Euratechnologies

C’est lundi, jour du bonheur!

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J-8 avant le PRINTEMPS!!! 

Une seule journée par an consacrée aux femmes c’est trop peu. Nous, on continue:

FEMMES AUX POSTES DE DIRECTION: la France, bonne élève

femme dirigeanteD’après l’étude annuelle « Women in Business » de Grant Thornton International, menée au sein de 35 pays au dernier semestre 2017, un nombre plus important d’entreprises (75 % en 2018 contre 66 % en 2017) comptent désormais au moins une femme à un poste de top management ou de directionLes entreprises françaises sont au-dessus de la moyenne mondiale avec un résultat de près de 79%.

Pour en savoir plus 

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LES FEMMES PLUS HEUREUSES AU TRAVAIL QUE LES HOMMES

Selon la récente étude du cabinet Robert Half « Les secrets du bonheur au travail », les femmes seraient souvent plus satisfaites au travail que les hommes. Elles se considèrent traitées équitablement et avec respect (16% contre 13% pour les hommes), se sentent capables d’influencer d’importantes décisions (24% contre 17% chez les hommes) et se sentent libres d’être elles-mêmes (à 15% vs 11% pour les hommes).

ÉGALITÉ PROFESSIONNELLE: LES SYNDICATS VEULENT DES ACTES

Equal male female sex equality balanceSelon Les Echos: Les syndicats français réclament  de « passer, comme en Islande, d’une obligation de moyens à une obligation de résultats ».  Une loi qui vient d’être votée dans cette île impose aux entreprises d’obtenir une certification de leur système de rémunération, qui garantisse qu’il respecte les règles édictées conjointement par les syndicats islandais, la confédération des employeurs et certains membres du gouvernement.

En savoir plus 

LES STARTUPS FRANÇAISES ONT LEVÉ 258 MILLIONS € EN FÉVRIER

startup« Les mobilités sont loin devant les autres secteurs, portées par le tour de table de Cityscoot. Suivent les médias et la fintech. Les jeunes poussent de l’Hexagone ont amassé 255 millions d’euros en levées de fonds en février,  soit plus du double de l’année dernière sur la même période(102 millions d’euros) ».

En savoir plus sur Le Journal du Net

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EURATECHNOLOGIES fait des petits

euratechnologies-exterieur1er incubateur en France selon Fundacity, le célèbre Lillois annonce l’ouverture de deux nouvelles structures. Créé en 2009, EuraTechnologies accueille 300 entreprises, 3700 salariés, 500 événements annuels et un réseau international dense (San Francisco, Dubaï, Shanghai, New-York, Belo Horizonte).

Plus d’infos sur Capital

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FAMILLE, HONNÊTETÉ, VALEURS: les Français ont de belles valeurs

Le baromètre annuel des valeurs des Français a été dévoilé ce week-end en exclusivité au Business Club de France sur BFM radio. Publié par le cabinet de conseil de direction générale en stratégie et management Kea & Partners, il classe une centaine de valeurs perçues et désirées par les Français sur 3 plans : personnel, dans la nation et au sein de l’entreprise. Cette année, les Français sont plus optimistes et cherchent l’épanouissement au travail. 

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Téléchargez le baromètreBaromètre des Français Kea 2017

UN ROBOT AU CERVEAU HUMAIN?

robotAnother Brain, c’est la nouvelle aventure de Bruno Maisonnier, fondateur d’Aldebaran (créateur des robots Nao, Pepper, Romeo). L’idée très avant-gardiste est de créer un robot qui, comme un humain, est capable d’apprendre par lui-même. En d’autres termes un robot doté d’une conscience… Technologie parfaite pour la voiture autonome, mais aussi la robotique industrielle, la médecine personnalisée, etc. Et pourquoi pas à l’avenir faire le café, s’occuper des enfants, nous réprimander quand on mange trop de chocolat? Une vision à la fois magique et quelque peu effrayante…

LA MÉDIATION DES ENTREPRISES: un dispositif hyper efficace

mediationFaire appel à un médiateur pour résoudre les conflits inter-entreprises est une pratique de plus en plus courante en France, qui se révèle fructueuse dans 75% des cas. Les chiffres 2017 de la Médiation des Entreprises prouvent à la fois la progression et l’efficacité de cette procédure gratuite.

  • Depuis 2010, 10 000 entreprises et acteurs publics ont fait appel à la Médiation des Entreprises.
  • Près de 3/4 des médiations aboutissent de façon positive
  • Plus de 93% des saisines proviennent des TPE et PME
  • 1/3 des médiations concernent des marchés public

Chaque week-end, Pierre Pelouzet, Médiateur des Entreprises, est au micro de Michel Picot pour recueillir les témoignages de chefs d’entreprise qui ont fait appel à la Médiation et leur donner les conseils appropriés.

(Ré)écouter les podcasts

Pour faire appel à la Médiation : mediateur-des-entreprises@finances.gouv.fr

Site de la Médiation des Entreprises 

EDDY DE PRETTO = STROMAE ou JACQUES BREL? Vous en pensez quoi?

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Adictiz industrialise le jeu en ligne. C’était au Business Club (podcast)

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Dans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business RadioBFM-BU-RADIO

→ Diffusion : samedi 20/02/2016 à 7h | dimanche 21/02/2016 à 15h

Talk 1 : ENTOMO FARM lève des fonds pour sa solution industrielle d’élevage d’insectes

Talk 2 : DARTY choisit HELLO CASA pour offrir des services de bricolage

Talk 3 : ADICTIZ: après Paf le chien, la startup booste les marques par le jeu en ligne

Talk 4: Le rendez-vous du médiateur des entreprises, avec Pierre Pelouzet

TALK 3 : ADICTIZ, avec Charles Christory, président fondateur

Pour écouter, réécouter et télécharger cette interview:

Logo-adictiz-2015-02-copieAdictiz prône le jeu comme le média le plus naturel pour communiquer. La société édite la plateforme AdictizBox et accompagne les marques dans le recrutement, l’engagement et la conversion de clients au travers de mécaniques de jeux personnalisées. 

  • Activité: spécialiste du Jeu marketing (Paf le chien / Il est con ce pigeon)
  • Date de création: 2009
  • Lieu: Lille (Euratechnologies)
  • CA: NC – 200% de croissance par rapport à l’année dernière – 50% en B to B – ADICTIZ est une entreprise qui a auto-financé son développement depuis sa création. En moins de deux ans, elle était déjà très rentable !
  • Effectif: 25, à Lille et Paris
  • Présence aux Etats-Unis depuis environ 2 ans
  • CLIENTS: plus de 100 marques aujourd’hui abonnées à l’Adictiz Box: Kiabi, Lidl, Peugeot, Voyages SNCF, La Redoute, Orange, etc.

  • Dernière levée de fonds : 2 millions en 2012

Qu’est-ce-que l’Adictiz Box?

Adictiz Box est une solution clé en main qui accompagne les marques dans le recrutement, l’engagement et la conversion de prospects et clients au travers de jeux personnalisés. A travers plus de 40 mécaniques de jeux entièrement personnalisables et en fonction de leurs objectifs marketing, nos clients créent et diffusent en quelques clics leurs campagnes de jeu pour : recruter de nouveaux leads, engager et fidéliser leurs communauté, générer du trafic web et en magasin, promouvoir un nouveau produit et convertir leurs prospects en nouveaux clients générateurs de CA additionnels. Les campagnes lancées sur Adictiz Box sont disponibles sur toutes les plateformes sociales et mobiles, multilingues et optimisables en temps réel grâce à l’intégration d’un tableau de bord analytique précis. (source Wizishop)

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LES CHIFFRES CLÉS D’ADICTIZ

  • Depuis la création, Adictiz a travaillé avec Depuis la création, Adictiz a travaillé avec plus de 1000 marques 
  • Plus de 150 campagnes sont lancées chaque mois sur Adictiz Box dans différents secteurs d’activité (Retail, Beauté, Mode, PGC…).
  • 10 millions d’utilisateurs engagés l’an passé

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Paf le chien a rassemblé 30 millions d’utilisateurs depuis 2009. Il continue à exister. Paf le Chien existe toujours sur Facebook et Mobile. La série TV (52 épisodes) est en cours de production et devrait voir le jour en fin d’année. Plusieurs chaines se sont déjà positionnées dessus, dont Canal+ en France. Adictiz privilégie son activité B2B aujourd’hui puisqu’en forte croissance. L’équipe se concentre donc plutôt sur les solutions B2B.  

LE JEU EN LIGNE, levier d’activation des marques – une étude Adictiz/HighCo Data

 

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EXEMPLE DE CAMPAGNE

Nous avons récemment lancé une campagne avec Adore Me (Site de lingerie en ligne basé à New-York) dont la mécanique était un test de personnalité entièrement personnalisé permettant de qualifier l’utilisateur sur une gamme de produits (ex : Vous êtes un classique romantique) et en lui offrant un coupon d’une valeur de $10 à la fin du jeu (pour un minimum d’achat). Après un mois de campagne, on note que 30 % des joueurs ont visité le site Adore me depuis la campagne de jeu, et que 7% d’entre-eux ont effectué un achat. Au delà de toutes les mécaniques pour engager une communauté, nous aidons aussi les e-commerçants à augmenter le panier moyen de leur site, par des jeux lançables à n’importe quel moment et pour une courte durée. La promesse indiquée pour l’utilisateur est alors simple : réalise un achat de X€ et tu le gagneras peut être. (source Wizishop)

L’ACTUALITÉ D’ADICTIZ

  • Le 26 janvier 2016 – Adictiz démarre l’année sur des chapeaux de roue.  La start-up lilloise compte 10 nouveaux comptes clients, totalisant ainsi plus d’une centaine de marques abonnées à sa solution : Zive (vidéo à la demande), Voyages-sncf.com (voyages en ligne), D8 & D17 (télévision), les franchisés McDonald’s du nord de la France (restauration rapide), Delsey (fabriquant de bagagerie), Legrand (installation électrique), Autoecole.net (permis en ligne), Tape à l’oeil (mode) et Willemse France (vente en ligne de produits horticoles).
  • Novembre 2015 – Adictiz noue des liens avec l’agence HighCo Data, spécialiste du marketing opérationnel, pour monter en puissance sur le créneau de la gestion promotionnelle, du digital et du social media.

L’objectif est d’accompagner les marques sur cinq caractéristiques du jeu pris dans un contexte marketing: enrichir l’expérience consommateur, recruter et collecter une base de données «qualifiée», engager le consommateur, convertir le point de contact et intégrer la data dans le programme CRM de la marque. (source: ITEspresso)

MODÈLE ÉCONOMIQUE

Quel est votre modèle économique ? Nous fonctionnons avec nos clients sur un modèle de licence annuelle (abonnement) donnant un accès complet à notre plateforme de création de jeux clé en main, et incluant un suivi personnalisé par un account manager dédié. Nous proposons également diverses options de configuration, de graphisme et d’optimisation du plan média pour les marques qui le souhaitent. En parallèle, nous collaborons étroitement avec notre réseau d’agences partenaires. Nous disposons d’une Offre Agence dédiée afin que les agences conseil puissent accompagner leurs clients avec les technologies Adictiz.

DANS LES ECHOS – L’univers impitoyable des jeux sociaux

Rovio (Angry Birds), King.com (Candy Crush) ou Zynga (FarmVille) sont à la peine sur un marché où les succès se font et se défont en quelques mois.

Zynga, Rovio, et même King.com, l’éditeur du succès planétaire Candy Crush… Tous connaissent les mêmes difficultés : maintenir leurs performances sur la durée. Souvent tributaires d’un titre et exposés à la volatilité du public, les éditeurs de jeux sociaux sont assis sur une mine d’or qui peut vite s’épuiser.

La recette de ces « hits » a toujours été la même : des jeux relativement simples, utilisables sur mobile et sur les réseaux sociaux, moins chers à développer que les jeux vidéo sur console, mais aux graphismes soignés. Le buzz et les mécanismes de compétition entre amis Facebook, par exemple, permettent de rapidement attirer une audience colossale. A son zénith, plus de 1 milliard de parties de Candy Crush étaient jouées tous les jours à travers le monde. Et 550 millions de personnes continuent de jouer tous les mois aux jeux de son éditeur, King.com.

Ces sociétés ont, en outre, connu la fortune très rapidement, passant d’un chiffre d’affaires proche de zéro à plusieurs centaines de millions de dollars de revenus en l’espace de deux ou trois ans. Toutes sont basées sur le modèle du « freemium » : le jeu est accessible gratuitement mais, pour évoluer plus vite, on peut acheter des objets virtuels. La part de joueurs payants est infime (inférieure à 5 %) mais, étant donné les audiences gigantesques, celle-ci assure des revenus confortables aux éditeurs.

L’inverse est aussi vrai, comme en témoignent les difficultés de Zynga ou la stagnation des revenus de Rovio ou de King.com, dont le chiffre d’affaires du deuxième trimestre, publié jeudi soir, a même chuté de 17,5 %. Les audiences peuvent très vite s’écrouler, sous l’effet de la lassitude des joueurs et de la compétition acharnée entre les acteurs. Dernier exemple de cette concurrence : l’arrivée cette année parmi les leaders du secteur de Machine Zone, un éditeur californien porté par son jeu vedette, Game of War. Celui-ci s’est hissé dans le Top 3 mondial aux côtés deClash of Clans(Supercell) et de Candy Crush (King.com). Et la société prévoit de réaliser 600 millions de dollars de chiffre d’affaires dès cette année… « Il est de plus en plus difficile de percer sur le marché car les coûts d’acquisition de nouveaux clients ont explosé, du fait de la concurrence », souligne Charles Christory, directeur général et cofondateur d’Adictiz, le français connu pour avoir développé Paf le Chien.

Les recettes pour se sortir du piège de la dépendance sont loin d’être évidentes. Certains, comme Rovio, ont tenté d’exploiter leur marque. D’autres, comme King.com, Zynga ou l’allemand Wooga, investissent des moyens considérables pour développer des dizaines de jeux différents, en faisant le pari qu’au moins l’un d’entre eux finira par trouver son public.

Adictiz a pris une autre voie en se positionnant comme une agence pour les marques. La start-up lilloise développe des jeux pour des clients professionnels (McDonald’s, La Redoute, etc.) et a créé une plate-forme sur laquelle les marques peuvent piocher des éléments et créer leur propre jeu en quelques clics. « Elles peuvent ainsi récupérer des données intéressantes sur leurs joueurs, enrichir leur base prospects », explique Charles Christory. Le B to B représente plus de 50 % de son chiffre d’affaires et continue de progresser, avec une croissance de 150 % par an.

Critizr, l’appli des clients mécontents. C’était au Business Club! (podcast)

Publié le Mis à jour le

BFM-BU-RADIODans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio

→ Diffusion : samedi 13/02/2016 à 7h | dimanche 14/02/2016 à 15h

Talk 1 : CRITIZR: une levée de fonds pour s’internationaliser

Talk 2 : BBCHOO, un tout nouveau site pour aller encore plus loin dans l’offre puériculture

Talk 3 : Taillardat, rachetée par un « petit LVMH », se développe à l’international

Talk 4: Le rendez-vous du médiateur des entreprises, avec Pierre Pelouzet

Talk 1 : CRITIZR, avec Nicolas Hammer, président cofondateur

Ecouter, réécouter et télécharger cette interview:

critizr.pngAvec Critizr, c’est une nouvelle façon de dire « Appelez-moi le directeur! ». Sur la plateforme Web et mobile, les internautes déposent leurs avis et échangent avec les responsables d’un magasin, d’un restaurant ou encore d’un bar. 

Créée en 2012, la startup est basée à Lille (Euratechnologies) et emploie aujourd’hui 20 personnes. 

Depuis 18 mois, l’entreprise connaît une forte croissance avec : un volume croissant de feedbacks (+15% chaque mois), la signature de 9 enseignes, dont Carrefour et Total, représentant plus de 7 500 points de vente.

Aujourd’hui, plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr, véritable vitrine de l’entreprise.

ACTUALITÉ

12 décembre 2015 – Levée de fonds de 2,5 millions € auprès de Point Nine capital (allemand) et Runa Capital (russe). (la 1ère avait eu lieu en mai 2013: 400 000€)

L’arrivée de ces deux sociétés de capital-risque va permettre au lillois Critizr de bâtir un plan de recrutement de nouveaux collaborateurs pour renforcer les équipes support, marketing, R&D et ventes. Mais « l’enjeu est maintenant l’international, pour notamment accompagner certains de nos grands clients comme Carrefour ou Leroy Merlin. Ainsi nous ciblons l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, puis la Grande Bretagne« , explique Nicolas Hammer, co-fondateur de Critizr.

La société lilloise, basée à Euratechnologies, annonce avoir, pour 2015, multiplié par dix son chiffre d’affaires de 2014 qui était « très supérieur à 100 000 euros ». Elle a notamment engrangé la signature de 9 enseignes, dont celles de Carrefour et Total. Au total, elle compte 16 enseignes soit 7500 points de vente.

Plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr. Fondée en 2012 à Lille par Nicolas Hammer et Thibaut Carlier, Critizr vise les 35 salariés à la fin de l’année prochaine. La start-up propose une plateforme multicanale de relation client. Ce dernier, via une application gratuite, peut transmettre ses remarques, notes et critiques sur les enseignes référencées. Lesdites enseignes peuvent de leurs côtés lancer des demandes d’évaluations et naturellement y répondre. (article complet sur L’Usine Digitale)

Capture d’écran 2016-02-09 à 15.44.01.pngCOMMENT ÇA MARCHE?

Une question sur un produit, un problème lors d’un achat? Plus besoin de faire la queue en magasin ou de remplir des formulaires sur Internet. Il suffit d’écrire un message et Critizr se charge du reste. «Par exemple, un client qui ressort mécontent parce qu’il a reçu un burger froid d’un fast food, peut déposer un “problème”. De notre côté, on contacte le commerçant pour qu’il réponde au message», détaille Nicolas Hammer, le président de la start-up.

Les consommateurs peuvent aussi déposer des compliments et des suggestions pour aiguiller les autres dans leurs choix. L’ensemble des messages s’affichent au fur et à mesure sur un fil d’actualité, comme sur Twitter. À mi-chemin entre l’économie collaborative et le traditionnel SAV, le concept semble trouver son public.

Via l’application, les clients sont mis en relation avec un employé du point de vente précis auquel ils font référence. «On cherche en priorité à ce que se soit le directeur du point de vente en question qui réponde au message de l’utilisateur, car c’est le plus à même d’effectuer une modification», indique Nicolas Hammer. «Parfois, ce sera le manager du rayon concerné, notamment pour les grandes enseignes».

L’objectif de l’application est d’optimiser la relation client via un système de notation. «Les notes attribuées aux enseignes ne concernent pas la qualité du produit, mais bien la relation client», souligne le président Critizr. Plus une enseigne prendra la peine de répondre rapidement et avec précision aux messages des clients, meilleure sera sa note.

Enfin, l’application va même jusqu’à rémunérer certains de ses contributeurs (35 centimes le message). «Il s’agit d’un groupe de 5000 utilisateurs les plus actifs qui font des publications plus détaillées, plus fréquentes et prennent des photos. Ainsi, les gérants obtiennent davantage d’informations pour améliorer leur point de vente», conclut Nicolas Hammer. (article complet dans Le Figaro)

EuraTechnologies, la machine à emplois! C’était au Business Club (podcast)

Publié le Mis à jour le

BFM-BU-RADIODans le Business Club de France | Uniquement sur BFM Business Radio

→ Diffusion : samedi 9/01/2016 à 7h | dimanche 10/01/2016 à 15h

Talk 1 & 2 : EURATECHNOLOGIES, 3ème accélérateur en Europe, 1er en France!

Talk 3 : MILIBOO, marque de meubles sur Internet, est entrée en bourse

Talk 4: Le rendez-vous du médiateur des entreprises, avec Pierre Pelouzet

Talk 1 & 2 : EURATECHNOLOGIES, avec Raouti Chehih, directeur – Richard Ollier, président de GIROPTIC et Thibault Carlier, cofondateur de CRITIZR

Ecouter, réécouter et télécharger cette interview:

ImprimerCréé en  2009, EuraTechnologies vient d’être classé 3e accélérateur le plus important en Europe, et le 1er en France ! En cinq années d’existence, EuraTechnologies a en effet réussi à s’imposer comme le fer de lance de l’économie numérique française avec la création de 3 500 emplois et la mise en place d’un réseau dense à l’échelle internationale (bureaux et partenaires à San Francisco, Dubaï, Shanghai, New-York, Belo Horizonte), dans une région touchée par deux crises industrielles majeures (industrie minière puis textile).

Toute une filière se structure durablement avec la création d’emplois pérennes (environ 300/an) au sein d’EuraTechnologies.

En parallèle, EuraTechnologies a permis à des entreprises comme GIROPTIC, CRITIZR, XBRAIN SOFT, ADICTIZ, LECOMPARATEURASSURANCE.COM, FITIZZY, STEREOGRAPH, VISIOTALENT, VEKIA… de voir le jour mais surtout de prendre leur envol en France et à l’international.

Chiffres clés

    Plus de 100 millions d’euros levés depuis 2009 par les start-ups

    250 projets accompagnés

    145 sociétés hébergées

    3 500 salariés

    plus de 500 événements en 2015

2 PÉPITES D’EURATECHNOLOGIES

GIROPTIC

Créée en 2008, la startup lilloise Giroptic a développé la première caméra au monde qui prend des photos et vidéos en haute définition, à 360°. En temps réel, les images et vidéos peuvent être uploadées sur Youtube, ou vues en live, sans aucune action de la part de l’utilisateur.  Avec l’objectif initial de fournir des solutions de prises de vues panoramiques pour les agents immobiliers, Giroptic a évolué pour finalement offrir tout son savoir-faire technologique au grand public et permettre aux utilisateurs de créer de véritables scènes immersives que l’on peut regarder sous n’importe quel angle et avec n’importe quel focus.

Une technologie disruptive qui séduit puisque la jeune pousse annonce une levée de fonds de 4,5 millions de dollars (décembre 2015) auprès des fonds d’investissement Partech Ventures, 360 Capital Partners, SOSV et Finorpa ainsi que de business angels comme Pascal Cagni (fondateur et CEO de C4 Ventures), Oleg Tscheltzoff (fondateur de Fotolia) ou encore l’artiste Aloe Blacc. Mais la startup a également mené une campagne de crowdfunding sur Kickstarter en 2014, qui lui a permis de lever un peu moins d’1,5 million de dollars. Au final, Giroptic a donc levé 6 millions de dollars.

CRITIZR

Critizr est une plate-forme spécialisée dans la relation clients : les consommateurs peuvent en effet, via une application mobile ou par l’intermédiaire de sites web, faire part de leur avis directement au directeur du magasin. Créée en 2012, l’entreprise vient de lever 2,5 millions d’euros (décembre 2015) auprès de deux fonds d’investissement spécialisés dans les nouvelles technologies, l’allemand Point Nine capital et le russe Runa capital.

 

LES OBJECTIFS

2016 verra le démarrage des travaux sur le bâtiment Place pour 3 000 m2 (Inria Tech et CITC) et l’accueil du CEA. Le chantier de Lomme3 pour 5 000 m2 sera lancé vers le milieu d’année ». Fin 2017, de 35 000 à 45 000 m2 supplémentaires (contre 55 000 m2 aujourd’hui) feront leur apparition. L’idée est de faire de 2016 une année « de levier » qui propulsera le site vers son rythme de croisière avec 500 entreprises et plus de 6 000 salariés.

500 événements par an, 94 000 visiteurs en quatre ans, 25 délégations issues de 45 pays qui analysent ce qui se fait à Lille…

Capture d’écran 2016-01-05 à 16.47.57Euratechnologies est bien plus qu’un parc numérique, certainement pas un hôtel d’entreprises, un lieu qui vit par lui-même. « C’est un tout », glisse Pierre de Saintignon qui y perçoit, jetant un regard sur le 5e étage, un potentiel fabuleux… culturel ou ludique. « Nous prévoyons d’y construire un bar à jazz, avec ascenseur en verre, qui accueillera les plus grands groupes et qui sera ouvert 24h/24 ». Ce club complétera une offre qui se résume, pour le moment, à six restaurants ou services de restauration sur place. Un chapiteau « pouvant abriter jusqu’à 10 000 personnes » est à l’étude. Et de rêver : « Un jour, la convention mondiale d’IBM se passera ici ». La création d’une salle de sport et d’un parking silo étant évoquées dans les deux ans. (article complet dans La voix du Nord)

ACTUALITÉ

>> Décembre 2015: Leroy Merlin ouvre le plus grand atelier collaboratif d’Europe à EuraTechnologies

leroymerlineuratechnologiesUne pièce métallique à prototyper, une maquette à réaliser, ou tout simplement un vélo à réparer… Le concept TechShop, né aux États-Unis dans la Silicon Valley en 2006, et importé par Leroy Merlin, c’est un atelier collaboratif où l’on peut louer, le temps d’une journée, d’une semaine ou d’un mois des machines semi-industrielles, pour réaliser ses rêves.

« Nous allons créer le plus grand maker space (espace de fabrication) d’Europe, explique Pascal Malfoy, directeur général délégué de Leroy Merlin. On y trouvera un parc de 150 machines, allant de la découpe laser à l’imprimante 3D, mais aussi des ateliers bois, textile, métal, des suites logicielles de conception et de design, des espaces de co-working. »

« Cela va compléter l’offre de l’écosystème innovant d’EuraTechnologies, en donnant à tout un chacun, start-up, entreprises, étudiants, habitants, l’occasion de donner forme à tous ses projets », s’enthousiasme Pierre de Saintignon, président d’EuraTechnologies. (article complet dans La voix du Nord)

>> Avril 2016: L’Inria de Lille installe des troupes dans Euratechnologies pour apprendre à entreprendre

plateau-inria-page-innovation_vignetteLe centre de recherche Inria expérimente à Lille sa nouvelle plate-forme dédiée aux transferts de ses technologies vers les entreprises. Baptisée InriaTech, celle-ci est intégrée dans les locaux du pôle Euratechnologies et permettra à Inria Lille de stimuler ses activités de R&D et de création de start-up.

Pour réaliser un contrat de R&D avec une entreprise, le centre Inria Lille a la plupart du temps besoin de recruter un ingénieur. Ce qui allonge de manière significative la concrétisation de celui-ci : 2 mois de négociation avec la société, 3 mois de recrutement de l’ingénieur et 2 mois pour sa formation aux technologies de Inria Lille. C’est sur ces deux derniers points que InriaTech va jouer son rôle « d’accélérateur », le temps de négociation avec l’entreprise ne pouvant être réduit. Au lieu de recruter selon les besoins, l’idée est de disposer d’ingénieurs formés qui pourront être rapidement placés sur des contrats avec les entreprises de la région.

A terme, Inria Lille espère accueillir 20 à 30 personnes sur sa plateforme. « Nous avons un besoin énorme d’ingénieurs spécialisés en Big Data car la demande est forte », commente le directeur Inria Lille. Cette demande l’est également en Cloud Computing, en Internet des objets et en robotique. « On dit toujours que le coeur d’activité du Nord-Pas-de-Calais est le ferroviaire. Mais ce secteur comprend 17 000 emplois alors que le numérique 30 000 ! L’objectif de la French Tech est de passer à 60000 emplois dans le numérique en 5 ans. »

Les membres de InriaTech participeront aux différents événements organisés par le pôle d’activités, recevront des formations à l’entreprenariat et seront au contact d’entrepreneurs qui ont déjà développé leur start-up. Toutes les conditions seront réunies pour que ces ingénieurs soient amenés à concevoir et développer – en parallèle de leur première mission – leur propre projet de création de start-up.

French Tech : le pôle EuraTechnologies a fait ses preuves

(…) « Les projets sont incubés durant dix-huit mois avec obligation de se requalifier tous les trois mois pour pouvoir rester », explique Raouti Chehih, directeur d’EuraTechnologies. Quant à l’accélérateur, qui vise des entreprises ayant moins de 5 ans, il en a déjà hébergé soixante depuis cinq ans.

Ont ainsi émergé, de l’un et/ou de l’autre, des pépites telles que Stereograph (solutions 3D pour l’architecture, 23 salariés), Giroptic (caméra vidéo 360 degrés, 24 salariés, 1,4 million d’euros levés sur Kickstarter au printemps), Adictiz (Paf le Chien, 20 salariés) ou encore Vekia (logiciels de gestion prévisionnelle, 38 salariés, qui vient de lever 2,4 millions d’euros).

Ces success-stories devenues références sont un facteur d’attractivité pour EuraTechnologies, qui a su créer son propre écosystème. Ce pôle d’excellence choisit ainsi soigneusement les entreprises hébergées, veillant à ce qu’elles soient en synergie entre elles et qu’il n’y ait pas de doublon. On y compte aujourd’hui plus de 140 entreprises pour 3.500 emplois, avec des locomotives aussi prestigieuses que Cisco, IBM, Capgemini, Microsoft ou Tata, qui donnent de leur temps aux jeunes pousses, ainsi que d’autres grandes entreprises présentes en région, comme OVH.

Sur un an, « une vingtaine de millions d’euros ont été levés »

L’incubateur apporte par ailleurs toute une palette de services d’accompagnement, mobilisant tous les acteurs et proposant des ressources extérieures : juridique, RH, développement commercial, aide technologique, soutiens financiers (« business angels » ou fonds régionaux) — car l’incubateur n’entre jamais au capital. « Sur les douze derniers mois, une vingtaine de millions d’euros ont ainsi été levés par des entreprises d’EuraTechnologies », se félicite Raouti Chehih.

C’est d’ailleurs l’écosystème créé par EuraTechnologies et cette capacité à se fédérer autour d’un totem qui a servi de modèle au label French Tech. « Nous étions en fait à un stade de maturité suffisamment avancé, mais ce label a permis d’aller au-delà, en fédérant tous les territoires de notre région – avec Valenciennes (et ses Rives ­créatives de l’Escaut), Lens (le pôle numérique culturel autour du Louvre Lens), Calais (l’accélérateur numérique Tektos), Roubaix-Tourcoing (La Plaine Images et, bientôt, Blanchemaille) –, ce qui va nous faire entrer dans le réseau national et nous situer au niveau mondial », ajoute-t-il. (article complet sur Les Echos)

Blanchemaille : EuraTechnologies ouvre une déclinaison e-commerce à Roubaix

Les pouvoirs publics ont inauguré le futur coeur de Blanchemaille, antenne d’EuraTechnologies qui fédérera bientôt tout un écosystème autour de 50 start-up e-commerce.

Ce 25 novembre était inauguré à Roubaix le lieu totem de Blanchemaille, déclinaison e-commerce du plus gros incubateur de France, le Lillois Euratechnologies. Installé dans d’anciens locaux de La Redoute, qui possède toujours le bâtiment, Blanchemaille accueillera sur 2 000 mètres carrés un incubateur, un accélérateur et un hôtel d’entreprises.

Adoptant le même modèle qu’EuraTechnologies, il comptera également pour partenaires des écoles, des laboratoires, des investisseurs et des entreprises. Outre La Redoute, Showroomprivé, OVH, Cylande et Altima sont déjà annoncés.

« L’e-commerce est un vrai enjeu pour le territoire, souligne Raouti Chehih, directeur général d’Euratechnologies. De notre côté, nous souhaitons nous diversifier sur plusieurs verticales dans la région. Et ce projet est la suite de logique de nos activités dans l’e-commerce. Mais Blanchemaille va aussi permettre à ce territoire de ne pas perdre son avantage historique sur l’e-commerce. Jusqu’ici, entre Euratechnologies et La Plaine Images, il restait quelque chose à faire sur ce secteur. D’où l’idée d’un lieu d’accompagnement des initiatives et des créations d’entreprises d’e-commerce dans la région. »

« Nous allons suivre le même schéma qu’à Lille, explique Raouti Chehih. Nous allons d’abord accueillir 50 entreprises, mais d’autres pourront s’implanter tout autour. Nous organiserons aussi une vingtaine d’événements par an, pour diffuser le savoir-faire et les réussites en matière d’e-commerce. Et nous chercherons l’équilibre financier en développant et en commercialisant des services d’accompagnement, pour à terme ne plus dépendre de financements publics. Quand nous aurons réussi cela, nous pourrons nous étendre tout autour de Blanchemaille, il y a de la place. »

Les premiers occupants prendront possession des lieux fin janvier 2016. Euratechnologies rentre actuellement en phase de sélection des start-up et s’apprête à lancer son appel à candidatures. Une première jeune pousse a déjà été sélectionnée : Izyloc, site de petites annonces de logement étudiant. (article complet sur Le Journal du Net)

Critizr annonce une levée de fonds de 2,5 millions €

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critizr.pngCRITIZR, startup d’Euratechnologies (Lille), que nous suivons depuis ses débuts en 2012, vient de réaliser la 2ème levée de fonds de son histoire. Un montant de 2,5 millions d’euros, opération réalisée auprès de Point Nine Capital et Runa Capital. 

Critizr propose une plateforme destinée à faciliter l’expression des clients en points de vente. En 18 mois, l’entreprise connaît une forte croissance avec : un volume croissant de feedbacks (+15% chaque mois), la signature de 9 enseignes, dont Carrefour et Total, représentant plus de 5 000 points de vente. Aujourd’hui, plus de 500 000 particuliers ont déjà utilisé l’application Critizr, véritable vitrine de l’entreprise.

En mai 2013, l’entreprise avait déjà levé 400 00€. La nouvelle levée de fonds a pour objectif de répondre à une demande croissante de grands noms de la distribution : repositionner le client au cœur de leurs préoccupations. La participation de Point Nine Capital et Runa Capital se traduit par un projet de recrutement de nouveaux talents pour renforcer les équipes Support, Marketing, Ventes, R&D.

2 juillet – Edition 2013 de la Journée Beez&Co à Lille: Le business sous un autre angle

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lille 2Au Business Club de France, nous aimons mettre en valeur les initiatives originales, dynamiques, qui font bouger les choses en France. Beez & Co en est une.

Beez & Co est un think tank fondé à Lille en 2011 par 3 femmes entrepreneures, afin d’apporter un nouveau regard sur le business, de mettre en valeur des initiatives entrepreneuriales « out of the box », qui se différencient des façons de faire traditionnelles. L’objectif est aussi d’accompagner le changement des entreprises, car au-delà de la crise, selon Beez & Co, nous vivons aujourd’hui une rupture.

Chaque année, Beez & Co organise une journée de réflexion sur un thème de développement. La journée 2013 aura lieu le MARDI 2 JUILLET, à EURATECHNOLOGIES, LILLE. INSCRIVEZ-VOUS ICI.

Le thème de cette journée: « Organisation en E-CO-SYSTEME, création de valeurs pour tous? »

La conférence s’adresse aux décideurs convaincus qu’il faut s’inspirer d’autres angles de réflexion, fonctionner différemment, faire évoluer les organisations, et cherchent comment faire pour accélérer ce changement.

Revivez la journée de l’année dernière:

Beez & Co a été fondé par Caroline Valent, avec 3 autres femmes chef d’entreprise :

–       Aurélie Duquennoy : avec Caroline Valent, elles ont fondé By Beez ,cabinet de conseil en stratégies de développement des entreprises, accompagne chefs d’entreprises et dirigeants dans la conception et modélisation de nouveaux business et leur structuration en plan opérationnel.

–       Karine Lafontaine : Bonheur & Business est une agence de communication Nouvelle Génération. «Créatifs, inattendus, stratégiques… nous sommes éclectiques et nous imaginons des solutions panachées et inventives.»

–       Anne-Lucie Domange-Viscardi, Opening Out est un cabinet de conseil en Communication Interne et Externe des entreprises par la Créativité, qui accompagne les structures dans l’objectif de valoriser leurs activités, renforcer la cohésion au sein des équipes, révéler la créativité des individus qui les composent et valoriser leurs talents.

C’était sur BFM (radio) : Planet Nemo Animation

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C’était sur BFM (radio) les  2 et 3 juin 2012 dans Le Business Club de France 

[audio http://podcast.bfmbusiness.com/channel151/20120604_club_1.mp3]

Planet Nemo Animation avec  Frédéric Puech, Président et co-fondateur. (début du podcast)

PLANET NEMO est  le 6eme producteur national de film d’animation. La société s’est hissée de la 10 e à la 6e place des producteurs de films d’animation en France. Plus de 140 heures de programmes Son chiffre d’affaires : 5 millions en 2012 (estimation)

Quelques « stars » de Planet Nemo Animation : Bali, Nelly & César, Manon…

Bali : 78 épisodes vendus dans 100 pays

Dans son univers coloré et chaleureux, notre héros rencontre  Cleo, une fille sourde, nouvelle à sa classe. Leur amitié grandit avec l’aide de PAKITA, une fée qui apparaît dans ce monde animé pour les aider à communiquer avec la langue signe.

Entre 120 et 150 personnes interviennent sur une série. Et généralement, quatre années s’écoulent entre l’idée et sa réalisation.

Jusqu’à présent, vous vous développiez par  autofinancement, mais Planet Nemo Animation a  fait entrer, à hauteur de 49 % dans son capital, Morgane Groupe, un des principaux acteurs français de la production audiovisuelle.

À propos de Morgane Production 

Fondé par Gérard Pont, Gérard Lacroix, et Claude Bertrac ce groupe compte 8 sociétés, couvrant un large spectre d’activités dans l’audiovisuel allant de la captation de spectacles à la production de documentaires ou de films d’animation, jusqu’à la production de spectacles via les Francofolies, racheté en 2005. Avec 3.000 heures de programmes en catalogue, Morgane Groupe totalise un chiffre d’affaires de 26 millions en 2010 et emploie 70 salariés permanents et plus de 1.000 intermittents par saison.

Et pour l’avenir Planet Nemo ? 

Parallèlement à cette activité de création, de développement et de vente de produit, le studio s’est lancé un nouveau défi : la production d’un long métrage d’animation. Mais il faudra attendre 2015…