Euratechnologies
Critizr, l’appli des clients mécontents. C’était au Business Club! (podcast)
Dans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio
→ Diffusion : samedi 13/02/2016 à 7h | dimanche 14/02/2016 à 15h
Talk 1 : CRITIZR: une levée de fonds pour s’internationaliser
Talk 2 : BBCHOO, un tout nouveau site pour aller encore plus loin dans l’offre puériculture
Talk 3 : Taillardat, rachetée par un « petit LVMH », se développe à l’international
Talk 4: Le rendez-vous du médiateur des entreprises, avec Pierre Pelouzet
Talk 1 : CRITIZR, avec Nicolas Hammer, président cofondateur
Ecouter, réécouter et télécharger cette interview:
Avec Critizr, c’est une nouvelle façon de dire « Appelez-moi le directeur! ». Sur la plateforme Web et mobile, les internautes déposent leurs avis et échangent avec les responsables d’un magasin, d’un restaurant ou encore d’un bar.
Créée en 2012, la startup est basée à Lille (Euratechnologies) et emploie aujourd’hui 20 personnes.
Depuis 18 mois, l’entreprise connaît une forte croissance avec : un volume croissant de feedbacks (+15% chaque mois), la signature de 9 enseignes, dont Carrefour et Total, représentant plus de 7 500 points de vente.
Aujourd’hui, plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr, véritable vitrine de l’entreprise.
ACTUALITÉ
12 décembre 2015 – Levée de fonds de 2,5 millions € auprès de Point Nine capital (allemand) et Runa Capital (russe). (la 1ère avait eu lieu en mai 2013: 400 000€)
L’arrivée de ces deux sociétés de capital-risque va permettre au lillois Critizr de bâtir un plan de recrutement de nouveaux collaborateurs pour renforcer les équipes support, marketing, R&D et ventes. Mais « l’enjeu est maintenant l’international, pour notamment accompagner certains de nos grands clients comme Carrefour ou Leroy Merlin. Ainsi nous ciblons l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, puis la Grande Bretagne« , explique Nicolas Hammer, co-fondateur de Critizr.
La société lilloise, basée à Euratechnologies, annonce avoir, pour 2015, multiplié par dix son chiffre d’affaires de 2014 qui était « très supérieur à 100 000 euros ». Elle a notamment engrangé la signature de 9 enseignes, dont celles de Carrefour et Total. Au total, elle compte 16 enseignes soit 7500 points de vente.
Plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr. Fondée en 2012 à Lille par Nicolas Hammer et Thibaut Carlier, Critizr vise les 35 salariés à la fin de l’année prochaine. La start-up propose une plateforme multicanale de relation client. Ce dernier, via une application gratuite, peut transmettre ses remarques, notes et critiques sur les enseignes référencées. Lesdites enseignes peuvent de leurs côtés lancer des demandes d’évaluations et naturellement y répondre. (article complet sur L’Usine Digitale)
COMMENT ÇA MARCHE?
Une question sur un produit, un problème lors d’un achat? Plus besoin de faire la queue en magasin ou de remplir des formulaires sur Internet. Il suffit d’écrire un message et Critizr se charge du reste. «Par exemple, un client qui ressort mécontent parce qu’il a reçu un burger froid d’un fast food, peut déposer un “problème”. De notre côté, on contacte le commerçant pour qu’il réponde au message», détaille Nicolas Hammer, le président de la start-up.
Les consommateurs peuvent aussi déposer des compliments et des suggestions pour aiguiller les autres dans leurs choix. L’ensemble des messages s’affichent au fur et à mesure sur un fil d’actualité, comme sur Twitter. À mi-chemin entre l’économie collaborative et le traditionnel SAV, le concept semble trouver son public.
Via l’application, les clients sont mis en relation avec un employé du point de vente précis auquel ils font référence. «On cherche en priorité à ce que se soit le directeur du point de vente en question qui réponde au message de l’utilisateur, car c’est le plus à même d’effectuer une modification», indique Nicolas Hammer. «Parfois, ce sera le manager du rayon concerné, notamment pour les grandes enseignes».
L’objectif de l’application est d’optimiser la relation client via un système de notation. «Les notes attribuées aux enseignes ne concernent pas la qualité du produit, mais bien la relation client», souligne le président Critizr. Plus une enseigne prendra la peine de répondre rapidement et avec précision aux messages des clients, meilleure sera sa note.
Enfin, l’application va même jusqu’à rémunérer certains de ses contributeurs (35 centimes le message). «Il s’agit d’un groupe de 5000 utilisateurs les plus actifs qui font des publications plus détaillées, plus fréquentes et prennent des photos. Ainsi, les gérants obtiennent davantage d’informations pour améliorer leur point de vente», conclut Nicolas Hammer. (article complet dans Le Figaro)
EuraTechnologies, la machine à emplois! C’était au Business Club (podcast)
Dans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio
→ Diffusion : samedi 9/01/2016 à 7h | dimanche 10/01/2016 à 15h
Talk 1 & 2 : EURATECHNOLOGIES, 3ème accélérateur en Europe, 1er en France!
Talk 3 : MILIBOO, marque de meubles sur Internet, est entrée en bourse
Talk 4: Le rendez-vous du médiateur des entreprises, avec Pierre Pelouzet
Talk 1 & 2 : EURATECHNOLOGIES, avec Raouti Chehih, directeur – Richard Ollier, président de GIROPTIC et Thibault Carlier, cofondateur de CRITIZR
Ecouter, réécouter et télécharger cette interview:
Créé en 2009, EuraTechnologies vient d’être classé 3e accélérateur le plus important en Europe, et le 1er en France ! En cinq années d’existence, EuraTechnologies a en effet réussi à s’imposer comme le fer de lance de l’économie numérique française avec la création de 3 500 emplois et la mise en place d’un réseau dense à l’échelle internationale (bureaux et partenaires à San Francisco, Dubaï, Shanghai, New-York, Belo Horizonte), dans une région touchée par deux crises industrielles majeures (industrie minière puis textile).
Toute une filière se structure durablement avec la création d’emplois pérennes (environ 300/an) au sein d’EuraTechnologies.
En parallèle, EuraTechnologies a permis à des entreprises comme GIROPTIC, CRITIZR, XBRAIN SOFT, ADICTIZ, LECOMPARATEURASSURANCE.COM, FITIZZY, STEREOGRAPH, VISIOTALENT, VEKIA… de voir le jour mais surtout de prendre leur envol en France et à l’international.
Chiffres clés
• Plus de 100 millions d’euros levés depuis 2009 par les start-ups
• 250 projets accompagnés
• 145 sociétés hébergées
• 3 500 salariés
• plus de 500 événements en 2015
2 PÉPITES D’EURATECHNOLOGIES
GIROPTIC
Créée en 2008, la startup lilloise Giroptic a développé la première caméra au monde qui prend des photos et vidéos en haute définition, à 360°. En temps réel, les images et vidéos peuvent être uploadées sur Youtube, ou vues en live, sans aucune action de la part de l’utilisateur. Avec l’objectif initial de fournir des solutions de prises de vues panoramiques pour les agents immobiliers, Giroptic a évolué pour finalement offrir tout son savoir-faire technologique au grand public et permettre aux utilisateurs de créer de véritables scènes immersives que l’on peut regarder sous n’importe quel angle et avec n’importe quel focus.
Une technologie disruptive qui séduit puisque la jeune pousse annonce une levée de fonds de 4,5 millions de dollars (décembre 2015) auprès des fonds d’investissement Partech Ventures, 360 Capital Partners, SOSV et Finorpa ainsi que de business angels comme Pascal Cagni (fondateur et CEO de C4 Ventures), Oleg Tscheltzoff (fondateur de Fotolia) ou encore l’artiste Aloe Blacc. Mais la startup a également mené une campagne de crowdfunding sur Kickstarter en 2014, qui lui a permis de lever un peu moins d’1,5 million de dollars. Au final, Giroptic a donc levé 6 millions de dollars.
CRITIZR
Critizr est une plate-forme spécialisée dans la relation clients : les consommateurs peuvent en effet, via une application mobile ou par l’intermédiaire de sites web, faire part de leur avis directement au directeur du magasin. Créée en 2012, l’entreprise vient de lever 2,5 millions d’euros (décembre 2015) auprès de deux fonds d’investissement spécialisés dans les nouvelles technologies, l’allemand Point Nine capital et le russe Runa capital.
LES OBJECTIFS
2016 verra le démarrage des travaux sur le bâtiment Place pour 3 000 m2 (Inria Tech et CITC) et l’accueil du CEA. Le chantier de Lomme3 pour 5 000 m2 sera lancé vers le milieu d’année ». Fin 2017, de 35 000 à 45 000 m2 supplémentaires (contre 55 000 m2 aujourd’hui) feront leur apparition. L’idée est de faire de 2016 une année « de levier » qui propulsera le site vers son rythme de croisière avec 500 entreprises et plus de 6 000 salariés.
500 événements par an, 94 000 visiteurs en quatre ans, 25 délégations issues de 45 pays qui analysent ce qui se fait à Lille…
Euratechnologies est bien plus qu’un parc numérique, certainement pas un hôtel d’entreprises, un lieu qui vit par lui-même. « C’est un tout », glisse Pierre de Saintignon qui y perçoit, jetant un regard sur le 5e étage, un potentiel fabuleux… culturel ou ludique. « Nous prévoyons d’y construire un bar à jazz, avec ascenseur en verre, qui accueillera les plus grands groupes et qui sera ouvert 24h/24 ». Ce club complétera une offre qui se résume, pour le moment, à six restaurants ou services de restauration sur place. Un chapiteau « pouvant abriter jusqu’à 10 000 personnes » est à l’étude. Et de rêver : « Un jour, la convention mondiale d’IBM se passera ici ». La création d’une salle de sport et d’un parking silo étant évoquées dans les deux ans. (article complet dans La voix du Nord)
ACTUALITÉ
>> Décembre 2015: Leroy Merlin ouvre le plus grand atelier collaboratif d’Europe à EuraTechnologies
Une pièce métallique à prototyper, une maquette à réaliser, ou tout simplement un vélo à réparer… Le concept TechShop, né aux États-Unis dans la Silicon Valley en 2006, et importé par Leroy Merlin, c’est un atelier collaboratif où l’on peut louer, le temps d’une journée, d’une semaine ou d’un mois des machines semi-industrielles, pour réaliser ses rêves.
« Nous allons créer le plus grand maker space (espace de fabrication) d’Europe, explique Pascal Malfoy, directeur général délégué de Leroy Merlin. On y trouvera un parc de 150 machines, allant de la découpe laser à l’imprimante 3D, mais aussi des ateliers bois, textile, métal, des suites logicielles de conception et de design, des espaces de co-working. »
« Cela va compléter l’offre de l’écosystème innovant d’EuraTechnologies, en donnant à tout un chacun, start-up, entreprises, étudiants, habitants, l’occasion de donner forme à tous ses projets », s’enthousiasme Pierre de Saintignon, président d’EuraTechnologies. (article complet dans La voix du Nord)
>> Avril 2016: L’Inria de Lille installe des troupes dans Euratechnologies pour apprendre à entreprendre
Le centre de recherche Inria expérimente à Lille sa nouvelle plate-forme dédiée aux transferts de ses technologies vers les entreprises. Baptisée InriaTech, celle-ci est intégrée dans les locaux du pôle Euratechnologies et permettra à Inria Lille de stimuler ses activités de R&D et de création de start-up.
Pour réaliser un contrat de R&D avec une entreprise, le centre Inria Lille a la plupart du temps besoin de recruter un ingénieur. Ce qui allonge de manière significative la concrétisation de celui-ci : 2 mois de négociation avec la société, 3 mois de recrutement de l’ingénieur et 2 mois pour sa formation aux technologies de Inria Lille. C’est sur ces deux derniers points que InriaTech va jouer son rôle « d’accélérateur », le temps de négociation avec l’entreprise ne pouvant être réduit. Au lieu de recruter selon les besoins, l’idée est de disposer d’ingénieurs formés qui pourront être rapidement placés sur des contrats avec les entreprises de la région.
A terme, Inria Lille espère accueillir 20 à 30 personnes sur sa plateforme. « Nous avons un besoin énorme d’ingénieurs spécialisés en Big Data car la demande est forte », commente le directeur Inria Lille. Cette demande l’est également en Cloud Computing, en Internet des objets et en robotique. « On dit toujours que le coeur d’activité du Nord-Pas-de-Calais est le ferroviaire. Mais ce secteur comprend 17 000 emplois alors que le numérique 30 000 ! L’objectif de la French Tech est de passer à 60000 emplois dans le numérique en 5 ans. »
Les membres de InriaTech participeront aux différents événements organisés par le pôle d’activités, recevront des formations à l’entreprenariat et seront au contact d’entrepreneurs qui ont déjà développé leur start-up. Toutes les conditions seront réunies pour que ces ingénieurs soient amenés à concevoir et développer – en parallèle de leur première mission – leur propre projet de création de start-up.
French Tech : le pôle EuraTechnologies a fait ses preuves
(…) « Les projets sont incubés durant dix-huit mois avec obligation de se requalifier tous les trois mois pour pouvoir rester », explique Raouti Chehih, directeur d’EuraTechnologies. Quant à l’accélérateur, qui vise des entreprises ayant moins de 5 ans, il en a déjà hébergé soixante depuis cinq ans.
Ont ainsi émergé, de l’un et/ou de l’autre, des pépites telles que Stereograph (solutions 3D pour l’architecture, 23 salariés), Giroptic (caméra vidéo 360 degrés, 24 salariés, 1,4 million d’euros levés sur Kickstarter au printemps), Adictiz (Paf le Chien, 20 salariés) ou encore Vekia (logiciels de gestion prévisionnelle, 38 salariés, qui vient de lever 2,4 millions d’euros).
Ces success-stories devenues références sont un facteur d’attractivité pour EuraTechnologies, qui a su créer son propre écosystème. Ce pôle d’excellence choisit ainsi soigneusement les entreprises hébergées, veillant à ce qu’elles soient en synergie entre elles et qu’il n’y ait pas de doublon. On y compte aujourd’hui plus de 140 entreprises pour 3.500 emplois, avec des locomotives aussi prestigieuses que Cisco, IBM, Capgemini, Microsoft ou Tata, qui donnent de leur temps aux jeunes pousses, ainsi que d’autres grandes entreprises présentes en région, comme OVH.
Sur un an, « une vingtaine de millions d’euros ont été levés »
L’incubateur apporte par ailleurs toute une palette de services d’accompagnement, mobilisant tous les acteurs et proposant des ressources extérieures : juridique, RH, développement commercial, aide technologique, soutiens financiers (« business angels » ou fonds régionaux) — car l’incubateur n’entre jamais au capital. « Sur les douze derniers mois, une vingtaine de millions d’euros ont ainsi été levés par des entreprises d’EuraTechnologies », se félicite Raouti Chehih.
C’est d’ailleurs l’écosystème créé par EuraTechnologies et cette capacité à se fédérer autour d’un totem qui a servi de modèle au label French Tech. « Nous étions en fait à un stade de maturité suffisamment avancé, mais ce label a permis d’aller au-delà, en fédérant tous les territoires de notre région – avec Valenciennes (et ses Rives créatives de l’Escaut), Lens (le pôle numérique culturel autour du Louvre Lens), Calais (l’accélérateur numérique Tektos), Roubaix-Tourcoing (La Plaine Images et, bientôt, Blanchemaille) –, ce qui va nous faire entrer dans le réseau national et nous situer au niveau mondial », ajoute-t-il. (article complet sur Les Echos)
Blanchemaille : EuraTechnologies ouvre une déclinaison e-commerce à Roubaix
Les pouvoirs publics ont inauguré le futur coeur de Blanchemaille, antenne d’EuraTechnologies qui fédérera bientôt tout un écosystème autour de 50 start-up e-commerce.
Ce 25 novembre était inauguré à Roubaix le lieu totem de Blanchemaille, déclinaison e-commerce du plus gros incubateur de France, le Lillois Euratechnologies. Installé dans d’anciens locaux de La Redoute, qui possède toujours le bâtiment, Blanchemaille accueillera sur 2 000 mètres carrés un incubateur, un accélérateur et un hôtel d’entreprises.
Adoptant le même modèle qu’EuraTechnologies, il comptera également pour partenaires des écoles, des laboratoires, des investisseurs et des entreprises. Outre La Redoute, Showroomprivé, OVH, Cylande et Altima sont déjà annoncés.
« L’e-commerce est un vrai enjeu pour le territoire, souligne Raouti Chehih, directeur général d’Euratechnologies. De notre côté, nous souhaitons nous diversifier sur plusieurs verticales dans la région. Et ce projet est la suite de logique de nos activités dans l’e-commerce. Mais Blanchemaille va aussi permettre à ce territoire de ne pas perdre son avantage historique sur l’e-commerce. Jusqu’ici, entre Euratechnologies et La Plaine Images, il restait quelque chose à faire sur ce secteur. D’où l’idée d’un lieu d’accompagnement des initiatives et des créations d’entreprises d’e-commerce dans la région. »
« Nous allons suivre le même schéma qu’à Lille, explique Raouti Chehih. Nous allons d’abord accueillir 50 entreprises, mais d’autres pourront s’implanter tout autour. Nous organiserons aussi une vingtaine d’événements par an, pour diffuser le savoir-faire et les réussites en matière d’e-commerce. Et nous chercherons l’équilibre financier en développant et en commercialisant des services d’accompagnement, pour à terme ne plus dépendre de financements publics. Quand nous aurons réussi cela, nous pourrons nous étendre tout autour de Blanchemaille, il y a de la place. »
Les premiers occupants prendront possession des lieux fin janvier 2016. Euratechnologies rentre actuellement en phase de sélection des start-up et s’apprête à lancer son appel à candidatures. Une première jeune pousse a déjà été sélectionnée : Izyloc, site de petites annonces de logement étudiant. (article complet sur Le Journal du Net)
Critizr annonce une levée de fonds de 2,5 millions €
CRITIZR, startup d’Euratechnologies (Lille), que nous suivons depuis ses débuts en 2012, vient de réaliser la 2ème levée de fonds de son histoire. Un montant de 2,5 millions d’euros, opération réalisée auprès de Point Nine Capital et Runa Capital.
Critizr propose une plateforme destinée à faciliter l’expression des clients en points de vente. En 18 mois, l’entreprise connaît une forte croissance avec : un volume croissant de feedbacks (+15% chaque mois), la signature de 9 enseignes, dont Carrefour et Total, représentant plus de 5 000 points de vente. Aujourd’hui, plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr, véritable vitrine de l’entreprise.
En mai 2013, l’entreprise avait déjà levé 400 00€. La nouvelle levée de fonds a pour objectif de répondre à une demande croissante de grands noms de la distribution : repositionner le client au cœur de leurs préoccupations. La participation de Point Nine Capital et Runa Capital se traduit par un projet de recrutement de nouveaux talents pour renforcer les équipes Support, Marketing, Ventes, R&D.
2 juillet – Edition 2013 de la Journée Beez&Co à Lille: Le business sous un autre angle
Au Business Club de France, nous aimons mettre en valeur les initiatives originales, dynamiques, qui font bouger les choses en France. Beez & Co en est une.
Beez & Co est un think tank fondé à Lille en 2011 par 3 femmes entrepreneures, afin d’apporter un nouveau regard sur le business, de mettre en valeur des initiatives entrepreneuriales « out of the box », qui se différencient des façons de faire traditionnelles. L’objectif est aussi d’accompagner le changement des entreprises, car au-delà de la crise, selon Beez & Co, nous vivons aujourd’hui une rupture.
Chaque année, Beez & Co organise une journée de réflexion sur un thème de développement. La journée 2013 aura lieu le MARDI 2 JUILLET, à EURATECHNOLOGIES, LILLE. INSCRIVEZ-VOUS ICI.
Le thème de cette journée: « Organisation en E-CO-SYSTEME, création de valeurs pour tous? »
La conférence s’adresse aux décideurs convaincus qu’il faut s’inspirer d’autres angles de réflexion, fonctionner différemment, faire évoluer les organisations, et cherchent comment faire pour accélérer ce changement.
Revivez la journée de l’année dernière:
Beez & Co a été fondé par Caroline Valent, avec 3 autres femmes chef d’entreprise :
– Aurélie Duquennoy : avec Caroline Valent, elles ont fondé By Beez ,cabinet de conseil en stratégies de développement des entreprises, accompagne chefs d’entreprises et dirigeants dans la conception et modélisation de nouveaux business et leur structuration en plan opérationnel.
– Karine Lafontaine : Bonheur & Business est une agence de communication Nouvelle Génération. «Créatifs, inattendus, stratégiques… nous sommes éclectiques et nous imaginons des solutions panachées et inventives.»
– Anne-Lucie Domange-Viscardi, Opening Out est un cabinet de conseil en Communication Interne et Externe des entreprises par la Créativité, qui accompagne les structures dans l’objectif de valoriser leurs activités, renforcer la cohésion au sein des équipes, révéler la créativité des individus qui les composent et valoriser leurs talents.
C’était sur BFM (radio) : Planet Nemo Animation
C’était sur BFM (radio) les 2 et 3 juin 2012 dans Le Business Club de France
[audio http://podcast.bfmbusiness.com/channel151/20120604_club_1.mp3]- Planet Nemo
- Couteaux Laguiole
- Pâté Hénaff
- Chambre d’hôpital du futur
Planet Nemo Animation avec Frédéric Puech, Président et co-fondateur. (début du podcast)
PLANET NEMO est le 6eme producteur national de film d’animation. La société s’est hissée de la 10 e à la 6e place des producteurs de films d’animation en France. Plus de 140 heures de programmes Son chiffre d’affaires : 5 millions en 2012 (estimation)
Quelques « stars » de Planet Nemo Animation : Bali, Nelly & César, Manon…
Bali : 78 épisodes vendus dans 100 pays
Dans son univers coloré et chaleureux, notre héros rencontre Cleo, une fille sourde, nouvelle à sa classe. Leur amitié grandit avec l’aide de PAKITA, une fée qui apparaît dans ce monde animé pour les aider à communiquer avec la langue signe.
Entre 120 et 150 personnes interviennent sur une série. Et généralement, quatre années s’écoulent entre l’idée et sa réalisation.
Jusqu’à présent, vous vous développiez par autofinancement, mais Planet Nemo Animation a fait entrer, à hauteur de 49 % dans son capital, Morgane Groupe, un des principaux acteurs français de la production audiovisuelle.
À propos de Morgane Production
Fondé par Gérard Pont, Gérard Lacroix, et Claude Bertrac ce groupe compte 8 sociétés, couvrant un large spectre d’activités dans l’audiovisuel allant de la captation de spectacles à la production de documentaires ou de films d’animation, jusqu’à la production de spectacles via les Francofolies, racheté en 2005. Avec 3.000 heures de programmes en catalogue, Morgane Groupe totalise un chiffre d’affaires de 26 millions en 2010 et emploie 70 salariés permanents et plus de 1.000 intermittents par saison.
Et pour l’avenir Planet Nemo ?
Parallèlement à cette activité de création, de développement et de vente de produit, le studio s’est lancé un nouveau défi : la production d’un long métrage d’animation. Mais il faudra attendre 2015…
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