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Short Edition : ses distributeurs d’histoires courtes ont séduit F. Coppola. C’était au Business Club (podcast)

Publié le Mis à jour le

Dans le prochain Business Club de France : 
Samedi 17/2/18 à 7h – Dimanche 18/2/18 à 15h

⇒ Uniquement sur BFM Business Radio 

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⇒ PREMIÈRE PARTIE 

TALK 1: SHORT EDITION invente la littérature TTC: très très courte

TALK 2 : KLAXIT : le covoiturage pour grands groupes et collectivités

⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER

⇒ LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet


TALK 1: SHORT EDITION, avec Isabelle Pleplé, cofondatrice et directrice générale

(Ré)écoutez et téléchargez cette interview :

Short Edition, l’éditeur communautaire de la littérature courte, a imaginé et crée le Distributeur d’Histoires Courtes (DHC).

Le DHC est une borne connectée à une plateforme communautaire qui offre, en mode aléatoire et sur papier, une histoire de 1, 3 ou 5 minutes, à lire ou à emporter.

Short Edition loue ce service (borne + maintenance + monitoring à distance + contenus littéraires courts) aux entreprises et aux institutions souhaitant améliorer l’accueil de leurs clients en situation d’attente et transformer un temps faible de la relation client en un temps fort.

Les contenus proviennent de short-edition.com, la plateforme internet qui offre 50 000 œuvres à la lecture et réunit 4 500 auteurs et 174 000 lecteurs abonnés, sur laquelle chacun peut devenir auteur en publiant une nouvelle, un poème ou encore une BD.

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LES CHIFFRES CLÉS DE SHORT EDITION

  • Activité: Edition de littérature courte
  • Date de création: 2011 (2016 début de l’installation des distributeurs)
  • Siège social: Grenoble
  • CA: 1,1 M€
  • Effectif: 17
  • + de 150 DHC installés en France et dans le monde. (130 France, 20 aux US, + Hong-Kong, Afrique, Australie)
  • 7 500 auteurs agréés par la communauté
  • 220 000 lecteurs abonnés
  • 85 000 œuvres sur le site
  • 17 millions d’histoires lues sur le site
  • 2 millions d’Histoires Courtes imprimées par les Distributeurs

Clients principaux en France : Sncf, Aéroport de Paris, Aéroport Lyon St Ex, Aéroport de Nantes, Hammerson, Klépierre, La Poste, Hôpital Gustave Roussy, Institut Curie, CHU Brest, Lycée Jehan de Beauce à Chartres, Casino, Mairies, Ville de Grenoble…etc

L’ACTUALITÉ DE SHORT EDITION

coppola short edition.jpg19/12/2017 – Short Édition lève 2 millions d’euros et fait entrer Francis Ford Coppola à son capital

La startup grenobloise Short Édition vient de boucler un nouveau tour de table de 2 millions d’euros pour exporter son distributeur d’histoires courtes outre-Atlantique, aux États-Unis et au Canada.

Et elle peut compter sur un parrain de choix pour cette aventure : le réalisateur Francis Ford Coppola, défenseur de longue date de la littérature en format court. La startup vient de boucler un troisième tour de table de 2 millions d’euros, après une première levée de 500 000 euros en 2013, puis une deuxième de plus de 800 000 euros en 2015.

Plusieurs nouveaux investisseurs entrent ainsi au capital, à l’instar du Groupe Chalus Chegaray mais aussi de… Francis Ford Coppola. Le réalisateur édite aussi depuis 21 ans une revue littéraire dédiée aux histoires courtes et s’est donc logiquement intéressé à la startup grenobloise.

Quand nous avons lancé le pilote du distributeur d’histoires courtes à Grenoble, nous avons eu une couverture presse jusqu’aux États-Unis, se rappelle Christophe Sibieude, cofondateur de Short Édition. Francis Ford Coppola nous a alors demandé à tester une machine dans son restaurant de San Francisco.” Quelques mois plus tard, l’essai est transformé et le réalisateur commande deux machines supplémentaires pour ses domaines viticoles. Quinze mois après leur rencontre, les fondateurs proposent à Francis Ford Coppola de devenir associé, ce qu’il accepte. “Nous partageons la même analyse de l’intérêt du court : il estime que le cinéma doit d’abord être bien écrit s’il veut être bien tourné, raconte Christophe Sibieude. Et il apprécie notre démarche, qui consiste à offrir de la culture. Aux États-Unis où la moindre prestation est payante, c’est assez inédit.“

short edition gare.jpegCette opération doit permettre à la jeune pousse de concrétiser ses ambitions américaines. En effet, elle compte déjà six clients de renom aux États-Unis et au Canada (la Penn State University en Pennsylvanie, la Colombus City School dans l’Ohio, les gestionnaires immobiliers Boston Properties et Irvine Company ainsi que la ville de West Palm Beach en Floride et l’aéroport international d’Edmonton au Canada) et souhaite désormais s’implanter plus largement sur le continent. Cela passe notamment par la traduction en anglais de sa plateforme.

La jeune pousse peut désormais compter sur la “marque” Francis Ford Coppola pour lui ouvrir quelques portes. “C’est une personnalité très appréciée dans le milieu culturel, admire Christophe Sibieude. Le fait qu’il investisse et ce après quinze mois de test de notre machine, crédibilise notre démarche. Nous ne sommes pas juste une utopie.La startup réalise aujourd’hui 20% de son chiffre d’affaires aux États-Unis et espère que cette proportion grimpe à 60% d’ici trois ans. (Maddyness)

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[ENTREPRENDRE] – Les 1er pas d’Isabelle Pleplé, de SHORT EDITION / Les conseils d’expert de Sandra Legrand. C’est au prochain Business Club (podcast)

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Samedi 3/2/18 à 7h – Dimanche 4/2/18 à 15h

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⇒ PREMIÈRE PARTIE 

TALK 1: CLÉOPÂTRE et la folie du slime

TALK 2 : EXCELRISE, une success story industrielle à la Française

⇒ DEUXIÈME PARTIE: CRÉER, REPRENDRE, DÉVELOPPER

LE RENDEZ-VOUS DU MÉDIATEUR DES ENTREPRISES, avec Pierre Pelouzet


LES PREMIERS PAS d’Isabelle Pleplé, de SHORT EDITION

(Ré)écoutez et téléchargez cette interview:

isabelle pleple.jpgShort Edition, l’éditeur communautaire de la littérature courte, a imaginé et crée le Distributeur d’Histoires Courtes (DHC). Le DHC est une borne connectée à une plateforme communautaire qui offre, en mode aléatoire et sur papier, une histoire de 1, 3 ou 5 minutes, à lire ou à emporter. Short Edition loue ce service (borne + maintenance + monitoring à distance + contenus littéraires courts) aux entreprises et aux institutions souhaitant améliorer l’accueil de leurs clients en situation d’attente et transformer un temps faible de la relation client en un temps fort.

Sur Syntec-numerique.fr – C’est lors d’un déjeuner familial que l’idée de Short Edition est née et a rassemblé une famille autour de sa passion commune pour l’entrepreneuriat : le format littéraire court allait enfin trouver sa place dans le paysage culturel francophone grâce aux nouveaux modes de vie, à la communauté et au numérique.

Etre entrepreneure, c’est être aussi bien dans l’action et dans l’urgence permanente que dans l’écoute très attentive de signaux des partenaires (associés, salariés, investisseurs…), du marché, des experts… Je crois beaucoup à la force de l’équipe. Avoir des sensibilités différentes au sein de l’équipe des fondateurs est une grande chance pour le projet… Cette diversité pouvant aussi se trouver chez des individus du même sexe, je crois qu’il ne faut pas non plus tomber dans l’excès inverse : une équipe de femmes peut très bien fonctionner comme une équipe d’hommes peut très bien fonctionner !

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(…) Le quotidien de la start-up est rempli de difficultés mais la recherche permanente de solutions innovantes ne nous laisse que très peu de temps pour les doutes et les hésitations… Pour nous, le projet s’est créé de façon évidente et au jour le jour, et puis son caractère familial a facilité les choses en rendant les échanges fluides.

LES CONSEILS D’EXPERT de Sandra Legrand (Kalidea, Yapuka)

(Ré)écoutez et téléchargez cette interview:

sandra legrandSelon Sandra, pour réussir il faut « avoir la niaque, savoir s’entourer, avoir de l’ambition. Ne pas se lancer les yeux fermés, bien étudier son marché, bien identifier le besoin auquel répond notre idée de business ».

SA NOUVELLE AVENTURE

Afin de décrocher un premier emploi, trop de jeunes se trouvent en difficulté pour affronter leur premier entretien face aux recruteurs et être capable de laisser émerger leur personnalité, leur motivation et leur dynamisme pour faire la différence le jour J.

Yapuka.org leur propose une méthode de travail personnalisée et originale pour les préparer à l’entretien oral. Composée d’exercices préparatoires, de théorie, vidéos, et de 3 modules en face à face ou à distance via skype, la méthode exclusive Yapuka vise à renforcer chez chaque jeune coaché : sa capacité d’introspection, sa confiance en soi, la valorisation de son parcours et la construction de son fil rouge pour exposer avec succès son projet personnel et professionnel lors d’un entretien de recrutement.

Les entraîneurs référencés sur la plateforme sont sélectionnés par les experts et DRH travaillant pour Yapuka selon leurs profils, leurs expériences, leurs qualifications. Ils sont ensuite labélisés puis se voient attribuer un statut : Or, Argent ou Bronze.

Les profils des entraîneurs sont présentés sur le site Yapuka.org avec leurs bio (DRH, consultants en recrutement, étudiants et diplômés d’écoles de commerce, professionnels de la communication, entrepreneurs, professeurs…), photo, CV, méthodes proposées, formations, témoignages expériences et expertises. La force de la méthode Yapuka est également de laisser aux jeunes le choix de leur entraîneur selon leur objectif personnel.

Dans les Echos – Si Sandra devait élaborer la recette de son succès, la liste des ingrédients commencerait par l’envie, la passion. « Créer et développer une entreprise demande en effet quelques sacrifices, des prises de décisions qui parfois nous pèsent. Cela impacte une large part de la vie : sans passion, c’est donc très difficile. » Deuxième ingrédient clé ? Le pragmatisme. «Certains chefs d’entreprise foncent tête baissée, et se démènent tellement qu’au bout de deux ans, ils n’ont plus aucune énergie. Il faut savoir être pragmatique, déléguer. » Sandra Le Grand a en effet très vite su déléguer des responsabilités au sein de Canal CE, qui a connu  une croissance rapide pas évidente à gérer. Elle avoue toutefois avoir besoin de garder le contrôle, en consultant ainsi plus de 250 mails par jour, dont une centaine liée à la vie de son entreprise. Troisième ingrédient : le réseau. Non pas le réseau des biens-nés, mais celui que l’on se forge au fil des ans. Sandra avoue consacrer à ce réseau environ 20 % de son temps. « Savoir s’entourer est capital, confie la chef d’entreprise. Avoir le bon partenaire, le bon conseiller, le bon banquier permet d’aller plus vite. Il faut savoir se faire aider sur ses lacunes. Par exemple, j’étais davantage spécialisée en marketing et moins en gestion, et j’ai donc recruté très vite les personnes qui pouvaient compenser mes points faibles. »