoplace conventionnel (équipé de deux rotors — principal et anticouple) à propulsion électrique. VOLTA a été conçu sur les bases de l’hélicoptère thermique Microcopter MC1 qui est un modèle unique dont toutes les pièces ont été dessinées, calculées et fabriquées par ses concepteurs.
L’hélicoptère d’hier à aujourd’hui
Savez-vous que le premier vol autonome d’un hélicoptère remonte à 1907 et qu’il est le fait d’un Français, Paul Cornu ? La même année, 2 autres Français auront également décollé sur des machines improbables faites de bois, de câbles et de toile. Ces pionniers oubliés ont bâti les fondations d’une industrie florissante qui a élevé la France avec Aérospatiale puis l’Europe avec Eurocopter puis Airbus Helicopters au rang de premier fabricant mondial d’hélicoptères. L’hélicoptère est cependant loin de faire l’unanimité : coûteux, lent, complexe, vulnérable et bruyant, il n’est employé que lorsqu’il n’existe aucun autre moyen de transport ou en cas de force majeure: opérations militaires, évacuation sanitaire, sécurité et protection civile, desserte de sites isolés… Les normes environnementales, les coûts d’exploitation et une réglementation draconienne ont eu raison de la plupart des hélicoptères privés et de loisir alors que dans le même temps la demande mondiale d’avions d’affaires explosait. C’est la raison d’être du projet VOLTA.
C’est la rentrée pour le Business Club de France avec un dossier sur la rentrée : comment se remotiver ? Mais aussi Atol et Delta Drone
C’est la rentrée du Business Club de France sur BFM Business Radio.
RDV sam 1er septembre à 7h00 – 22h00 et dimanche 2 septembre 3 à 15h
Au sommaire :
Dossier : comment se ‘remotiver’ et réussir sa rentrée ?
Avec
- Evelyne Platnic-Cohen – Présidente fondatrice de Booster Academy
- Antoine Gentil – Directeur associé de baby Speaking
- Arnaud Dubin – Directeur commercial Mediapost
Comment se remotiver ? pour répondre à cette question, nous avons demandé à ces dirigeants d’entreprise de nous donner leurs trucs et astuces. Il ne s’agit pas de faire une liste de bonnes résolutions à prendre, mais d’agir concrètement et réellement !
Le dossier s’articule autour de 3 grands axes :
- Comment faut-il capitaliser sur les bonnes habitudes prises en vacances ?
- Comment ne pas se torturer l’esprit ?
- Pour faire une rentrée en « douceur » ?
Après l’émission, vous serez « reboosté » !
EGALEMENT DANS LE BUSINESS CLUB DE FRANCE
Philippe Peyrard, Directeur général d’Atol, les opticiens. Il définit sa stratégie de « relocalisation » de la sa production de lunette en France et nous annonce une nouveauté : nouvelle collection autour de la nouvelle égérie de la marque : Matt Pokora.
Enfin comme vous pourrez le voir à la fin du film publicitaire ci-dessous, Attol communique désormais de plus en plus sur le « made in france » avec un logo sur fond de drapeau tricolore.
Atol lance une nouvelle collection labellisée Origine France Garantie, pour hommes et femmes baptisée D’CLIP. Pour représenter cette nouvelle collection aux branches interchangeables pour hommes, Atol a fait appel au jeune chanteur M. Pokora. Il représentera la marque aux côtés d’Adriana Karembeu, égérie de l’enseigne depuis 2008. Campagne de pub à la TV a débuté le 8 janvier 2012.
EGALEMENT DANS LE BUSINESS CLUB DE FRANCE
Direction Grenoble pour découvrir la première entreprise qui fabrique des drone, de petits avions – ou plutôt des véhicules volants sans pilote à bord, destiné non pas à l’armée mais au civil… Les premiers drones civils : c’est nouveau…
Avec : Frédéric Serre Bonjour l’un des co fondateur de Delta Drone
Mais à quoi ça sert ?
Montagne, mines et carrières : premiers marchés ciblés
Que ce soient les stations touristiques et sportives de montagne pour la recherche de personnes sous avalanche, la maintenance des remontées mécaniques ou encore les études topographiques, Delta Drone propose un engin dédié à chaque usage et métier.
Il en est de même pour les mines et carrières à ciel ouvert : mesure périodique des volumes produits, localisation des engins, études, topographiques, etc…
C’est un nouveau marché et les applications sont très très nombreuses…
Dès lundi : des images, des vidéos et plus d’information sur notre émission…
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