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[ENTREPRENDRE] – Les 1ers pas de Jean-David Chamboredon / Les conseils d’expert de Christiane Feral-Schuhl, présidente du Conseil National des Barreaux (podcast)

Publié le Mis à jour le

Dans le prochain Business Club de France : 
Samedi 17/3/18 à 7h – Dimanche 18/3/18 à 15h

⇒ Uniquement sur BFM Business Radio 

creation entreprise
⇒ PREMIÈRE PARTIE 

TALK 1: ANOTHER BRAIN: un robot au cerveau (presque) humain

TALK 2 : BOXTAL, spécialiste de l’envoi de colis pour TPE/PME

⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER
  • Les premiers pas dans l’entrepreneuriat de Jean-David Chamboredon, entrepreneur et investisseur (ISAI), président de France Digitale 
  • Les conseils d’expert de Christiane Feral-Schuhl, présidente du Conseil National des Barreaux 

⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet


⇒ LES PREMIERS PAS DANS L’ENTREPRENEURIAT de Jean-David Chamboredon, entrepreneur et investisseur (ISAI), président de France Digitale, et à l’origine du mouvement Les Pigeons

(Ré)écoutez et téléchargez cette interview:

Portait-Jean-David-Chamboredon-trajectoire-Pigeon-FDans 1001 Startups: « Je suis un vieux VC ! Avant j’étais informaticien, pendant 13 ans chez Cap Gemini. J’ai eu la chance, en 1996, de monter Cap Gemini Silicon Valley et de passer 3 ans en Californie et de découvrir cette écosystème incroyable.

Pour moi c’était la plus belle époque de la Silicon Valley. Quand je suis rentré en France, j’ai décidé de changer de métier, d’arrêter l’intégration système et de passer au Capital Risque.

J’ai alors intégré 3I, un fonds d’investissement anglais dont j’étais le partner France sur le secteur des technologies, télécom, média, etc. Cela m’a permis de faire de beaux deals comme seloger.com et PriceMinister, et c’est comme ça que je suis rentré en relation avec Pierre (Koscziusko-Morizet) et Olivier (Mathiot). En 2008, pendant la crise, le fonds 3I a décidé d’arrêter d’investir dans le secteur des technologies et Pierre Koscziusko-Morizet m’a proposé ISAI.

⇒ LES CONSEILS D’EXPERT de Christiane Feral-Schuhl, présidente du Conseil National des Barreaux

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christiane feral schuhl.jpgDepuis près de 30 ans, Christiane Féral-Schuhl exerce dans le secteur du droit de l’informatique, des nouvelles technologies (informatique, internet, télécommunications et médias), des données personnelles et de la propriété intellectuelle, dont elle est un acteur reconnu. Elle exerce également les fonctions de médiatrice, d’arbitre et de cyberarbitre. Elle a été Bâtonnier du Barreau de Paris (24 000 avocats) en 2012 et 2013.

Pourquoi faire appel à un avocat pour la création d’entreprise?

Ce sont des hommes de droit, par conséquent les plus à même d’aider un créateur d’entreprise à définir le cadre légal de son activité. Ils peuvent à la fois intervenir sur le choix de la structure juridique de l’entreprise (entreprise individuelle, SARL, SA, SAS…), apporter des conseils sur son nom et le droit des marques, faire des recherches d’antériorité sur un brevet ou rédiger un pacte d’actionnaires. Leur champ d’intervention est large. Leurs tarifs également !  » J’ai lâché 6 000 euros à un cabinet d’avocats quand j’ai lancé mon entreprise. Tout cela pour m’entendre dire qu’il fallait que j’opte pour un bail commercial à usage exclusif. J’ai trouvé ça un peu cher « , relate Eric Salles, fondateur de Point WC, une entreprise qui conçoit des toilettes haut de gamme pour les espaces publics. (L’Express)

 

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[ENTREPRENDRE] – Les 1ers pas de Paolin Pascot, d’Agriconomie / Les conseils de l’expert Jean-David Chamboredon (2e partie). C’était au Business Club (podcast)

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Samedi 3/3/18 à 7h – Dimanche 4/3/18 à 15h

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⇒ PREMIÈRE PARTIE 

TALK 1: SUPERPROF : croissance annuelle de plus de 120% depuis sa création

TALK 2: ELLCIE HEALTHY : les lunettes intelligentes made in France

⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER
  • Les premiers pas dans l’entrepreneuriat de Paolin Pascot, d’Agriconomie
  • Les conseils d’expert de Jean-David Chamboredon, entrepreneur et investisseur (ISAI), président de France Digitale, et à l’origine du mouvement Les Pigeons –  (2ème partie)

⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet


⇒ LES PREMIERS PAS dans l’entrepreneuriat de Paolin Pascot, d’Agriconomie

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Des entrepreneurs à la fois geek et d’ascendance paysanne

Ces trois garçons dans le champ revendiquent tous des racines paysannes. A la tête d’Agriconomie, Paolin Pascot, petits-fils d’agriculteurs dans le Poitou, est entouré de Clément Le Fournis, cinquième génération d’agriculteurs dans la Marne, titulaire d’un bac agricole, et Dinh Nguyen, fils de viticulteurs dans l’Aube. Ce dernier est le petit génie informatique de la bande, diplômé d’Epitech, alors que les deux premiers ont suivi le master HEC Entrepreneurs après un parcours universitaire très original.

 » J’ai commencé à étudier à l’université d’Evry, raconte Paolin Pascot. Puis, comme j’avais de très bons résultats, j’ai reçu une bourse pour étudier à Cambridge, puis au Canada et en Inde où j’ai obtenu un master en global communication tout en créant ma première start-up.  » Après une année de service civique chez les pompiers, le jeune homme décide de compléter sa formation à HEC.  » C’est très concret, j’ai adoré.  » A Jouy-en-Josas, sur les bancs de l’école de management, il rencontre Clément le Fournis.  » Une personnalité incroyable, le plus jeune de la promo, assoiffé de connaissances, passionné de rugby. Le cul-terreux du groupe « , dit-il avec beaucoup d’affection. En 2014, ils créent ensemble Agriconomie. (Challenges)

⇒ LES CONSEILS D’EXPERT de Jean-David Chamboredon

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Comment séduire les investisseurs?

Quelles sont les erreurs les plus fréquentes que font les start-up quand elles cherchent à lever des fonds ?

JDC : L’erreur la plus fréquente c’est de se tromper sur le montant que l’on demande ! Quand vous souhaitez lever de l’argent, le montant que vous demandez correspond implicitement à la valeur que vous lui attribuez. Par exemple, si vous cherchez 1 million d’euros, c’est que vous pensez que la valorisation de l’entreprise vaut entre 2 et 3 millions d’euros minimum. Or la start-up ne vaut généralement vraiment pas grand-chose avant d’atteindre une vraie traction. Les chances de valoriser sa start-up à 2 ou 3 millions d’euros est alors quasi nulle.  Cela veut dire qu’à ce stade là, il vaut mieux aller chercher 200 000 euros en expliquant que l’on n’a pas encore de traction véritable.

Et il faut savoir que dans la chaine de financement, selon le montant que vous demandez, il ne faut pas aller voir les mêmes personnes.

La deuxième erreur des start-up est le multiple modèle économique. Cette erreur est de moins en moins fréquente maintenant, car les start-up sont accompagnées par des pépinières, des incubateurs, des accélérateurs… et sont donc plus encadrées. Cependant,  les start-up sont trop souvent hybrides dans leur modèle économique. Par exemple, une start-up qui développe une activité B to C mais qui se positionne également sur du B to B car cela permet de générer du cash rapidement….

Les investisseurs aiment les modèles purs et investissent sur les start-up qui ont une idée claire de leur modèle économique ! Voici une expression que j’emploie souvent « vendre un couteau suisse à quelqu’un pour manger de la viande, ce n’est pas l’outil le plus adapté. Ok, le couteau suisse c’est sympa, il y a un tire bouchon, etc. mais le couteau à viande, pour manger de la viande, c’est mieux ! »

La suite sur 1001 startups 

[ENTREPRENDRE] – Les 1ers pas d’Arthur Lepage, d’Excelrise / Les conseils d’expert de Jean-David Chamboredon. C’était au Business Club (podcast)

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Dans le prochain Business Club de France : 
Samedi 24/2/18 à 7h – Dimanche 25/2/18 à 15h

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⇒ PREMIÈRE PARTIE 

TALK 1 & 2 : DOSSIER SPÉCIAL SALON DE L’AGRICULTURE, avec AGRICONOMIE, l' »Amazon des agriculteurs » et WEENAT, qui connecte les champs. 

⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER
  • Les premiers pas dans l’entrepreneuriat d’Arthur Lepage, d’Excelrise
  • Les conseils d’expert de Jean-David Chamboredon, entrepreneur et investisseur (ISAI), président de France Digitale, et à l’origine du mouvement Les Pigeons

⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet


LES PREMIERS PAS D’ARTHUR LEPAGE, président cofondateur d’Excelrise

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Reprendre des entreprises en difficulté, c’est le défi dans lequel s’est lancé Arthur Lepage, cofondateur du groupe ExcelRise. Un pari réussi, couronné par le Prix Ulysse remis par l’Association pour le retournement d’Entreprise (ARE) en février 2017.

Après une dizaine d’années en tant que trader, Arthur Lepage est touché par le virus de la reprise d’entreprise, qui présente selon lui l’avantage « de pouvoir s’appuyer un actif de départ, et de ne pas partir de zéro. » Dans les années 90, il reprend avec un ami une entreprise du secteur internet, qu’il revend en 2002 après plusieurs levées de fonds. Avec deux autres associés, ils reprennent ensuite en 2003 et 2004 deux PME françaises industrielles en difficulté, qui ont des activités complémentaires : Ceisa Packaging (emballages boisson) et Semoflex (emballages pour le secteur de l’hygiène et de l’industrie). C’est ainsi que les 4 associés constituent le groupe ExcelRise, spécialisé dans les films plastiques.

LES CONSEILS D’EXPERT de JEAN-DAVID CHAMBOREDON, entrepreneur et investisseur, président du fonds ISAI, président de France Digitale.

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SES 10 CONSEILS POUR CRÉER SA STARTUP

  • Se méfier de l’avis des proches
  • Savoir réseauter
  • Etre à l’écoute des « feedbacks »
  • Commencer avec peu de moyens pour se lancer rapidement
  • Bien réfléchir avant de se lancer dans le crowdfunding
  • Etre réaliste dans sa quête de financement
  • Ne pas confondre investisseur et banquier
  • Ne pas vouloir être trop original
  • Recruter une équipe aux compétences diversifiées
  • Soigner son storytelling

Source: Challenges